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28 avril 2023

NO COMMENT - Police : les mots qui dérangent !

Soutien à nos hommes ! Force à eux qui nous protègent avant que la France ne soit échec et mat ! Le jour que ça va péter, ne venez pas chialer au poste ! Pas de police, justice soi-même assurée alors vous voilà avertis !

Ce monde va mal, très mal, partout dans tous les domaines, tout va mal... Mais nous en sommes tous responsables d’une manière ou d’une autre... Mettons tout à plat... apprenons à nous parler, à écouter l’autre, à le respecter... L’autre c’est un peu nous même avec nos souffrances et nos désespoirs, nos manques et nos chagrins... Apprenons à comprendre que tout a été fait pour en arriver là aujourd’hui... Diviser pour mieux régner... Un travail de longue haleine... Un système mis en place petit à petit sans même que nous nous en apercevions... Nous sommes tous si différents mais en même temps si semblables... Nos attentes de la vie sont à peu de choses près les mêmes... Alors, asseyons nous tous ensemble et exposons nos griefs dans le respect de chacun et voyons ce que nous pouvons changer chacun à notre humble niveau et ne laissons plus quelques sinistres individus détruire notre Humanité ! Les enfants de demain vous en remercierons !

14 avril 2020

Médecins, infirmiers, aides-soignants : en première ligne

À l'heure où médecins, aide-soignants et personnels infirmiers se battent pied à pied contre le Covid-19, ce document a pu suivre la lutte contre le virus au coeur des services d'urgences les plus exposés de France. 

En exclusivité, nos caméras ont pu accompagner les médecins de l'armée lors du déploiement de l'hôpital militaire de campagne mis en place à Mulhouse (Haut-Rhin) depuis lundi pour soutenir les services de réanimations débordés par l'afflux de patients. Depuis un mois, nous suivons le travail des urgentistes, en première ligne pour accueillir les patients. Ce que nos soignants doivent accomplir est héroïque : faire face à une pandémie sans précédent dans un système hospitalier rongé par les coupes budgétaires. Ont-ils les moyens d'y parvenir ? comment gèrent-ils la crise du coronavirus ? 

Le coeur de l'épidémie est dans l'Est de la France. Au service des urgences de Colmar, le personnel fait face avec l'énergie du désespoir afin de soigner les patients et soutenir les familles. À Mulhouse, l'armée met en place un dispositif inédit : monter en un temps record une unité de soins intensifs dédiée à la réanimation, une pratique tout à fait différente de la médecine de guerre à laquelle ce genre de structure est habituellement dédiée... De Mulhouse à Paris et de Melun à Martigues, Partout en France se pose la même problématique : faire face à la pandémie dans un contexte déjà compliqué. Car depuis près d'un an, un mouvement de grève sans précédent touche les services d'urgence. Le Covid-19 met violemment en lumière le manque de moyens humains et financiers de nos hôpitaux... et surtout l'héroïsme de ses équipes soignantes.


Vidéo complète sur Peertube

19 novembre 2019

Pompiers : leur vie en direct

24 heures sur 24, suivez le quotidiens des soldats du feu à travers les caméras installées aux 4 coins des casernes. Lille, caserne de Bouvines avec les pompiers professionnels, Paris, caserne de Ménilmontant avec les Sapeurs-pompiers de Paris, Marseille, caserne de Louvain avec le Bataillon des marins-pompiers. Trois corps d'élite des sapeurs-pompiers français dans trois casernes filmées en simultané par 60 caméras, pendant un mois. Des histoires fortes et humaines auxquelles les pompiers sont confrontés chaque jour partout en France. Ils vivent des situations extrêmes, racontent leur quotidien et le décryptent pour vous.

Carton rouge pour les personnes des quartiers sensibles qui s'amusent à tendre des pièges aux soldats du feu ou encombrent inutilement le 18. Appelez les pompiers quand une vie est en jeu sans passer par le 15 !

18 novembre 2019

Au coeur des urgences au service de la vie

Pendant plusieurs semaines, les caméras se sont installées dans l’un des plus grands centres hospitaliers de France à Paris. Des petits bobos aux cas les plus graves, découverte avec tous ceux qui se mobilisent chaque jour pour nous sauver la vie. Mais qui sont ces médecins pas comme les autres ? A quoi ressemble leur quotidien ? Quels sont les gestes qui sauvent ? Un document exceptionnel de Pierre-Alexandre Biasutti.

Carton rouge pour le SAMU qui n’intervient pas quand il y a urgence vitale, la preuve : plusieurs décès selon un grand nombre de sources et c'est même passé à la télé ! Quand une vie est en jeu, appelez directement les pompiers au 18 sans se poser de questions. En effet, le 15 est à reléguer à SOS Médecins que pour le SAMU


Près de 15 millions de français sont admis dans les services d’urgences chaque année. Un chiffre vertigineux. Des interventions bénignes aux sauvetages les plus spectaculaires, les caméras nous plongent dans le quotidien des urgences de Dreux. Qu’ils interviennent à l’extérieur ou au sein de l’hôpital, les urgentistes sont sur tous les fronts. Des hommes et des femmes qui très tôt se sont engagés dans cette médecine pas comme les autres. Bien souvent, plus qu’un métier, une véritable vocation. Car être urgentiste ce n’est pas seulement soigner, c’est aussi dialoguer, écouter pour aider au mieux les patients.

04 novembre 2019

FLASH - Quand les guet-apens contre la police explosent !

PRIS AU PIEGE - Cibles d’attaques récurrentes, les policiers payent un lourd tribut. Le dernier épisode de guérilla urbaine remonte à la nuit de samedi à dimanche dernier aux Yvelines.

À l'origine, un défi lancé sur les réseaux sociaux - c'est le "Cop Trapping" - qui fera le "meilleur guet-apens" aux policiers et pompiers. Attention à l'embrasement généralisé ou guerre civile ! L'avertissement de janvier 2018 est toujours d'actualité.

Quand les réseaux sociaux dérapent ! Vous vous rappelez de l'appel à la purge lors de Halloween 2018 qui consistait à s'en prendre aux forces de l'ordre lancé sur les réseaux sociaux qui s'est répandu comme une traînée de poudre ? L'auteur en question a été coffré pour avoir diffusé de tels messages depuis son portable, se croyant dans le film American Nightmare.

En octobre 2019, les réseaux sociaux s'emballent à nouveau mais avec la multiplication de guet-apens contre les pompiers et la police quand ils interviennent dans les quartiers sensibles. Le prochain coup, ce sera quoi ? Les armes de guerre tel que les AK47 et lance-roquettes pour faire un putain de carnage ?

Récemment, la police a été piégée et attaqué à Goussainville et les secours à Champigny pris pour cible mais la liste est longue ! Ceci dit, les jeunes de cités attaquent tout se qui bouge et brûlent tout ce qui ont sous la main tel que les écoles, bagnoles, bennes et bâtiments publics mais aussi, les chapitaux. Selon le Parisien, on appelle le "Fire Calling" lorsque les réseaux sociaux multiplient les appels aux émeutes provoquant la réaction en chaîne à travers le pays.

Ceci est un avertissement pour le gouvernement français qui se mûre dans son silence assourdissant avant que la guerre civile éclate en France ! Si ça pète, c'est l'armée qui viendra dans les quartiers sensibles qui sont de véritables bombes à retardement alors vous voilà prévenus ! Faites attention, des attentats de grande ampleur lors des carnages de Madrid (2004) et de Paris (2015) sont à redouter sérieusement !

  • Guérilla urbaine, guet-apens contre la police : prochaine étape, les armes de guerre ?

Projectiles et mortiers de feux d’artifice. Le mois d’octobre a été marqué par des guets-apens contre la police, dont un très médiatisé à Mantes-la-Jolie (78), dans la nuit du 24 au 25 octobre. Quelles sont les causes de cette banalisation des violences anti-policières ? Plongée dans les explosions sauvages des cités.

« Tuez-les ! » entend-on dans la vidéo, suivi d’un rire hilare. Nuit du 24 au 25 octobre, à 22h00: une équipe de la BAC part en repérage après le signalement d’un véhicule en flammes dans la cité du Val-Fourré de Mantes-la-Jolie (78). Les trois policiers le trouvent consumé ; ils s’apprêtent à repartir quand le déluge s’abat sur eux, à 22h20. Autour d’eux, une quarantaine d’individus hostiles, tirant au mortier d’artifice et jetant des projectiles. Un véritable guet-apens, gagnant en ampleur à chaque minute : les cris rameutent des complices, Snapchat aussi semble-t-il : sur les réseaux sociaux, les agresseurs publient en direct les vidéos de l’embuscade contre les forces de l’ordre. Les policiers ripostent au flashball, à la grenade de décencerclement. Mais ils sont pris au piège et il faudra l’arrivée de renforts conséquents pour les extraire de la nasse où une centaine de délinquants les maintenaient. Un policier est atteint d’un feu d’artifice à la cuisse. En face, un jeune individu perd un œil.

« Il n’y a pas [eu] de guet-apens ici, jamais. [Les policiers] ont mal fait les choses ! », affirmait le jeune Alassane sur BFMTV. Et son comparse Alahou d’ajouter : « mon ami [rentrait] tranquillement chez lui, il s’est mangé une balle dans l’œil et voilà, ils ont gâché sa vie ». « Rétablir la vérité », disent-ils : « nous ne sommes pas des délinquants, il ne faut pas mettre tout le monde dans le même sac. Nous, on est ambitieux, on veut s’en sortir, on travaille. On n’est pas l’image qu’ils veulent nous coller ». L’IGPN a ouvert une enquête sur les circonstances du tir de LBD.

​Cette embuscade est-elle le fruit d’une rivalité entre cités d’Île-de-France? C’est en tout cas l’hypothèse avancée par certains policiers. Les nuits de guérilla urbaine se sont en effet accumulées au mois d’octobre: le 13 à Grigny (91), les 15 et 18 à Étampes (91) et le même soir aux Mureaux (78), le 21 à Emerainville (94) et Champigny-sur-Marne (94) et les 12 et 24 à Mantes-la-Jolie (78).

Une chose est sûre: la confrontation du Val-Fourré a davantage attiré les caméras. « Pour une fois », regrettent, las, les policiers. « Notre administration ne s’intéresse aux cas des policiers qu’en fonction de la médiatisation qui est portée à l’affaire… alors, est-ce la vie des policiers qui intéresse notre ministre ou l’opinion publique quand c’est médiatisé ? », s’insurge Linda Kebbab, déléguée nationale d’Unité CGP Police FO. « Soyons honnêtes, quand il n’y a pas d’images, ça n’existe pas dans l’esprit des gens, » regrette-t-elle : « il y a un mois et demi, des collègues ont été pris à partie à Noisy-Le-Grand, avec des mortiers, c’est passé inaperçu ».
Banalisation du mode opératoire

Indifférence de la hiérarchie, violences extrêmes sur le terrain: la situation est d’autant plus dramatique que Linda Kebbab refuse de voir là le franchissement d’un nouveau cap dans la violence. L’affaire semble presque banale. Et la policière de rappeler l’attaque sauvage de Viry-Châtillon: en 2016, des policiers étaient attaqués au cocktail Molotov dans la cité de la Grande Borne. Les quatre agents furent coincés dans leur voiture en flammes et lynchés à la barre de fer dès qu’ils parvinrent à s’en extraire. Le procès de 13 jeunes individus s’est ouvert mi-octobre, à Évry et à l’abri des regards : « c’est aux assises, avec tentative d’homicide, avec un collègue qui est gravement brûlé au visage et qui porte une casquette pour ne pas être regardé comme une bête de foire », rapporte Linda Kebbab, qui a assisté à l’audience. Dans le box, les jeunes barbares n’ont montré aucun signe de regret.

Ainsi l’attaque de Viry fut-elle « bien pire en termes de gravité, mais celle de Mantes effroyable, du fait du nombre de personnes. Une chasse en meute qui suppose une organisation morbide », ajoute-t-elle : « on met le feu à une voiture, on attend en embuscade ». La policière attend beaucoup de l’enquête: « certains éléments du mobilier urbain étaient éteints. L’enquête dira si c’est une preuve supplémentaire de préméditation et de criminalité en bande organisée. » En tout cas, la déléguée syndicale espère que les juges abandonneront tout laxisme :

« Ce serait hypocrite de penser qu’il n’y avait pas l’intention de blesser, ou pire, quand on se rue à 40 contre 3. Quand on voit les règlements de compte [dans les cités], à dix contre un, il faut comprendre qu’ils sont capables de tuer un jeune homme à coups de pied dans la tête. »

Quartiers perdus, quartiers criminogènes

Banalisation de la violence? Pour Linda Kebbab, les ressorts sont profonds. Les cités ont produit « une culture de haine des forces de l’ordre, qui se confond naturellement avec l’obsession d’une défense de territoire » :

« De même que les gangs qui font du trafic de stups ou du recel d’objets volés vont s’attaquer les uns les autres pour défendre leur territoire, les jeunes individus vont aussi se lancer dans une guerre contre les forces de l’ordre, qu’ils estiment être leur ennemi, mais surtout comme leurs égaux. »
Est-il possible de renverser cette vision ? « On est en train de dire aux jeunes que la police c’est l’ennemi, alors qu’elle est supposée être l’agent de la paix ». Et Linda Kebbab de pointer les « militants idéologiques et extrémistes, cachés derrière une carte de presse, qui manipulent les quartiers populaires, qui disent même qu’il s’agit d’une action de résistance ». À qui pense-t-elle ? « Entre autres, à Noman Cadoret ou Taha Bouhafs, qui utilisent la souffrance des quartiers pour faire croire que la police est un corps hostile aux libertés ».

La souffrance et la réalité des quartiers, elle en a profondément conscience: manque cruel d’effectifs au sein de la Police, absence d’éducateurs, parents démissionnaires, Linda Kebbab égrène, la gorge nouée, les maux qui touchent les quartiers criminogènes :
« Un gamin de 12 ans ne peut pas prétendre être victime du système, de racisme, de discrimination à l’embauche, parce qu’à 12 ans on n’est pas victime de tout ça! Comment se fait-il que ces gamins parviennent à intégrer des discours idéologiques qui les dépassent ? »
Et Linda Kebbab d’écarter l’explication matérialiste, trop facile : « la pauvreté ne justifie pas cela… être pauvre, ce n’est pas une excuse pour abandonner son gosse. Heureusement qu’il y a des gens pauvres qui se battent pour donner une bonne éducation à leurs enfants ! » La déléguée syndicale ne veut rien lâcher et appelle à un renversement de perspective au sein de l’institution judiciaire : « si les parents ne jouent pas leur rôle éducatif, c’est à la Justice de le faire ». Celle-ci a en effet le pouvoir de prononcer des mesures éducatives, sans pour autant les appliquer efficacement.

Justice nulle part !
 
Un vœu pieux ? Car pour l’instant, face au pouvoir judiciaire, les policiers semblent autant jugés que les délinquants. Voire peut-être davantage que ces derniers, tant le laxisme et l’impunité semblent subvertir les tribunaux, comme si les quartiers et les juges s’entendaient dans la haine du flic : « le premier sentiment, c’est celui d’injustice: on peut nous caillasser, mais derrière rien ne bouge, la justice ne fait rien. [Les délinquants] savent qu’ils ne craignent pas grand-chose », nous résume un policier anonyme. Notre source nous raconte qu’un de ses collègues a reçu une plaque d’égout, jetée d’un immeuble sur sa voiture à Roubaix. Ainsi, les nuits d’émeutes s’ajoutent-elles aux 200 violences enregistrées chaque jour contre la police, dont 115 agressions physiques. Derrière les statistiques, la sauvagerie. Or, « les remontées régulières de violences sur les collègues qui finissent non-lieu, c’est devenu une habitude ».

Notre témoin, qui s’est vu intimer le silence par sa hiérarchie, nous explique: si tous les magistrats n’agissent pas à l’encontre des forces de l’ordre, « certains n’apprécient pas la police ». Une minorité donc, mais une minorité visible et particulièrement nocive. Certains accusent même les policiers de provoquer les outrages dont ils se disent victimes pour toucher des dédommagements. « Mais quand on voit le temps qu’on met à être indemnisé, et que c’est minime, faut arrêter avec cette histoire “ça nous permet d’arrondir nos fins de mois” ! »

Un engrenage mortifère, où le sentiment d’impunité vient aggraver les choses, ou plus précisément valider l’état d’esprit des délinquants :
« Une infraction volontaire envers une personne des forces publiques, c’est logiquement cinq ans de prison, nous dit Linda Kebbab. Je ne demande pas que tout le monde fasse cinq ans, mais quand le prévenu s’en sort avec deux rappels à la loi et un mois avec sursis, elle a évidemment le sentiment que la justice lui donne raison. »

La spirale de la violence, jusqu’où ?
 
Après les guets-apens, la spirale de la violence va-t-elle s’accentuer ? Entre eux, les flics en parlent : « on la craint depuis des années, cette prochaine étape ! », à demi-mot, celle de voir débouler des armes de guerre. 15.000 Kalachnikovs circuleraient en France selon la rumeur, forcément impossible à vérifier. Dans les rangs de la police, on se rassure cependant : les AK-47 sont circonscrites pour l’instant aux règlements de compte entre gangs de stupéfiants et ces derniers n’auraient pour l’instant aucun intérêt à tirer sur les « Bleus », au risque d’attirer sur eux une répression véritable.

Linda Kebbab ne peut cependant pas totalement écarter l’hypothèse, rappelant que des policiers avaient été blessés par des tirs au plomb lors des émeutes de 2005. La policière dresse un parallèle inquiétant avec les États-Unis, dont les problèmes « arrivent en France avec dix ans de retard ». En effet, à Dallas en 2016, cinq policiers furent abattus et neuf autres blessés dans un guet-apens. Et bien que les conflits soient moins ethnicisés dans l’hexagone, et le rapport à l’arme à feu différent, « on peut penser que ça peut arriver ».

Mais dans l’immédiat, Linda Kebbab, estime que les commissaires de Mantes-la-Jolie ont « très bien réagi » en envoyant immédiatement des policiers en nombre. Malgré les sous-effectifs, une centaine de fonctionnaires des forces de l’ordre furent déployés –soit autant, en l’occurrence, que le nombre de délinquants. Si ces derniers avaient disparu, la manœuvre reste d’ordre psychologique : « c’est toujours comme ça: on se réapproprie le terrain, on montre notre présence ». Et de penser qu’il s’agirait d’une opération de contre-guérilla analogue à celles des militaires en OPEX, il n’y aurait qu’un pas. « Dans certaines cités sensibles, les collègues n’interviennent que casqués », rapportent les policiers. Les deux camps semblent s’observer en chiens de faïence.

Derrière le ras-le-bol policier, la peur ? « Pas vraiment », nous répond l’agent anonyme. Si ce n’est peut-être la crainte du lynchage : « ce qui nous fait peur, c’est l’hypothèse d’un collègue qui serait isolé [du groupe]. Quand on voit comment ils agissent sans scrupule, on peut craindre le pire », nous confie-t-il. Ont-ils dès lors des consignes de non-intervention, consignes qui refléteraient l’abandon définitif des quartiers par la République ? « Non, en revanche, de faire attention. Si on est pris à partie, et même pour un équipage BAC bien équipé, quand on se retrouve pris en embuscade, la meilleure solution, ça reste de partir ».

Force est de constater que les incursions en nombre et en force dans les quartiers « ne sont pas tenables sur le long terme » pour Linda Kebbab. Elle qui tâche de voir le problème dans son ensemble perçoit une conséquence discrète : « ce sont des missions que vous n’exercez pas ailleurs… alors, les populations sont les victimes collatérales de ces embuscades. »
  • Flambée de violence et guets-apens contre la police dans les cités sensibles

Au moment où l’État tente de réinvestir les zones de non-droit dans les quartiers de reconquête républicaine, rarement les banlieues n’ont paru autant inflammables. Derniers signes inquiétants émanant de ce front dégradé, les pièges visant les policiers et les pompiers se multiplient en région parisienne. Le dernier épisode remonte à la nuit de jeudi à vendredi, dans le quartier du Val-Fourré, à Mantes-la-Jolie.

Selon un scénario bien rodé, des voitures de patrouilles ont été appelées pour un véhicule en feu avant de tomber dans une véritable embuscade. Encerclés par une centaine d’inconnus qui ont tiré aux mortiers et lancé une pluie de projectiles, une trentaine de policiers ont fait usage de lanceurs de balles de défense (LBD) et de grenades lacrymogènes pour se dégager et rétablir le calme. À l’issue des heurts qui ont duré près d’une demi-heure, deux jeunes ont été admis à l’hôpital, selon la police, « le premier avec une blessure à l’oeil et le deuxième avec des douleurs aux testicules ».

Du côté des forces de l’ordre, un policier a été blessé à la cuisse par un tir de mortier. Ces affrontements, « violents par le nombre de personnes qu’on avait en face de nous, sont assez inhabituels », a précisé à l’Agence France Presse le patron de la direction départementale de la sécurité publique, Ludovic Kauffman.
Le terrible souvenir de l’agression de Viry-Châtillon en octobre 2016
Sur le terrain, cette stratégie de l’embuscade semble faire tache d’huile. Dans les Yvelines, des attaques analogues ont ainsi été recensées à Trappes, aux Mureaux. À Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), des soldats du feu et agents de police sont quant à eux tombés dans un traquenard dans la nuit de lundi à mardi dernier.

A 2h55, six sapeurs-pompiers de Paris intervenant pour éteindre un feu de poubelles sont devenus la cible d’une quinzaine de voyous, « masqués et cagoulés », selon une source syndicale de police persuadée que « les individus avaient une réelle volonté d’allumer les feux ». Appelés à la rescousse, les policiers ont essuyé là encore des jets d’engins incendiaires et n’ont pu se tirer d’affaire qu’en faisant usage de leur lanceur de grenades de type « cougar » pour éviter le pire.

Dans les rangs des forces de l’ordre, l’agression barbare de Viry-Châtillon, où quatre policiers ont failli périr brûlés vifs dans leur voiture le 8 octobre 2016, hante encore tous les esprits. Le procès des treize accusés soupçonnés d’avoir participé aux jets de cocktails molotov s’est ouvert le 15 octobre et pour huit semaines à Évry, à huis clos devant la cour d’assises des mineurs de l’Essonne. Soupçonnés de « tentatives d’homicides aggravés en bande organisée sur personnes dépositaires de l’ordre public », ils sont passibles de la réclusion criminelle à perpétuité (RCP).
16 policiers blessés par jour
Selon un dernier bilan porté vendredi à la connaissance du Figaro, 5 policiers ont trouvé la mort et 4886 ont été blessés en mission depuis le début de l’année. Soit une moyenne de 16 par jour !

Alors qu’un dispositif de maintien de l’ordre renforcé est mis en place à Mantes-la-Jolie depuis vendredi soir avec l’appui d’une compagnie de CRS, le secrétaire d’État Laurent Nuñez était entendu au commissariat de Trappes pour faire le point sur les missions dédiées au quartier de reconquête républicaine (QRR) et « échanger sur les violences urbaines ». Nul doute que les policiers locaux trouveront matière à discuter.
  • LA GUERRE CIVILE SERA ENGAGÉE !

Nous le savons déjà. Les faits ne sont pas nouveaux. Voici quelques semaines, quelques mois, que les incivilités sont de plus en plus nombreuses et que les altercations entre citoyens sont de plus en en plus dangereuses. Longtemps, les disputes sont restées verbales. Les gens s’injuriaient pour un et un non, mais au final, ce n’était que des mots, des injures et des insultes. Cependant, au fil des mois, le ton est monté d’un cran. Aujourd’hui, l’agression est devenue physique,avec parfois des conséquences dramatiques. Ainsi, c’est l’automobiliste qui attaque son prochain pour une place de parking et qui le tue froidement comme on écrase une mouche. C’est encore un automobiliste qui dépasse une voiture pour l’obliger à s’arrêter. Sous prétexte que le véhicule roulait trop lentement, l’agresseur frappe violemment son conducteur. Mais cette violence se retrouve aussi aussi entre voisins, collègues de travail ou membres d’une même famille. Ces faits sont devenus courant et font partie désormais des banalités quotidiennes.

Mais le paroxysme a été atteint le 5 août dernier avec la mort du maire de Signes tué par l’un de ses administrés pour un simple de dépôt de gravats que l’élu voulait empêcher. Jean-Mathieu Michel, maire depuis 36 ans, était un homme simple, serviable, très apprécié de ses concitoyens.

Si pour l’instant, la théorie de l’accident a été retenue par le parquet, il n’en reste pas moins vrai que le comportement de son agresseur est intolérable et qu’il n’est plus possible désormais d’accepter de tels actes. On est à la limite du meurtre et là, on peut se poser des questions surtout quand hier encore, un autre maire a été victime de violences. Jean-Michel Muselier, maire de Saint-Myon (Puy-de-Dôme) a été agressé au couteau, ainsi que son adjoint légèrement blessé.

Que sera demain ? Quel autre maire de France sera attaqué prochainement par un habitant de sa commune ? Et puis, les maires ne sont pas les seuls, ni les premiers : Combien d’enseignants sont agressés chaque semaine dans leur propre établissement ? Combien de médecins et et personnels hospitaliers subissent aujourd’hui le même sort ? Combien de fonctionnaires d’accueil dans les administrations sont insultés, menacés et molestés ?

Il est clair que nous sommes entrés dans un climat délétère qui annonce la guerre civile. Ne nous voilons pas la face. La France est devenue un pays où se heurtent les populations de tous bords. Il existe déjà les confrontations raciales qui attisent les haines et les vengeances. Au-delà, viennent s’ajouter également les hostilités entre le peuple et les élites. Et puis arrivent souvent les affrontements les plus divers, en matière politique ou de religion, comme aussi, tout simplement sans raison solide, dans un même quartier ou dans un même immeuble, entre voisins qui se détestent au point de s’entretuer.

Dans un tel contexte, il serait souhaitable que les pouvoirs publics adoptent une politique d’apaisement. Bien contraire, le gouvernement actuel ne fait que diviser les Français et il semblerait que certaines personnalités de l’État y prennent quelque part un certain plaisir.

Comment se terminera l’année 2019 ? L’explosion aura-t-elle lieu ? La guerre civile prendra-t-elle le chemin de la révolution ?

Incontestablement, nous sommes tous assis sur une poudrière. Et il suffira d’une petite étincelle pour que l’éclatement ait lieu. L’arrivée des migrants est loin d’arranger la situation. Ces derniers, sans accueil réel et sans ressources, devront survivre. Faute de moyens, ils seront contraints de se marginaliser par le vol, le pillage et peut-être le crime. Pour 20 ou 30 euros, une personne pourra être violentée, parfois tuée. Et cette même personne sera peut-être vous ou moi. A quand le port d'arme légal ? En attendant, vous pouvez passer votre permis de chasse...

Notre vie est devenue précaire. La rue est devenue un lieu de danger où la folie furieuse frappe n’importe où. Le partage et la solidarité font place à la haine qui touche toutes les communautés.

Finie la démocratie, finie la République, finie la tranquillité citoyenne. La peur s’installe partout, à la ville ou comme à la campagne et ce n’est pas demain que la nation pourra retrouver sa sérénité.
Bientôt çà s'étendra partout et tous ceux qui nous ont foutu dans cette merde vont se barrer à l'étranger!!La guerre civile est déjà commencée!Incendies,français poignardés chaque jour et c'est silence-radio ds politicards et de leurs merdias!!Réveillez-vous!! — l'oranaise (@L_oranaise_) 25 octobre 2019

Sources : Sputnik NewsFigaro et LFL

19 octobre 2019

CARTON ROUGE - Quand la police charge les pompiers !

Les pompiers ont manifesté à Paris mardi 15 octobre. La situation s'est tendue en fin d'après-midi avec des affrontements entre soldats du feu au bout du rouleau et les forces de l'ordre qui pètent les plombs. Si ça continue, la situation pourrait devenir explosive ! Dictature macroniste et ça va péter !

Mardi 15 octobre, les pompiers manifestaient contre la baisse de leurs moyens dans les rues parisiennes. La mobilisation, rare chez les pompiers, a été particulièrement suivie. De nombreuses images, relayées par les réseaux sociaux, montrent des altercations parfois violentes entre les pompiers et les forces de l’ordre présentes autour du cortège. Un pompier a même perdu un oeil lors des affrontements avec la police qui tire sur tout ce qui bouge à coups de grenades GLI-F4 et Flashball.


VIDEO - La chanson des pompiers qui dénonce les violences policières

12 novembre 2018

13 Novembre : Les Frères Naudet

Un documentaire en trois parties réalisé par les frères Naudet qui donnent la parole aux personnes ayant vécu les attentats parisiens du 13 novembre 2015. Suivant la chronologie des attaques, il partage les témoignages de celles et ceux réunis par ce drame : survivants, pompiers, forces de l’ordre, membres du gouvernement.

Survivants et premiers intervenants racontent la nuit du 13 novembre 2015 et les actes de bienveillance et de bravoure dont ils ont été témoins dans les rues de Paris. Alors que les Parisiens s'apprêtent à profiter de leur week-end, des appels alarmants commencent à déferler du côté du Stade de France et des cafés environnants mais aussi, Twitter qui s'affole.

Au Bataclan, la foule se retrouve soudainement plongée dans l'angoisse et cherche refuge pour échapper aux assaillants qui tirent sur tout ce qui bouge. Les otages s'entraident comme ils le peuvent alors que la tension monte dans le couloir, à l'étage. Plus tard, la ville s'unit pour tenter de surmonter la tragédie.

Les attentats terroristes du 13 novembre 2015 à Saint-Denis, au Bataclan et sur des terrasses parisiennes ont fait 130 morts et des centaines de blessés. Des attaques qui avaient été revendiquées par l’Etat Islamique.


VIDEO 1 - VIDEO 2 - VIDEO 3

NOTE : La série documentaire a été censurée par de nombreux hébergeurs. Les vidéos ont été postées sur OK.RU en mode "Privé" pour contrer la censure

20 juillet 2017

Pompiers de Marseille : des héros au coeur de l'incendie du siècle

"L'apocalypse !". C'est ainsi que les pompiers ont qualifié "l'incendie du siècle" qui a ravagé le Nord de Marseille l'été dernier.

Pendant plus d'une semaine, près de 1800 pompiers ont lutté sans relâche contre un incendie gigantesque : des flammes jusqu'à 30 mètres de haut, de véritables murs de feu, des vents tourbillonnants et des départs d'incendie à plusieurs endroits simultanément...

Les soldats du feu ont parfois dû prendre tous les risques, au milieu d'une véritable fournaise, pour tenter de sauver certaines maisons isolées au coeur de la garrigue prises au piège entre les flammes. Surtout, certains pompiers ont dû risquer leur vie pour empêcher l'incendie de fondre sur la ville.

Face au brasier, ils se sont posés comme l'ultime rempart entre les premiers quartiers de Marseille et les flammes. Tous étaient avec les pompiers lorsque l'incendie s'est déclaré. Exceptionnellement, tous ont donc pu suivre de l'intérieur leur combat contre cet incendie hors-norme. Un combat jusqu'à l'épuisement pour des héros prêts à donner leur vie pour sauver celles des autres..


Vidéo complète sur Youtube

22 juin 2017

FLASH - Les "street-poolings" se multiplient lors des vagues de chaleur

Pour définir ce que c'est un "street-pooling", c'est le fait d'ouvrir les bouches à incendies pour former des geysers de plusieurs mètres de haut pour se rafraîchir lorsqu'il fait très chaud. Cela entraîne une chute de pression dans les canalisations d'eau et une forte hausse des impôts locaux. En cas d'incendie, les pompiers se retrouvent désarmés par ce manque d'eau provoqués par les street-poolings et ça les met en pétard. Carton rouge pour ces personnes inconscientes des risques qui prennent

Mai 2017 avec AFP - Avec l'augmentation des températures, cette pratique appelée « street pooling » s'est multipliée partout en France. Des « douches de rue » illégales qui excèdent aussi bien les pompiers que les fournisseurs d'eau et les autorités.

Des enfants sautant à pieds joints dans un geyser d'eau en pleine rue: si l'image ne paraît a priori pas grave, c'est pourtant une activité interdite par la loi. Et qui ne cesse de s'amplifier avec les récentes fortes chaleurs. Ce week-end, les pompiers de Paris ont déploré plus de 300 ouvertures intempestives de bouches à incendie et mis en garde contre les conséquences dramatiques qui peuvent en découler.

Le capitaine Guillaume Fresse, porte-parole des pompiers de Paris, a précisé à l'AFP que ces incidents se sont déroulés principalement en Seine-Saint-Denis et dans le Val-de-Marne. Mais de nombreuses inondations de caves et parkings ont été signalées dans toute l'Ile-de-France. C'est également le cas dans le département du Nord, où l'on a recensé plus de 1300 appels.

D'où vient cette pratique ?

D'après le Guardian, ce loisir rafraîchissant est une véritable tradition aux États-Unis, et plus précisément dans certains quartiers new-yorkais. Depuis les années 1990, les enfants des quartiers de Brooklyn ou du Bronx jouent avec les bouches à incendie, ces « douches urbaines ». Et cela, durant des journées entières lors d'épisodes de canicule particulièrement étouffants dans les grandes villes américaines.

Quels sont les risques ?

En France, cette activité, qui se développe depuis quelques années, n'est pas observée avec la même légèreté. Les pompiers de Paris précisent que ces agissements font risquer un manque d'eau ou un débit insuffisant si les pompiers doivent éteindre un incendie. Il y a également un risque d'inondation d'équipements électriques et des caténaires de voies ferrées, des risques d'électrocution et d'accidents sur la voie publique.

D'un point de vue sécuritaire, il existe un danger pour les enfants. Alors qu'un adulte n'est pas forcément là pour surveiller, la forte pression des jets d'eau peut causer de sérieux accidents. Le Parisien rapporte qu'en 2015, un garçon de huit ans avait été blessé à la tête à Bobigny. Il avait voulu passer au-dessus de l'arrivée d'eau et avait été violemment projeté en l'air.

Combien cela coûte-t-il aux gestionnaires d'eau ?

À la suite de ce week-end de l'Ascension particulièrement chaud, le Syndicat des Eaux d'Île-de-France (SEDIF) a publié un communiqué concernant ces ouvertures intempestives. Il évoque de graves conséquences pour le réseau d'eau potable mais surtout des centaines de millions de litres d'eau perdus. Un gâchis pour la commune qui peut se répercuter, in fine, sur la facture du consommateur.

Le SEDIF pointe par ailleurs du doigt un climat d'hostilité à l'encontre de ses agents chargés de la fermeture des bouches à incendie.

Que risquent les auteurs de ces ouvertures sauvages ?

D'après le Code pénal, le street pooling est une infraction puisqu'il s'agit d'une détérioration d'un « bien destiné à l'utilité publique et qui appartient à une personne publique ». En témoigne la ville de Roubaix, qui d'après La Voix du Nord, va porter plainte contre deux adolescents pour « destruction de bien public » après l'utilisation de bouches à incendie. Un jeu dangereux puisque les deux adolescents de 15 et 16 ans risquent des travaux d'intérêt général, 75.000 euros d'amende et jusqu'à cinq ans d'emprisonnement.

Source : AFP via le Figaro

11 mai 2017

Incendies, accidents, noyades : alerte rouge pour les pompiers du Sud-Ouest

Accident de canyoning, excursions à haut risque sur les rivières, accidents de la route spectaculaires, crash d'ULM, sans oublier un incendie meurtrier d'une incroyable violence... Cette année encore, les pompiers de la nouvelle région Occitanie n'ont pas eu un moment de répit. Il faut dire que la diversité du relief les a obligés à être sur tous les fronts : des gorges de l'Aveyron, très touristiques, aux petites routes sinueuses de campagne en passant par les grandes forêts de l'Hérault, les zones à risques sont nombreuses, et les pompiers ont enchaîné des interventions spectaculaires, voire dangereuses. Les soldats du feu sont sur tous les fronts pour porter secours aux personnes en détresse. Pendant deux mois, ils ont été suivis dans leurs interventions. Certaines, comme le dramatique incendie qui a ravagé l'Hérault cet été, ont marqué les jeunes pompiers.

17 avril 2017

Vitesse, drogue, alcool : les dommages collatéraux

Les fous du volant ne sont pas toujours conscients des risques qu'ils font prendre aux autres sur la route.

06 février 2017

Attentats, les urgences en première ligne

PLAN ROUGE ALPHA - Ils refusent la posture héroïque qu'on leur a souvent prêtée depuis le soir des attentats du 13 novembre 2015. Pourtant, médecins, infirmiers, soignants, urgentistes, pompiers de garde ou volontaires, ont travaillé cette nuit-là des heures entières pour sauver le plus grand nombre de vies.

Confrontés à une situation de crise majeure inédite, ils ont oeuvré avec sang-froid et professionnalisme. Cependant, depuis cette nuit, certains d'entre eux sont aussi en souffrance.

La plupart d'entre eux n'étaient pas prêts psychologiquement à affronter une telle situation de crise. Dans quatre hôpitaux parisiens - Saint-Antoine, Saint-Louis, la Pitié-Salpêtrière et l'hôpital militaire de Bégin à Saint-Mandé - ils se confient pour la première fois pour témoigner, livrant leurs angoisses et leurs faiblesses, dévoilant les séquelles laissées par cette nuit de cauchemar et de terreur.


22 novembre 2016

La non-assistance à personne en danger

Ce document tente de revenir sur les faits précis pour expliquer la passivité des témoins (effet spectateur). S'agit-il d'un simple manque de courage ou d'empathie ? La peur a-t-elle été paralysante ? 

Qu'est-ce qui pousse un individu à venir au secours d'une personne en péril. Face à une agression, le témoin qui demeure passif est traversé par maintes interrogations. 

La journaliste Aurélia Bloch a elle aussi été témoin d'un viol et n'a pas agi. Est-elle coupable de non-assistance à personne en danger ? Pour la première fois, elle relate cette histoire qui la hante depuis des années

10 septembre 2010

11 Septembre : Les Freres Naudet

Le 11 septembre 2001, les deux tours du World Trade Center s’écroulaient, transpercés par deux avions kamikazes. Des milliers d’innocents et 343 pompiers disparaissaient.
 
Les frères Naudet ont filmé le crash du premier avion dans la tour n°1 du WTC. Ils suivront les pompiers tout au long de leur course incroyable contre les flammes, pour sauver des vies. Moment terrifiant : le son macabre des corps qui s’écrasent au sol dans un bruit sourd.
 
Le document réunit les images exclusives des frères Naudet mais aussi des interviews des pompiers et des deux frères à l’intérieur du WTC. A noter qu’un minimum de 100.000 dollars, provenant de la vente de ce programme à travers le monde, a été reversé au fonds de soutien de l’association de l’école des pompiers de New York.


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