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22 septembre 2014

CARTON ROUGE - L'arnaque du "jet d'encre"

Votre imprimante baisse les niveaux d'encre toute seule, la bécane "racle" sans arrêt après chaque impression, auto-nettoyage intempestif, avertissements à gogo, bugs électroniques, blocage total voire mort subite,.... Pas de doute, l'imprimante utilise des "timers" qui permettent d'accélérer le "vidage" pour vous obliger de changer rapidement la/les cartouche(s) même si vous n'utilisez pas la totalité de l'encre. Autrement dit, même si il reste de l'encre dans la cartouche, l'imprimante le déclare vide donc à changer. Sur le forum des Numériques, des utilisateurs confirment ce problème et certains n'osent plus arrêter complètement l'imprimante sinon surconsommation d'encre assurée !

Les "jet d'encre" seraient les plus touchés par ce problème de surconsommation et c'est désormais RECURENT ! Toutefois, votre imprimante peut claquer à tout moment même si elle est récente. La plupart du matériel, toutes marques confondues, proviennent de l'Asie.

Carton rouge pour les constructeurs qui appliquent ces méthodes sans scrupules qui nous obligent à consommer plus, dépenser plus et polluer plus ! De plus, le jet d'encre : ça pète trop vite car trop fragile !

Vous voulez faire des économies ? Marre des cartouches qui sèchent ? Vous voulez du durable et du rentable ? Passez au laser et vous ne serez pas déçu !

Les utilisateurs pris pour des vaches à lait !

On le savait déjà : les imprimantes à jet d’encre grand public ne coûtent quasiment rien, mais quand il faut changer les cartouches d’encres, on s’aperçoit alors que le prix de ces dernières est parfois égal voire supérieur au prix de l’imprimante neuve… On commence alors à se dire qu’il y a un petit problème quelque part, et que les fabricants d’imprimantes doivent sûrement prendre leurs clients pour des pigeons, avec ces cartouches extrêmement chères et votre budget "jet d'encre" peut vite exploser !

Le marché du compatible en France : des produits MADE IN CHINA de piètre qualité

Le problème en France, c’est que, parmi les 15% de cartouches compatibles vendues, 99% proviennent de Chine… dont 10% des quantités vendues sont défectueuses. Sachant qu’il faut en général mettre 4 cartouches dans une imprimante, vous avez 1 chance sur 2 de tomber sur une cartouche défectueuse voire dangereuse.

Résultat, les utilisateurs n’osent pas passer au compatible, qui a mauvaise réputation. Nous avons pourtant de bonnes marques mais elles sont peu connues. Les produits de mauvaise qualité détruisent le marché en détruisant la confiance des utilisateurs qui préfèrent acheter de l’original plutôt que du compatible.

Pourtant, les cartouches compatibles européennes permettent réellement de tirer les prix vers le bas : on parle de 30 à 40% d’économies. Elles sont conçues à partir de coques déjà utilisées : le fabricant récupère la coque, l’ouvre, change l’éponge, remet de l’encre pigmentée, referme la cartouche et réinitialise la puce. Les fabricants chinois fabriquent de nouvelles coques (et utilisent autant de pétrole) : ils font leurs économies sur la qualité du produit.

L’arnaque des constructeurs : appâter le consommateur avec une machine bon marché

Pour gagner de l’argent, les constructeurs d’imprimantes ont mis en place divers procédés. Le premier d’entre eux est d’appâter le consommateur avec de grosses promotions sur les machines en magasin. Résultat : les clients se ruent sur la machine sans étudier le coût du consommable – les cartouches – derrière : ils se retrouvent ensuite dans l’obligation d’acheter les cartouches du fabricant.

Et ce dernier pousse encore le vice. Par exemple, au lieu de proposer quatre cartouches pour une imprimante, il n’en propose que deux : noire et tricolore (cyan, jaune et magenta). Donc, dès que le réservoir de cyan (la couleur qui part généralement le plus vite dans notre exemple) est vide, le consommateur doit jeter toute la cartouche ! Quand on sait qu’aujourd’hui, un litre d’encre coûte le même prix qu’un litre de parfum Chanel, on se rend compte que le client jette littéralement de l’argent par la fenêtre.

Les puces électroniques sur les cartouches : l’obsolescence programmée

Enfin, les fabricants ajoutent des puces électroniques sur leurs cartouches. Ces dernières sont programmées pour signaler à l’imprimante que vos cartouches sont vides… quand, parfois, elles sont encore pleines ! Par exemple, une puce va être programmée pour signaler à la machine qu’il n’y a plus d’encre au bout de 200 pages imprimées, que ces pages ne comportent que quelques lettres imprimées ou soient pleines de photos.

Pour éviter cette arnaque, il faut choisir sa machine en privilégiant les constructeurs qui utilisent des indicateurs d'usure mécanique, et non électronique, c’est-à-dire des procédés mécaniques qui se référeront au niveau d’encre réel restant dans la cartouche. De plus, ces puces permettent dans une certaine mesure au fabricant de se protéger contre l’intrusion des compatibles, en mettant à jour leurs micro-codes.

Ce qui suit est une histoire d'un utilisateur déçu de son imprimante.

J’ai acheté voici deux ans une imprimante à jet d'encre bon marché et, pendant un bon moment, elle a parfaitement fonctionné. Cette imprimante, une Brother, était rapide, silencieuse, et produisait des pages d’excellente qualité, jusqu’à ce qu’un jour, l’an passé, elle s’arrête soudain de remplir son office.

J’ai consulté le manuel et découvert que l’imprimante pensait que sa cartouche d’encre était vide. Elle refusait d’imprimer la moindre page jusqu’à ce que je remplace la cartouche. Je suis quelque peu avare en la matière : j’ai toujours attendu le dernier moment pour remplacer la cartouche, celui où mes sorties deviennent aussi pâles que les archives de la Déclaration d’indépendance.

Mais là, mes pages n’étaient pas en train de pâlir. Mon imprimante avait-elle besoin de nouvelles cartouches, ou était-elle en train de me mentir ? Pour le savoir, j’ai agi comme je le fais habituellement lorsque j’essaie d’économiser 60 dollars : une recherche sur Google. Finalement, j’ai déniché une note de Fix Your Own Printer.com publiée par quelqu’un qui se fait appeler Alex. Cette personne a aussi suspecté que sa Brother lui mentait, et il a découvert un moyen de l’obliger à bien se conduire. Les cartouches Brother contiennent un capteur. Alex a trouvé qu’en couvrant ce capteur avec un petit bout de ruban adhésif noir, on faisait croire à l’imprimante qu’une nouvelle cartouche était installée. J’ai suivi ses instructions et mon imprimante s’est remise à marcher.

1800 pages imprimées en plus avec du scotch sur le capteur

Au moins huit mois ont passé. J’ai imprimé depuis des centaines de pages, et le texte n’a toujours pas commencé à pâlir. Sur le site Fix Your Own Printer.com, beaucoup d’utilisateurs ont écrit pour remercier Alex de son tuyau. L’un d’eux dit qu’après avoir recouvert le capteur, il a imprimé 1800 pages supplémentaires avant que sa cartouche ne s’épuise.

Brother n’est pas la seule entreprise dont les imprimantes lâchent alors qu’elles sont encore en vie. Parce que cette industrie suit le modèle économique classique du rasoir et des lames - l’imprimante elle-même n’est pas onéreuse, mais l’encre et les recharges ont un prix exorbitant - les fabricants d’imprimantes ont tout intérêt à vous obliger à remplacer les cartouches le plus vite possible.

Une manière de le faire est d’utiliser la technologie : plusieurs types d’imprimantes, comme Brother, sont truffées d'électronique (capteurs ou logiciels qui essaient de prédire quand elles vont manquer d’encre). Souvent, l’imprimante se trompe - partout sur le Web, de nombreux utilisateurs racontent qu’elle les lâche de manière très anticipée.

Arrive alors Alex. Il n’est pas difficile de tromper les imprimantes à jet d'encre et de les amener à penser que vous avez installé une nouvelle cartouche. Certains essaient même de vendre de tels conseils sur eBay.

Farfouiller dans les menus intégrés, tester des combinaisons de touche

Si vous êtes compétent pour faire des recherches sur le Web, vous pouvez probablement trouver gratuitement comment faire. Tapez simplement sur Google une combinaison du numéro de modèle de votre imprimante avec les mots "Cartridge", "Override" , "Cheap" … et peut-être aussi sacrés menteurs.

De telles recherches m’ont permis de découvrir que des imprimantes Hewlett-Packard peuvent être ramenées à la vie en farfouillant dans les menus intégrés et en utilisant certaines combinaisons de touches. (HP enterre ces commandes dans les tréfonds de ses manuels.)

Certains modèles Canon semblent répondre après avoir éteint l’imprimante un bon moment - apparemment, cela permet de remettre à zéro l’indicateur du système.

Si vous ne pouvez trouver d’instructions spécifiques à votre modèle, voici deux conseils généraux :

- Essayez de retirer votre cartouche. En laissant le compartiment vide pendant dix à vingt secondes, le logiciel de l’imprimante peut détecter que vous avez installé une nouvelle cartouche

- Secouer vigoureusement la cartouche donne aussi de bons résultats : cela permet de supprimer les blocs d’encre et de couvrir de toner le capteur interne.

Attention quand même à ne pas faire chauffer la tête d’impression

Ces astuces s’appliquent généralement aux imprimantes à jet d'encre. Il est beaucoup plus difficile de trouver les moyens de neutraliser les capteurs les imprimantes à jet d’encre. Et, au moins selon les fabricants, c’est plus dangereux.

J’ai pu trouver comment contourner les interruptions des imprimantes à jet d’encre HP et un blogueur a réussi à faire de même pour les Brother avec du scotch. Mais je n’ai pas eu la même chance pour les Epson, Lexmark, Canon et d’autres marques.

Parmi les raisons qui expliquent pourquoi les fabricants rendent la triche plus difficile pour les imprimantes à jet d’encre, en voici deux :

- Utiliser une cartouche vide peut chauffer l’une des pièces, la tête d’imprimante et la transformer en bout de plastique inutile.

- L’économie de l’imprimante à jet d’encre est encore plus rude que celle de l’imprimante laser, et les fabricants font bien plus de marge sur les recharges que sur les imprimantes.

Les fabricants d’imprimantes à jet d’encre reposent sur vos achats réguliers d’encre, et ils font beaucoup d’efforts pour protéger leur marché. En 2003, le magazine de consommation britannique Which a montré que les imprimantes à jet d’encre allumaient le voyant "Remplacer l’encre" bien avant que les cartouches s’assèchent.

Après avoir neutralisé les avertissements de sa machine, un chercheur a pu imprimer 38% de pages supplémentaires sur un modèle Espson qui affirmait qu’elle n’avait plus une goutte en stock.

Des avocats en Californie et à New York ont déposé une plainte en action collective contre Epson ; la société a nié avoir mal agi, mais elle a réglé l’affaire à l’amiable en 2006, en donnant aux consommateurs un crédit de 45 dollars. Une plainte similaire est en attente contre Hewlett-Packard.

Les fabricants de cartouches bon marché attaqués en justice

Il y a aussi une guerre ancienne entre les entreprises d’imprimantes et les fabricants de cartouches indépendants, qui vendent des modèles bon marché en packs. En 2003, Lexmark a prétendu qu’une société qui entreprenait de décortiquer le logiciel embarqué dans ses cartouches violait la loi sur les droits d’auteurs.

Les opposants aux protections excessives se sont alarmés : les copyrights couvrent traditionnellement la propriété intellectuelle comme la musique et les films, pas la propriété physique comme les cartouches d’imprimantes. Une cour d’appel fédérale a rejeté la plainte de Lexmark, mais les fabricants ont récemment réussi à utiliser la loi sur les brevets pour obtenir la fermeture de fabricants de cartouches indépendants.

A long terme, cependant, la ligne dure des entreprises d’imprimantes contre les fabricants de cartouches semble vouée à l’échec. Acheter des cartouches d'encre est rébarbatif. Devoir le faire souvent, et à des prix exorbitants, alimente le ressentiment des clients, en plus des mensonges proférés par leurs imprimantes.

Certaines entreprises s’en rendent compte. Quand Kodak a introduit de nouveaux modèles l’an passé, il a mis en avant les prix bas des recharges. Kodak prétend que ses cartouches durent deux fois plus longtemps que celles de ses concurrents et se vendent pour 10 à 15 dollars, une fraction du prix de celles des autres. Quand ma Brother finira pour s’assécher, je ne remplacerai peut-être pas la cartouche d'encre, je remplacerai purement et simplement l’imprimante pour passer au laser pour sa fiabilité, robustesse et rentabilité.

En gros, ce que je reproche pour les "jet d'encre" est la fragilité, prix des cartouches prohibitifs et même, l'obsolescence programmée du matériel. Lorsque l'imprimante n'a pas fonctionné pendant quelques jours, elle se met à "râcler" ou s'auto-nettoyer sans relâche pendant de longues minutes avec à la clef : la surconsommation d'encre, bugs électroniques voire un blocage total de l'imprimante.

COUP DE GUEULE : Deux HP Photosmarts hors-services et 4 jeux de cartouches consommés et ça fait cher la page sur 1 an - La première : HS au bout de 1 semaine quand l'alimentation a pété et l'autre rend l'âme en 12 mois et 2 mois (HS après la garantie, merci l'obsolescence programmée) en raison du "raclage" incessant à l'allumage et après chaque impression avec en prime : la surconsommation et quelques bugs électroniques alors que les Photosmarts ont peu servi. C'est décidé, je passe au laser ! Le "jet d'encre" : BASTA !
 
INFO - Changement de la cartouche d'origine fournie après 7 ans de bons et loyaux services sur la HP Laserjet 1132 MFP achetée fin 2014

Article traduit sur Guardian et MVS

16 septembre 2014

Solanum - La vraie menace…


Cet article date de 2011 et ce virus n'a pas fait parler de lui. Ceci n'est pas du cinéma !

Au cours des dernières années, les médias ont fait les manchettes avec la grippe H1N1, la grippe aviaire, les attaques terroristes, toutes apportant leur lot de panique. Il subsiste cependant une menace bien plus sournoise et violente dont les gouvernements, les autorités et les médias préfèrent cacher l’existence : le solanum.

Le solanum est un virus très contagieux, qui se transmet par la circulation sanguine et qui est transmis par l’échange direct de fluides. Dans la plus part des cas le sujet est contaminé par la morsure d’un mort-vivant, mais il est possible de contracter les germes au contact d’une blessure ouverte contre celle de l’hôte. Les éclaboussures de sang ne sont pas non plus à négliger. Par la suite, le virus se loge dans le cerveau, et utilise les cellules des lobes frontaux pour se multiplier, en les détruisant. Pendant le processus, les fonctions vitales cessent, entraînant la mort de l’individu infecté. Bien que le cœur cesse de battre, il semblerait que le cerveau reste en sommeil et que le virus transforme les cellules pour créer un organe nouveau totalement indépendant d’oxygène. Le cerveau peut néanmoins commander les fonctions motrices du corps. Une fois le virus à maturité, le corps se réanime et devient mort-vivant, communément appelé un zombie !

La science ne connaît toutefois pas l’origine du solanum, pour lequel il n’y a aucun remède. Il est donc dans 100 % des cas mortel. La propagation du virus à l’intérieur du corps est très rapide. En 24 heures, la victime en meurt et est réanimée en zombie. Bien que le solanum se transmette très facilement par contact avec le sang des personnes infectées ou par une morsure de celles-ci, le virus ne se propage pas par les voies aériennes ni par l’eau.

Malgré les efforts des autorités pour cacher l’existence de ce virus et des zombies, de nombreuses preuves attestent son existence, et ce, depuis la nuit des temps. Des hiéroglyphes datant de 3000 ans avant Jésus-Christ ont été découverts en 1892 par des archéologues britanniques sur le tombeau d’un Égyptien totalement inconnu. On peut aussi trouver plusieurs écrits laissés par les Grecs et les Romains. En fouillant dans les archives de la Ville de Sherbrooke, on a appris qu’au début du siècle dernier, les citoyens ne furent pas épargnés par une pandémie de solanum qui fut masquée par le gouvernement sous le nom de grippe espagnole.

Le cinéma hollywoodien à beaucoup contribué à créé une fausse image des morts-vivants. Dans les faits, un zombie ne possède pas de pouvoirs surhumains. À quelques différences près, ils ont les mêmes capacités physiques qu’un humain. Bien qu’ils ne connaissent ni émotions, ni fatigue, ni besoin de nourriture comme source d’énergie, leur incapacité à résoudre des problèmes simples et leur faible vitesse de déplacement demeure leurs plus grands handicaps. L’unique point commun entre les zombies hollywoodien et ceux contaminés au solanum est que, seule la destruction de leurs cerveaux mets ces monstres hors d’état de nuire.

Les armes les plus performantes pour arriver à ses fin sont probablement les suivantes : le pied de biche, pour sa polyvalence; les armes blanches telles une hache avec laquelle un crâne se fracasse aisément; une machette, efficace pour décapiter; ou un katana qui, bien que difficile à se procurer, a démontré maintes fois sont efficacité. Pour ce qui est des armes à feu, le calibre 12 est parfait pour les combats rapprochés mais ne négligez pas l’importance de la carabine de chasse de gros calibre car elle est idéale pour les tirs de longues portées. Cependant, rappelez-vous qu’il est préférable de ne pas jouer les héros face à une troupe de morts-vivants. Trouvez-vous un endroit sécuritaire de préférence éloigné de toutes contamination, préparez vos défenses, ouvrez l’œil et restez-y. Rappelez-vous que les deux plus grands avantages que vous avez pour augmenter vos chances de survie contre les zombies sont la distance et votre l’intelligence.

Il existe plusieurs autres moyens pour se protéger d’une épidémie de solanum et parer aux attaques de zombies, mais il y a peu d’informations fiables pour s’y préparer. Il y a toutefois un guide qui peut vous aider à y faire face.

Disponible dans toutes les librairies, le Guide de survie en territoire zombie de l’auteur Max Brooks, est une référence en la matière. Il passe en revue les niveaux de l’épidémie, une démystification de ce que sont les zombies, quelles armes utiliser pour les tuer efficacement, comment défendre votre maison, comment fuir une zone contaminée, la chasse aux zombies et contient beaucoup d’autres informations nécessaires à votre survie.

Réfléchissez bien aux risques que représente le solanum et n’oubliez pas que personne n’est à l’abri d’une infection. Une attaque de zombie peut survenir à tout moment. Puisqu’il ne semble pas prioritaire pour nos gouvernements et leurs forces de l’ordre, d’informer les simples citoyens contre la menace inhérente que représente une armée de morts-vivants, il est d’une grande importance que vous soyez prêt à vous défendre. Afin d’augmenter vos chances de survie, il est impératif d’avoir le guide de Max Brooks en votre possession. Ce livre peut vous sauver la vie.

10 septembre 2014

CARTON ROUGE - Quand l'excès de zèle explose sur Outlook

Selon les forums informatiques et suite à la migration de Hotmail vers Outlook qui a foiré, de nombreux utilisateurs se sont faits bloquer leurs comptes Hotmail et impose d'entrer un code pour pouvoir accéder de nouveau à la boite email mais pour un temps limité et après, il faudra rentrer un autre code pour y accéder et plusieurs fois pour certains sinon c'est échec et mat ! Sur Facebook, les utilisateurs confirment ce problème devenu récurent et certains ont carrément perdu leurs adresses de messagerie. Microsoft mérite le carton rouge pour ses agissements sans scrupules !


Voici l'histoire d'un utilisateur en colère poussant un coup de gueule : 
Depuis le renommage d'Hotmail en Outlook, j'ai eu des problèmes d'accès à ma messagerie Hotmail.com vieux de 8 ans, j'ai eu comme les autres ce message : "Appelez ça de l'excès de zèle ?" Pour moi, c'est de l'abus car Microchiotte abuse de son pouvoir vu qu'il me demande un code d'accès pour le débloquer. J'ai entré le code reçu dans une autre adresse mail de mon frangin qui est chez GMX et ça a marché mais la joie va être de courte durée car 3 semaines plus tard, rebelote ! Plantage ! Ca recommence ! Je refait la même manip et ce coup-ci, ça casse ! Inaccessible ! Mais, en me déconnectant et reconnectant, ça passe comme par magie mais l'accès est de nouveau bloqué au bout de 15 jours. Je rentre une troisième fois ce putain de code à la con, j'ai de nouveau accès mais pour combien de temps ? Malheureusement, ça a encore bloqué au bout d'un mois. J'abats ma dernière carte pour réactiver l'accès mais au bout de 4 jours : bloqué et je perds mon mail. Alors là, je dis basta et j'arrête les frais ! Puisque c'est comme ça, j'ai changé de boîte mail. Fini Hotmail et direction La Poste.net. Pour finir ce coup de gueule, je recommande à tous mes proches (ainsi que les autres) de boycotter Hotmail et d'ouvrir une adresse mail ailleurs. Hotmail, c'est stop ! Merci à la migration d'Hotmail vers Outlook foireuse !
Au fait, d'autres messages bloquants style "Il semble que quelqu’un d’autre utilise votre compte" ou "Pour utiliser cette adresse de messagerie, vous devez vérifier qu’il s’agit bien de la vôtre" peuvent s'afficher à la connexion. Microsoft veut jouer avec les nerfs, boycottez Hotmail et changez d'adresse de messagerie.