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6 juin 2010

EXPLOSIF ! Du poison dans l'eau du robinet et le scandale éclate !!!

Pendant huit mois, la journaliste Sophie Le Gall, a arpenté les campagnes de France avec sa « valise multimédia ». Une invention brevetée permettant de confronter ses interlocuteurs aux documents accablants en possession de la journaliste. Un moyen « d’éviter la langue de bois », selon la société de production, Ligne de Mire, mais aussi de rendre très vivante une « enquête administrative et scientifique » qui prouve que les Français sont inégaux face à l’eau de leur robinet.

Aluminium. Dès 1998, France-Soir relayait une étude inquiétante sur l’aluminium utilisé pour traiter l’eau colorée par la pluie. Absorbé en trop grande quantité, il favorisait l’apparition de la maladie d’Alzheimer. Pourtant, douze ans plus tard, 16 millions de personnes restent exposées et 4 millions consomment une eau qui dépasse la norme, à Saint-Etienne, Saint-Brieuc, Saint-Nazaire ou Montbéliard. A Paris, le recours à l’aluminium a cessé il y a plus de trente ans. Qu’en disent les autorités ? Une responsable de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) met un terme à l’interview : « Je vous demande de couper l’émission. »

Radon. Ce gaz hautement radioactif s’échappe des sols granitiques et entraîne sur le long terme des mutations dans l’ADN. A court terme, il affecte reins et foie. Zoom sur la Haute-Vienne, lors d’un test sur une source. Commentaire d’un membre de la Commission de recherche et d'Information indépendantes sur la radioactivité (Criirad) : « 255.000 becquerels par mètre cube ! J’ai jamais vu ça depuis dix-sept ans. » Problème, la DDASS mène des analyses mais n’informe pas les communes touchées.

Nitrates et pesticides. En 2008, cinq millions de Français ont bu une eau dépassant la norme. A la clef : risques de maladie de Parkinson, cancer, et asphyxie des nourrissons. La journaliste a enquêté dans la Beauce, terre sinistrée par l’agriculture intensive et en Seine-et-Marne où un seul des cinq villages visités affiche ses analyses d’eau, alors que c’est une obligation légale. Des communes peuvent continuer de distribuer une eau impropre à la consommation, « par dérogation » préfectorale.

Médicaments. 3.000 molécules médicamenteuses se retrouvent dans les cours d’eau : neuroleptiques, aspirine, pilule contraceptive. Avec des effets ahurissants. Des poissons se féminisent. Image surprenante captée dans la Seine : un ovaire qui se développe sur le testicule d’un chevesne, l’un des poissons les plus courants de nos rivières.

Source : France Soir


Le documentaire hautement explosif a été censuré par Dailymotion quelques heures après sa publication et Youtube censure également après quelques jours mais remis en ligne par d'autres internautes résistants. Merci de faire tourner l'article brûlant ! C'est très urgent car c'est notre santé qui risque de prendre un coup dans la gueule !