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10 novembre 2020

Squatteurs, combines et escrocs : la nouvelle mafia immobilière

Des escrocs peu scrupuleux s'enrichissent en vendant un bail fictif d'un bien immobilier ne leur appartenant pas, à des locataires issus de l'immigration...

  • Faut-il se faire justice soi-même pour récupérer sa maison ?

Pour définir, le squat désigne l’occupation d’un bien immobilier dans laquelle une ou plusieurs personnes se sont introduites par effraction, de force et sans le consentement du propriétaire.

Face à un marathon judiciaire, de plus en plus de propriétaires n'hésitent plus à employer les gros moyens pour chasser les intrus hors de leurs maisons. Comme indique Le Parisien, un propriétaire à Bondy s'est fait justice lui-même en chassant les squatteurs de sa maison en faisant venir des gros balèzes mais finit au ballon. Ses voisins soutiennent le propriétaire lésé qui a été relâché. A Garges, un retraité récupère sa maison quand les jeunes, mobilisés via les réseaux sociaux, ont chassé les squatteurs.

Pour virer des squatteurs, il faut faire intervenir les autorités : faire appel à la police ou gendarmerie sous 48 heures et peut être la justice au besoin mais c’est une très longue procédure, et incertaine quitte à mettre un coup d'épée dans l'eau !

Les propriétaires doivent ils attendre la fin d’une longue procédure judiciaire avant de jouir à nouveau de leurs propriétés ? 

Alors comment réagir devant ce laxisme de la justice face aux squatteurs ? Se faire justice soi-même en les chassant manu militari ?

La loi anti-squat bafoue (encore une fois de plus) le droit de propriété selon le Figaro laissant les squatteurs agir en toute impunité. Au final, le meilleur moyen radical pour récupérer la maison rapidement : faire une demande au préfet avec les preuves tel que les photos pour virer les squatteurs en appliquant la loi ASAP selon les Echos. Si rien ne bouge : faire appel aux "gros bras" pour virer tout le monde !

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