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27 février 2017

FLASH - Jusqu'à 20 à 25 minutes de pub a la télé par heure ?

Le plafond des 12 minutes par heure pourrait être à l'avenir une simple moyenne sur la journée.

Le verrou du maximum de 12 minutes de publicité télévisée sur une chaîne donnée pour chacune des heures de la journée pourrait bientôt sauter.

Selon nos informations, les services de la Commission européenne chargés de réviser la directive sur les services de médias audiovisuels (SMA) envisagent en effet de proposer que ce plafond de fenêtre publicitaire soit désormais calculé sur la base d'une moyenne entre 7 heures et 23 heures. En d'autres termes, on pourrait avoir des heures avec plus de 12 minutes et d'autres avec moins, du moment que la moyenne est de 12 minutes. Un calcul par heure est trop bureaucratique, estime-t-on à la Commission.

Le vice-président de la Commission chargé du Marché unique du numérique, Andrus Ansip, a expliqué, en clôture d'un colloque du ministère de la Culture, que les règles régissant la publicité en Europe « devaient être assouplies ».

Andrus Ansip a précisé aux « Echos » que des propositions seront également faites pour assouplir les règles de placement de produit et de sponsoring sur le petit écran.

Evidemment, ces projets n'en sont qu'au stade de propositions : le collège des 28 commissaires doit en effet se mettre d'accord, et ces mesures devront ensuite être approuvées par le Parlement et le Conseil européens.

Il se prépare une réforme de la directive européenne qui régit les services médias audiovisuels (télévision, radio,…). Le projet de texte de cette réforme sera présenté la semaine prochaine par la Commission. Ce projet prévoit de permettre encore plus d’invasion publicitaire.

Aujourd’hui, la réglementation européenne impose aux chaînes de télévision de ne pas dépasser une limite de 20% de publicité par heure. Mais les lobbies ont obtenu bien plus. Le projet de réforme prévoit qu’une chaîne de télévision pourrait diffuser 30 ou même 40% de publicité durant les heures de grande écoute (entre 19h et 22h) et compenser cela en ne diffusant que 10% de publicité durant les heures creuses de la matinée.

Le projet de réforme prévoit également de permettre aux chaînes de télévision d’interrompre plus fréquemment les films par des sports publicitaires mais il ne faudra pas s'étonner que les personnes se mettent à regarder les films en VOD, streaming,... mais aussi sur DVD ou BD ou téléchargent légalement. Jusqu’ici, la réglementation prévoit que les coupures publicitaires doivent être espacées d’un moins 30 minutes. La Commission propose de permettre d’interrompre un film toutes les 20 minutes pour des pages publicitaires soit 3 coupures par heure.

Enfin, le projet de réforme devrait également autoriser plus de placements de produits dans les programmes, c’est-à-dire de la publicité déguisée disséminée dans le programme. Seuls les programmes religieux, les journaux télévisés et les émissions pour enfants devraient être préservés de cette intrusion publicitaire déguisée.

Voilà qui rappelle cette citation de Patrick Le Lay lorsqu’il était président directeur général du groupe TF1 :
« Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective business, soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit. Or, pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible.

Rien n’est plus difficile que d’obtenir cette disponibilité. C’est là que se trouve le changement permanent. Il faut chercher en permanence les programmes qui marchent, suivre les modes, surfer sur les tendances, dans un contexte où l’information s’accélère, se multiplie et se banalise.

La télévision, c’est une activité sans mémoire. Si l’on compare cette industrie à celle de l’automobile, par exemple, pour un constructeur d’autos, le processus de création est bien plus lent ; et si son véhicule est un succès il aura au moins le loisir de le savourer. Nous, nous n’en aurons même pas le temps !

Tout se joue chaque jour, sur les chiffres d’audience. Nous sommes le seul produit au monde où l’on ‘connaît’ ses clients à la seconde, après un délai de 24 heures. »
— extrait tiré du livre Les dirigeants face au changement, Éditions du Huitième jour, 2004

"Les producteurs européens se plaignent d'être dans une position défavorable pour le financement des contenus face aux Américains", explique Andrus Ansip. Il est vrai qu'aux Etats-Unis, les plages de publicité atteignent un tiers du total sur une heure donnée et donnent potentiellement plus de moyens aux chaînes pour investir. Même si des émissions outre-Atlantique comme le légendaire "Saturday Night Live" ont récemment décidé d'abaisser le temps consacré à la pub, la tolérance des télépectateurs allant en diminuant avec la hausse de la consommation de télé à la demande.

Les règles actuelles fixées par Bruxelles en matière de plages de pub sont des règles minimales, en tout cas avant la future révision de la directive. La France en a une interprétation plus restrictive. Ainsi, le temps d'antenne consacré à la publicité pour les chaînes de la TNT "est limité à 9 minutes par heure en moyenne quotidienne sur l'ensemble des périodes de programmation au cours desquelles cette diffusion est autorisée, et à douze minutes pour une heure d'horloge donnée," dit le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA).

La volonté d'assouplissement ne va pas manquer de faire débat. Il semble que les télés françaises n'y sont pas aussi favorables qu'on pourrait l'imaginer. Il y a un risque de "démultiplication de l'offre et donc un nivellement par le bas des tarifs avec au final un sous financement général", réagit une chaîne. Les autres médias pourraient s'inquiéter de se voir chiper des budgets publicitaires par la télé. La France est en outre plutôt encline à limiter le territoire de la publicité. Pas sûre qu'elle accepte à terme, par exemple, des plages de 20 minutes en prime time.

Marre de la pub à foison à la téloche ? Passez à la VOD, streaming, DVD et BD

Sources : Les Echos et Media-Presse

25 février 2017

Véhicules d'occasion : trafics, vols et arnaques

Quand les garages clandestins et experts sans scrupules réparent pour une poignée d'euros et laissent rouler des bagnoles en piteux état compromettant la sécurité des usagers de la route. Si vous achetez une voiture d'occasion sur le Web : méfiez-vous des prix bas car le véhicule peut être volé ou en mauvais état - Avant l'achat, essayez le véhicule avec le vendeur et exigez factures et carnet d'entretien.

5 millions de voitures se vendent chaque année sur le marché de l'occasion. Avec l'essor des petites annonces sur Internet, les acheteurs, attirés par des prix très attractifs, sont de plus en plus nombreux. Mais derrière ces prétendues bonnes affaires se cachent parfois des arnaques. Ce document vous dévoile comment, au terme d'investigations au long cours, les unités spécialisées de la police et de la gendarmerie parviennent à démanteler les réseaux criminels à l'origine de ces escroqueries.

En Ile-de-France, la Section de Recherche de Paris a mis au jour une impressionnante filière de revente de véhicules qui n'auraient jamais dû sortir de la casse. Les voitures, fortement endommagées à la suite de graves accidents de la route, étaient réparées au rabais par des garagistes peu scrupuleux. Véritables épaves roulantes, elles étaient remises en circulation par des experts véreux ; une combine qui mettait chaque jour des milliers de vies en danger.

Le marché de l'occasion est également le moyen d'écouler des véhicules volés. À la manœuvre, des mafias qui se jouent des frontières. Leur cible favorite : les grosses cylindrées. Souvent dérobées à la suite d'un piratage électronique, elles sont savamment maquillées dans des ateliers clandestins. Et pour les revendre sans attirer la méfiance, les malfaiteurs recrutent des complices au-dessus de tout soupçon...
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FLASH - Un rapport "secret défense" pointe les risques de manipulations génétiques à des fins terroristes

Le Conseil national consultatif pour la biosécurité estime que les avancées sur la synthèse de génomes pourraient servir des intentions belliqueuses.

Il y a tout juste un an, James R. Clapper, directeur du renseignement américain, classait les nouveaux outils d’édition du génome parmi les « armes de destruction massive ». S’il n’était pas nommément cité dans le rapport annuel sur les menaces mondiales, le système Crispr-Cas9 était clairement dans sa ligne de mire : dérivé d’un mécanisme de protection des bactéries contre les virus, il a, depuis sa découverte en 2012, envahi quasiment tous les laboratoires de biomédecine, où il est utilisé pour désactiver et modifier des gènes à volonté, rapidement et à moindre coût.

Révolutionnaire, Crispr-Cas9 pourrait-il vraiment devenir, dans de mauvaises mains, une arme de destruction massive ? En France, le Conseil national consultatif pour la biosécurité (CNCB) ne le pense pas. Créé en 2015 pour réfléchir aux détournements d’outils biologiques à des fins belliqueuses ou terroristes, le CNCB vient de remettre au gouvernement un rapport sur le sujet qui restera classifié mais dont les conclusions et les recommandations ont été rendues publiques mardi 7 février.
« Notre avis est assez différent de celui des services secrets américains, souligne le microbiologiste Antoine Danchin, qui a coordonné le rapport. Crispr-Cas9 n’est rien d’autre qu’une amélioration de techniques disponibles depuis des décennies. De plus, c’est intéressant pour manipuler les cellules eucaryotes [dotées d’un noyau], mais cela n’accroît pas le risque concernant les micro-organismes pathogènes – virus ou bactéries. »
En revanche, le CNCB s’inquiète des progrès de la biologie de synthèse, qui permet de reconstituer des génomes et « pose la question de la possibilité de recréer de novo des micro-organismes déjà existants dans la nature, notamment des virus (…) qui pourraient présenter de réels risques pour la sécurité sanitaire des populations ». « On ne peut pas dire qu’une maladie est éradiquée dès lors que le génome de l’agent est connu », résume Antoine Danchin : il est désormais possible de reconstituer de toutes pièces le génome qui peut assurer sa renaissance.

Plusieurs parades ont été imaginées, rappelle-t-on au secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN), où on souligne que la réponse ne peut être qu’« universelle ». Quarante-deux Etats se sont ainsi associés, formant le Groupe Australie, par exemple, pour contrôler l’exportation d’équipements biologiques sensibles. Les synthétiseurs de gènes devraient prochainement en faire partie. Mais ni la Russie ni la Chine ne participent au Groupe Australie.

Risques de détournement des travaux

Autre initiative, l’International Gene Synthesis Consortium (IGSC), qui rassemble 80 % des sociétés offrant des services de synthèse de gènes : elles contrôlent systématiquement que les commandes ne comportent pas d’éléments permettant de reconstituer des agents pathogènes. Ce qui laisse 20 % du marché potentiellement ouvert à de tels détournements… Même si la France ne compte aucun industriel faisant de la synthèse à façon de gènes, le CNCB appuie ces stratégies. Il souhaite aussi que les requêtes des bases de données publiques et privées répertoriant les séquences d’agents pathogènes fassent l’objet d’une surveillance automatisée.

Philippe Marlière, spécialiste de la biologie de synthèse, doute de l’efficacité de tels embargos face à la volonté d’Etats voyous. « La fabrication de segments d’ADN peut s’effectuer sans synthétiseurs, dit-il. Kim Jong-un pourrait ordonner à une armée souterraine de laborantins la synthèse totale d’une version “anti-impérialiste” du virus HIV en une année, par exemple. » La prolifération nucléique serait plus difficile à contrôler que la prolifération nucléaire…

Philippe Marlière pointe aussi le rôle de Crispr-Cas9 dans la mise en œuvre effective du « forçage génétique », qui permettrait d’introduire dans une espèce une modification permanente et transmissible. « Des initiatives d’interventions génétiques par des bio-hackers pourraient déjà commencer », estime-t-il, même si elles nécessiteraient une logistique lourde, d’élevage notamment. Plusieurs programmes de recherche officiels portent actuellement sur l’éradication du moustique, vecteur de nombreuses maladies, mais on mesure mal les conséquences de sa disparition au niveau d’un écosystème. Le CNCB estime que « cette capacité pose de nombreuses questions éthiques » et travaille sur ces questions en liaison avec le Haut conseil des biotechnologies (HCB).

Chapeauté par le SGDSN, le CNCB est composé de six chercheurs habilités secret-défense et de six représentants de ministères régaliens. Sa naissance a été « un long périple », rappelle le neurobiologiste Henri Korn, coauteur en 2008 d’un rapport à l’Académie des sciences, Les menaces biologiques. Biosécurité et responsabilité des scientifiques, qui a inspiré sa création. Le sous-titre sur la responsabilité est toujours d’actualité : la prochaine mission du CNCB, indique-t-on au SGDSN, « sera de mettre en place une charte déontologique des chercheurs, qui soulignera le risque de détournement de leurs travaux ». La Direction générale de la sécurité intérieure a entamé des actions de sensibilisation des jeunes chercheurs et des laboratoires « communautaires ». Les logiques de transparence et de secret risquent de s’affronter. « A titre personnel, insiste Antoine Danchin, je suis convaincu que toute vérité n’est pas bonne à dire. Que si on découvre une technologie qui peut être détournée, une forme d’autocensure est utile. »

Source : Le Monde

24 février 2017

Dans le secret des operations commando de la gendarmerie

Pendant 6 mois, ce document a suivi plusieurs troupes de choc de la gendarmerie nationale. Interpellation de gangs de cambrioleurs, transfert d'Yvan Colonna ou traque de criminels dangereux : leurs interventions sont toutes à risque. L'une de ces unités est dirigée par Sarah, une jeune et brillante femme de 30 ans. Après des épreuves physiques les poussant à l'extrême, vous verrez ses meilleurs hommes partir en mission en Martinique, une île paradisiaque en partie minée par le chômage, la violence et la drogue. Comment ces militaires gèrent-ils le danger en opération ? Comment supportent-ils l'entraînement et le dépassement de soi quasi quotidien ? Comment vivent-ils loin de leur famille ?

21 février 2017

FLASH - Infidélité, les signes qui ne trompent pas !

Vous avez des soupçons quant à sa fidélité ? Vous êtes un brin parano ? Les détectives privés, habitués aux affaires d'adultère, révèlent les signes qui devraient vous mettre la puce à l'oreille. A savoir que l'infidélité est la cause majeure de rupture au sein des couples.

Pratique bien courante aux États-Unis, les détectives privés sont appelés à vérifier si un conjoint est infidèle… ou non. Selon une étude du renommé Kinsey Institute for Research in Sex, Gender, & Reproduction en 2011, 19% des femmes ainsi que 23% des hommes avaient admis avoir été adultère.

Admis est ici le mot clé. De plus, la définition d’adultère d’une personne à l’autre semble être assez nébuleuse... sur cette question même Bill Clinton acquiescerait. N’empêche. Peggy Vaughn, l’auteure du livre The Monogamy Myth, affirme que 60% des hommes et 40% des femmes auront une aventure sexuelle hors union, et ce, au moins une fois dans leur vie.

Une étude de l’Université de Washington démontre que 62% des hommes et 46% des femmes ayant trompé leur conjoint l’ont fait avec un ou une collègue de travail. Vive le télétravail ! Néanmoins, ces chiffres sont inquiétants. L'équation donne ceci : Mensonges + Menage en bateau + Infidélité = TRAHISON TOTALE !

Avez-vous parfois des doutes sur la fidélité de votre partenaire ? Voici quelques propos recueillis en toute confidentialité de détectives privés qui ne sont que trop familiers avec le modus operandi des partenaires infidèles. De façon générale, certains indices ne mentent pas. Les voici :
  1. Votre partenaire reste scotché(e) à son téléphone ou son ordinateur
  2. Votre partenaire devient froid(e) et distant(e)
  3. Votre partenaire vous néglige, repousse et mène en bateau
  4. Votre partenaire ne s'intéresse plus aux projets communs
  5. Votre partenaire fait de moins en moins l'amour avec vous
  6. Votre partenaire rentre fréquemment tard de son travail
  7. Votre partenaire sort + souvent avec ses amis qu'avec vous
  8. Votre partenaire va au restaurant avec une personne célibataire
  9. Votre partenaire ne vous respecte plus
  10. Votre partenaire change de comportement et d'attitude
  11. Votre partenaire vous prend la tête ou vous critique 
  12. Votre partenaire se grille tout(e) seul(e)
    La règle est claire, le fait d'aller voir ailleurs se traduira d'office par un BANNISSEMENT IMMEDIAT et INDISCUTABLE pour trahison totale et manque de respect, et il y aura pas de retour en arrière vu que la décision sera ferme et définitive. En cas d'infidélité, dégagez direct votre partenaire avec un bon coup de pied aux fesses et claquez-lui la porte en pleine face !

    Source : Huffington Post (2014)


    Bonus du 01/10/2017 - Ce que dit la jeune Africaine @ 22 mn sur le plateau de "C'est mon choix" et elle n'a pas tort ! Quand je suis en couple : je respecte, je communique et je ne trahis pas ma partenaire mais en aucun cas, je ne vais jamais voir ailleurs autrement : c'est la porte pour de bon !

    18 février 2017

    Légion étrangère : 1 mois au cœur de l'enfer vert

    Survie en pleine jungle, parcours d'obstacles réputés infranchissables, techniques de combat : 35 soldats vont devoir repousser leurs limites physiques et psychologiques pour venir à bout de la formation militaire la plus prisée et la plus difficile. Face à eux, les impitoyables instructeurs de la Légion étrangère.

    Âgés de 20 à 45 ans, les stagiaires ont été sélectionnés parmi les meilleurs éléments de l'armée française. Tous rêvent d'épingler à leur uniforme l'insigne réservé aux spécialistes de la forêt amazonienne, l'un des terrains d'action les plus hostiles au monde.

    Pourtant préparés à affronter des conditions extrêmes, ces soldats d'exception vont découvrir un univers où le confort est sommaire, la discipline de fer et le moindre faux pas éliminatoire. Même la nourriture se mérite !

    Après quatre semaines d'efforts et de privations, combien seront encore au garde à vous, prêts à recevoir le précieux sésame ? Immersion au cœur d'une aventure hors du commun...


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    17 février 2017

    EXPLOSIF - La vérité sur les vaccins et l'autisme : des chercheurs dénoncent un complot sur la santé - VAXXED - A quand la seringue dans leurs fesses ?

    Document choc sur les dessous des agences de santé qui contrôle les vaccins. Même si plusieurs médecins et chercheurs tentent de démontrer le lien évident entre les vaccins et l'autisme, le CDC continue à nier les faits, utilise les mensonges, fausse les statistiques, produit des données truquées, détruit de documents capitaux, et entrave la justice. Tout ça pour qui? Pourquoi?

    Mais maintenant on sait : Les vaccins causent l'autisme. Il n'y a plus de doute possible.

    Des hauts responsables du CDC, coupables pourtant d'avoir triché, se retrouvent soudainement "récompensés" et obtiennent des postes prestigieux dans l'industrie pharmaceutique!

    Entre-temps, des enfants de plus en plus nombreux se voient diagnotiqués autistes et sont handicapés à vie et souffrants à cause des bêtises cupides de ces administrateurs. Pour les parents, c'est définitivement un drame et un fardeau.

    Mais les hauts responsables semblent pouvoir s'en tirer, encore, car les médias ne diffusent pas l'information. Jusqu'où cela doit-il aller pour que l'on arrête ces génocides déguisés et qu'on emprisonne les coupables ?


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    Selon les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), le nombre d'enfants autistes a augmenté de 78% en Zunie au cours de la dernière décennie. On estime aujourd'hui qu’un enfant sur 88 est atteint d’une forme quelconque de trouble autistique. Nos écoles sont véritablement bondées d’enfants ayant des besoins spéciaux, et des millions de parents tentent désespérément de comprendre pourquoi tant d'enfants ont ces graves problèmes de développement. Curieusement, la plupart des enfants autistes étaient au départ tout à fait normaux. La plupart d'entre eux se développent très bien pendant la première ou les deux premières années, et puis se produit une chose dramatique. Qu’est-ce donc que cela pourrait être ? Eh bien, il y a un secret que vous n'êtes pas censé savoir. Ce secret est que les vaccins sont l’une des causes principales de l'autisme. Le pourcentage de nos enfants atteints d'autisme a augmenté avec le nombre de vaccins qui leurs sont administrés. Aujourd'hui, dans certaines régions de Zunie, plus de 30 vaccins sont injectés aux jeunes enfants avant trois ans. Quand vous injectez tant de mercure et tant d'autres produits toxiques directement dans le sang des jeunes enfants vulnérables, des choses graves sont inévitables. Les preuves liant les vaccins à l'autisme continuent à affluer, et pourtant l'establishment pharmaceutique nie toujours avec vigueur qu'il pourrait possiblement y avoir un lien entre les deux.

    Chaque année, des milliers et des milliers de parents amènent leurs bambins en parfaite santé chez le médecin pour le faire vacciner, et finissent plus tard par le regretter amèrement. Peu de temps après l’un de leurs trop nombreux vaccins, beaucoup d’enfants tombent malades, arrêtent de parler et ne se remettent jamais. Les parents de ces enfants restent complètement anéantis.

    Si vous vous mettez à surfer sur Internet, vous pourrez trouver assez de témoignages de ce genre pour rester à les lire pendant des jours entiers.

    Or, pour l'establishment pharmaceutique, aucun lien ne doit jamais être admis entre vaccins et autisme. Des centaines de milliards de dollars de profits sont en jeu, et reconnaître que les vaccins provoquent l'autisme aurait des implications juridiques absolument hallucinantes.

    Jamais, jamais, jamais, jamais, les grandes compagnies pharmaceutiques ne reconnaîtront ce lien. Et puisque ces entreprises dépensent aussi des milliards de dollars en publicité dans les médias grand public, ceux-ci non plus ne reconnaîtront jamais ce lien.

    C’est entièrement une question de pognon.

    C’est pourquoi ils doivent se comporter d’une manière incroyablement intrigante quant à ce qui est à l'origine de la poussée dramatique des cas d'autisme en Zunie.

    Et la poussée dramatique est en réalité un euphémisme.

    Il devient vraiment difficile de nier que l'épidémie d'autisme est ici absolument explosive. Ceci provient d’un article récent de CNN :
    En 2000 et 2002, l'autisme était estimé toucher environ 1 enfant sur 150. Deux ans plus tard, à 8 ans, 1 enfant sur 125 était autiste. En 2006, ce rapport était de 1 sur 110, et les toutes dernières données – de 2008 – suggèrent qu’un enfant sur 88 est autiste.
    Quelle en est donc la cause ?

    Les principaux médias lancent toutes sortes de théories bizarres.

    Mais un nombre croissant de parents en arrivent à une conclusion. Malgré la propagande écrasante dans les médias grand public, selon laquelle les vaccins ne provoquent pas l'autisme, un sondage a révélé qu’un parent sur quatre pense désormais que les vaccins sont à l’origine de l'autisme.

    De ce fait, pourquoi tant de parents ne sont pas écoutés par les experts corrompus ?

    Eh bien, c'est à cause de ce qu'ils voient dans la vie réelle. Ce qui suit provient d'un article récent du Huffington Post :
    C'est un fait que de nombreux enfants atteints d’un désordre du spectre autistique voient leur développement normal régresser juste au moment où on leur administre de multiples vaccins, lors de leurs visites habituelles chez le médecin. Les responsables de la santé estiment que le moment est purement fortuit.

    La régression survient généralement entre 12 et 24 mois, bien qu’une étude ait découvert que certains enfants montrent des signes d'autisme dès six mois, mais jamais avant cet âge.

    À l'âge de six mois, la plupart des enfants zuniens ont reçu environ 18 inoculations contenant 24 vaccins contre neuf maladies. Au cours des deux années suivantes, ils recevront encore neuf piqûres contenant 14 vaccins contre 12 maladies.

    Ainsi, quand un enfant régresse à six mois, ou à 18 mois, cette tragédie arrive en période de vaccination intensive. Dans de nombreux cas, des parents signalent que leur enfant a eu une réaction anormale après avoir été vacciné (convulsions, poussées de fièvres, diarrhées, léthargie, cris aigus et/ou d'autres symptômes).
    Si votre enfant cessait de parler dans les jours (voire les heures) suivant un vaccin, comment vous sentiriez-vous ?

    Des grandes compagnies pharmaceutiques financent de nombreuses études pour essayer de montrer l’absence de lien entre vaccins et autisme, mais de nombreuses études indépendantes contredisent leurs conclusions. Ce qui suit est tiré d’un article de Paul Joseph Watson :
    L’épidémiologiste Tom Verstraeten et le Dr Richard Johnston, immunologiste et pédiatre à l'université du Colorado, ont tous deux conclu que le thimérosal est responsable de la poussée dramatique des cas d'autisme, mais leurs conclusions ont été rejetées par le CDC.

    En Zunie, les cas d'autisme ont maintenant bondi de plus de 2700 pour cent depuis 1991, qui est l’époque où les vaccins pour enfants ont doublé, et le nombre de vaccinations ne fait qu'augmenter. À peine un enfant sur 2.500 était diagnostiqué autistique avant 1991, alors qu’un enfant sur 91 est à présent atteint par cette maladie, contre un sur 150 il y a six ans.
    Et si tout ce mal provenait du thimérosal ?

    Eh bien, le thimérosal contient du mercure, l'une des substances les plus toxiques connues de l'humanité. Il a été prouvé que le mercure compromet gravement le développement neurologique. Ce qui suit vient directement du site Internet de l’EPA (Agence de protection environnementale) :
    Chez le fœtus, le nourrisson et l’enfant, le principal effet sur la santé du méthylmercure est de nuire au développement neurologique. L'exposition au méthylmercure dans l'utérus, qui peut résulter de la consommation par la mère de poissons et crustacés contenant du méthylmercure, peut affecter le cerveau et le système nerveux en pleine croissance du bébé. Des conséquences sur la pensée cognitive, la mémoire, l’attention, le langage, l’adresse manuelle et l’habileté spatiale visuelle ont été observées chez les enfants exposés au méthylmercure dans l'utérus.
    Pourquoi donc grand dieu voudrions-nous inoculer d’énormes doses de mercure à nos jeunes enfants, juste au moment où leur cerveau commence à se développer ?

    C’est littéralement fou de faire un truc pareil !

    Dans le monde entier, beaucoup d'autres pays ont reconnu cela et ont interdit le thimérosal dans les vaccins.

    Ce qui suit provient d'un article de Dawn Prate :
    "En 1977, une étude russe constata que des adultes exposés à l'éthylmercure, la formule mercurielle présente dans le thimérosal, souffraient de dommages cérébraux quelques années plus tard. Les études sur l'intoxication au thimérosal ont aussi décrit une nécrose tubulaire rénale et des lésions du système nerveux, dont la perte de sensibilité, le coma et la mort. La conséquence de ces constatations fut que la Russie interdit le thimérosal dans les vaccins des enfants en 1980. Le Danemark, l'Autriche, le Japon, la Grande-Bretagne et tous les pays scandinaves, ont également interdit cet agent de conservation."
    Dans ces conditions, pourquoi n'est-il pas interdit ?

    Et pourquoi, chez nous, de si nombreux parents permettent toujours de l’injecter en quantité très élevée directement dans le sang de leurs précieux bambins ?

    Des milliers et des milliers de parents sont prêts à témoigner qu'ils ne laisseraient jamais vacciner leurs enfants s'ils pouvaient revenir en arrière et recommencer.

    Voici quelques témoignages sur les vaccins et l'autisme, qui ont été postés par des lecteurs d’Organic Health :

    Katrina : Mon fils a développé de l'autisme à 15 mois, suite à ses vaccinations. Ce n'est guère surprenant puisqu'il avait eu 26 vaccinations à ce moment-là. Son organisme fragile ne pouvait supporter davantage de poison et son parler de 19 mots (régulièrement) lors de son bilan de santé à 15 mois avait régressé à 2 mots (rarement) lors de son bilan de santé à 18 mois. Je crois FERMEMENT que les médecins sont manipulés ou trompés à la faculté de médecine... et ainsi... n’en sortent que pour manipuler ou tromper leurs patients. 3 MOTS... NOUVEL ORDRE MONDIAL... Faites des recherches sur ça. Je suis heureuse de voir que beaucoup d’entre nous, les moutons, commencent à se réveiller. Au fait, il s’agit intégralement de la révélation biblique. Dans l'Apocalypse, la ville de Babylone est dite avoir trompé le monde avec sa SORCELLERIE (la traduction grecque indique Pharmekia... ce qui veut dire Produits pharmaceutiques !!) Quand est-ce que les églises CHRETIENNES prendront conscience de cela ??

    Anonyme : Eh bien, je n'ai pas un mais deux enfants atteints d'autisme suite aux vaccins infantiles. J'ai fait confiance aux médecins qui m'ont fait peur à ce propos. Ils m'en ont parlé et dit qu'il y avait relativement peu de chance que mes enfants aient une réaction. Eh bien, après les piqûres, mes enfants sont devenus si malades que j’ai dû les mettre tous les deux à l'hôpital sous perfusion pendant 4 jours. Leurs membres étaient flasques et ils étaient incapables de garder la tête droite – tout ce qu'ils pouvaient faire, c’était de rester couchés là, avec de la diarrhée et de la fièvre. Je pensais qu'ils allaient mourir. Après cela, ils ont été retardés et le diagnostic d’autisme est tombé. Maintenant, expliquez avec vos statistiques combien d'enfants étaient autistes avant les années 80... 1 sur 10.000 !! Récemment, cela a été évalué entre 1 sur 60 et 1 sur 90, en fonction de la source ou de l'État. Il n'existe pas statistiquement de chose comme une épidémie génétique. Vraisemblablement, une composante génétique ou une faiblesse est déclenchée par quelque atteinte environnementale à l’organisme. Je dirais qu’un coupable probable est les vaccins combinés à notre régime moderne d'aliments crades, hautement transformés, et aux cochonneries en plus du manque de vrai soleil et de vitamine D3.

    Cindy : J'ai eu quatre enfants et on ne m’a jamais dit de me faire vacciner contre la grippe ni encouragée à le faire en obstétrique et gynécologie durant mes grossesses. Je vous en prie, refusez ce vaccin si vous êtes enceinte et rejetez le pour vos enfants ! Les vaccins provoquent de nombreuses maladies et même des décès. J'ai presque perdu ma fille autiste, elle s’éteignait, mais j’ai arrêté les vaccins et elle a retrouvé la santé. Pourquoi quelqu’un permettrait-il d’injecter ces poisons à son enfant nouveau-né. Ils sont la cause de beaucoup de maladies infantiles et de maladies d’aujourd'hui. Autisme, trouble déficitaire de l'attention, trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité, asthme, allergies et d'autres encore. Beaucoup d'informations sont disponibles pour en savoir plus. S'il vous plaît, découvrez la vérité pour vous-même...

    Freddie : Lorsque notre fille avait 18 ans, elle a fait une grave réaction à sa vaccination – température extrêmement élevée, inconsolable, et cela a duré plusieurs jours après la piqûre – c’était affreux. Elle a même montré des signes d'autisme, ce qui nous a fait craindre à qu’il n’y aurait pas de fin, mais finalement ça s’est calmé. Nous avons commencé à nous méfier de tous les vaccins et regrettons maintenant ceux qui ont été faits à nos trois enfants. Bien sûr, le médecin nous a fait tous passer un épisode difficile. Nous avons pratiqué l’enseignement à domicile, et j'ai entendu dire que depuis qu’ils sont éduqués chez eux, les enfants ayant d’habitude moins de vaccins (les écoles exigent que tous les vaccins soient à jour), il y a moins de cas d'autisme. Je pense que de nombreuses personnes ont pris de mauvaises décisions en plus de s’enrichir beaucoup avec les vaccins. Dieu ne nous a pas destiné à nous faire injecter des poisons dans le sang. Au dos des dossiers de mes enfants il est dit "Baby Shots, A Healthy Dose of Love !" – PAS MOI.

    DA : Avez-vous une idée du nombre de gens que je connais, surtout des petits garçons, qui ont développé de l'autisme après l’une de ces très petites piqûres inoffensives que l’on nous dit parfaitement sûres ? Près d'une douzaine ! Sans étudier chaque chose se passant dans notre corps, nous sommes des agneaux à l'abattoir. Notre vie et celle de nos enfants sont en jeu. Le jour où les compagnies pharmaceutiques vaccineront à l’œil, quand elles ne feront plus de fric avec ça, je leur ferai plus confiance. Jusqu'à ce jour, soyez très prudent car nous sommes tous manipulés au nom du monstrueux dollar !

    AJD : L'autisme touche 1 enfant sur 91, avec 1 garçon sur 58 depuis le mois dernier. Les signes d'autisme ne sont pas visibles avant que l'enfant ait au moins 12 mois. Jusque-là, FAITES ATTENTION. Suivez le calendrier de vaccination de remplacement affiché sur GenerationRescue.org. Mangez des aliments bio, arrêtez le sucre et la malbouffe, prenez vos vitamines ou préparations multivitaminiques prénatales après la naissance et procurez-vous de la vitamine D et B12 certifiées après l'accouchement. ALLAITEZ VOTRE BÉBÉ LE PLUS LONGTEMPS POSSIBLE. Dans l'intervalle, des suppléments de vitamine A et C sont utiles pour le développement de son cerveau et de son système immunitaire. Des probiotiques peuvent aussi être donnés au nouveau-né. PRENEZ SOIN DE VOUS ET DE VOS ENFANTS MAINTENANT... Espérons que votre enfant ne rejoindra pas dans l'avenir l'épidémie d'autisme, d’allergies alimentaires graves, de maladies auto-immunes ou même de cancer. Je vous souhaite à toutes la meilleure maternité possible. Sincèrement, de la part d’une mère démolie par un vaccin il y a plusieurs années, vivant avec des maladies auto-immunes et deux enfants, dont l'un est autiste. Depuis lors, nous avons commencé un régime sans gluten ni caséine pour toute la famille, une intervention biomédicale pour mon fils autiste, à manger davantage d'aliments bio et à prendre des suppléments pour améliorer notre santé au quotidien. Dieu vous bénisse.

    Mais ce ne sont pas seulement les jeunes enfants qui sont démolis par les vaccins.

    Des milliers et des milliers de femmes enceintes ont perdu leurs bébés peu de temps après avoir été vaccinées ce fut signalé partout en masse après la vaccination contre la fameuse grippe charcutière.

    Des milliers et des milliers d'adultes ont contracté une incapacité permanente à la suite de vaccins, très peu de temps après.

    La bonne nouvelle est que, si votre enfant est atteint d'autisme, il y a de l'espoir.

    Dès que vous avez compris que les vaccins peuvent provoquer l'autisme, il devient beaucoup plus facile à soigner. Ce qui suit est une citation du Dr Russell Blaylock :
    Les études sur les enfants autistes ont souvent montré des concentrations très élevées de mercure, sans découvrir d’autres sources d’exposition que les vaccins. Ces concentrations sont égales à celles observées chez les adultes exposés à des poisons industriels. Des améliorations cliniques spectaculaires de l'autisme ont été plusieurs fois constatées grâce au comportement social et aux interactions sociales entourant les enfants dont le mercure a été chélaté. Les résultats dépendaient de la rapidité avec laquelle le mercure était retiré suite à l’exposition, mais des dommages permanents peuvent se produire si le métal n'est pas chélaté assez tôt. Pourtant, même en cas de graves dommages, du fait de la formidable capacité réparatrice du cerveau du nourrisson, des améliorations sont possibles. Le problème de l'autisme implique de nombreuses fonctions de l’organisme, notamment le système gastro-intestinal, immunitaire et nerveux ; en conséquence, nous voyons de nombreuses infections et l’amplification des effets de la malnutrition. Dans l’ombre, en dehors de l’establishment médian, en utilisant une approche scientifique multidisciplinaire totalement ignorée par l'orthodoxie, des spécialistes intrépides ont fait beaucoup de miracles avec ces enfants. Certains enfants ont même connu un retour complet à la normalité physiologique.
    C’est pourquoi, si votre enfant est autiste, ne perdez pas l’espoir.

    Il existe des choses qui peuvent être faites.

    Malheureusement, partout dans le pays, les autorités répondent au mouvement anti-vaccin en devenant plus sévère que jamais avec les parents.

    Par exemple, partout en Zunie, tout enfant n'ayant pas écopé de tous les vaccins nécessaires est interdit d'école.

    Dans certains cas, des enfants sont réellement enlevés à leurs parents qui ne leur donnent pas les bons vaccins. Lors d’une affaire récente en Pennsylvanie, un travailleur social a pris la garde d'un bébé juste après sa naissance, simplement parce que sa mère ne consentait pas à ce que l'enfant soit vacciné.

    C'est le comble de la démence pur jus.

    Les parents ne devraient pas avoir le droit de décider s’il sera ou non injecté plein de mercure et d'autres substances toxiques à leurs jeunes enfants ?

    Les parents ne devraient pas avoir le droit de se demander si c'est une bonne idée d'inoculer aux enfants des dizaines de vaccins avant l'âge de 3 ans ?

    Mais ce n'est pas comme ça que marche notre système. Les grandes compagnies pharmaceutiques financent les campagnes électorales de nos politiciens, et elles achètent nos politiciens pour qu’ils nous intimident afin que nous nous fassions vacciner.

    Tellement de choses pourraient être écrites sur ce sujet, mais j'espère que cet article vous aidera à démarrer.

    L'essentiel est de faire vos propres recherches. N’écoutez pas aveuglément les réclames publicitaires des compagnies pharmaceutiques ou de qui que ce soit d'autre.

    Avant de vous décidez un jour à vacciner un enfant, renseignez-vous autant que possible sur les vaccins.

    Encore une fois cette année, des milliers et des milliers d'enfants deviendront définitivement invalides pour des prunes.

    Quelle catastrophe devra devenir l'autisme en Zunie avant que nous admettions enfin la vérité ?

    Artticle traduit sur EOTAD (2012)

    13 février 2017

    FLASH - Faire durer son couple

    Pourquoi les histoires d’amour finissent-elles mal en général ? Disputes, infidélité, routine... Pour durer, appuyez-vous sur 4 piliers : la communication, le romantisme et sexualité, les valeurs et l'engagement et tout ce qu’il faut savoir pour faire durer votre couple. On vous dit tout !

    Tout d'abord, pour avoir un couple qui dure :
    1. C’est avoir le goût de continuer à séduire votre partenaire
    2. C’est avoir le goût de communiquer avec votre partenaire
    3. C’est avoir confiance en votre partenaire
    4. C’est avoir le goût de rire avec votre partenaire
    5. C’est avoir le goût d’avoir des activités communes agréables avec votre partenaire
    6. S'entraider entre vous deux
    7. NE JAMAIS ALLER VOIR AILLEURS !!! AVERTISSEMENT - Le fait d'aller voir ailleurs se traduira d'office par un BANNISSEMENT IMMEDIAT et INDISCUTABLE pour trahison totale et manque de respect
    8. Ne JAMAIS jouer avec les sentiments ni manquer de respect ni rejeter ni négliger ni menacer votre partenaire
    9. Ne JAMAIS souffler le chaud et le froid sinon c'est le bannissement immédiat qui vous attend !
    10. Ne JAMAIS croire les personnes qui tentent de briser votre couple
    C’est un bon début pour faire durer son couple. N’est-ce pas ?
    • Fracassez la routine !
    On associe volontiers la routine à l'image du vieux couple dépourvu de toute fantaisie. Même si elle a très mauvaise réputation en amour, la routine est inévitable. Ce qui est dangereux dans la routine, c'est de finir par vivre l'un à côté de l'autre sans se voir. Votre ennemi n°1 ? L'ennui, symptôme de mal-être et de manque d’émotions. Quand on s’ennuie, on risque d’aller chercher les bons moments dans le passé. Et ce n’est pas dans la nostalgie qu’un couple s’épanouit.
    • Prenez soin de votre partenaire !
    Faites-lui des compliments, invitez le au restaurant, offrez-lui un petit cadeau... En un mot : montrez-lui par des gestes simples, et pas forcément onéreux, que vous tenez à lui. Les cordons bleus pourront, par exemple, lui mitonner son plat préféré...
    • Séduisez encore et toujours avec complicité !
    Etre sur la même longueur d’ondes est important et cela vous permettra de poursuivre votre vie ensemble. Mais le mieux est encore que vous soyez complices tous les deux, afin de ne pas vous ennuyer et que votre relation amoureuse se renouvelle sans cesse. La complicité est une entente profonde qui vous permettra de rester liés tous les deux et qui permettra donc à votre relation de durer.

    La liste des signes importants pour savoir si votre vie de couple est faite pour durer ou non pourrait être interminable, mais elle ne remplacera jamais le plus important de tous les signes : l’amour. Car finalement c’est l’amour qui fait le lien entre tous les signes que nous avons énumérés et que vous pourrez trouver aussi par vous-même, c’est donc ce signe-là qui est le plus important et auquel vous devez prêter le plus d’attention. Et ce n’est pas le plus simple à trouver. Mais si vous éprouvez de l’amour l’un pour l’autre, votre relation durera.
    • Communiquez !
    Dans un couple où l'on ne se parle pas, l'amour meurt. A chacun son style pour échanger ses doutes, ses joies et ses envies : longs discours, paroles intimes, humour... Si vous ne prêtez pas suffisamment attention à l'autre, vous laissez la porte ouverte aux conflits qui vont s’enraciner durablement. Malgré vos obligations professionnelles et les tracas du quotidien, prenez le temps d’écouter ses préoccupations, de l’encourager et de lui donner des conseils, même discrètement.
    • Allez au contact
    La gestion des disputes est au cœur de la réussite d’un couple. Il ne s'agit pas d'éviter les conflits, mais de savoir comment les gérer. Pour que la scène de ménage ne dégénère pas, évitez le mépris et les humiliations. Commencez par « Moi, ça me fait du mal de voir... », plutôt que par « C'est toujours la même chose avec toi... ». Et rappelez-vous que les divergences de points de vue, aussi énervantes soient-elles, tiennent à l’écart cette bête noire qu’est l’ennui.
    • Misez sur l’avenir
    Avoir des souvenirs en commun, c’est bien. Mais avoir des projets, c'est encore mieux ! Que ce soit un voyage, l’achat d’un appartement… Si vous n’avez pas d’envies communes, ce sera tôt ou tard difficile d’avancer ensemble.

    Pour qu’une relation dure vous devez avoir des projets communs. Cela est forcément impossible si vous n’êtes pas sur la même longueur d’ondes et que vous n’êtes pas complices. Mais ce n’est pas parce que vous êtes sur la même longueur d’ondes et que vous êtes complices que vous avez des projets communs. Or ce sont ces projets qui vous permettront d’avancer dans votre vie, de vous donner envie de continuer tous les deux et qui permettra à votre relation de durer.
    • Quand vous êtes bien avec l'autre, dites-le systématiquement
    Mettez des mots sur les bons moments, sur les instants de partage et sur ceux où vous sentez bien. Dites le positif !

    Sans révolutionner tout, sans imposer de changement radical, ces quelques évolutions peuvent clarifier votre engagement, nourrir vos sentiments et qui sait solidifier votre avenir commun !
    • Ayez du romantisme et du sexe !
    Qui a dit que la vie n’était pas un conte de fée ? Certainement pas ! En amour, vous méritez de vivre une histoire d’amour épanouie et surtout de conserver cette passion qui vous fait sourire.

    La sexualité n’est pas secondaire dans un couple, elle est révélatrice de son état. Si votre sexualité est épanouie, si ces moments d’intimité vous permettent d’être encore plus complices, de partager ce que vous ressentez, de vous montrez l’un l’autre les sentiments que vous éprouvez, c’est que votre vie sexuelle comme votre vie de couples sont épanouies et que votre relation est faite pour durer.
    • Répondez dès que possible aux SMS de votre partenaire
    Ne jouez pas au petit jeu de la jalousie ou de l'indifférence. Ne laissez pas attendre l'autre inutilement et trop longtemps, signifiez-lui que vous êtes là pour lui ou pour elle.
    • Virez vos ex et "bad-friends" de vos contacts sur les réseaux sociaux comme Facebook ainsi que dans votre téléphone portable
    Ne gardez pas de liens avec le passé quand l'histoire est finie, c'est donner toutes ses chances à votre relation actuelle. Ne soyez pas ambigu. Ne parasitez pas votre amour avec la toxicité du passé. Aussi, n'écoutez surtout pas les ragots des personnes soi-disant amis (bad-friends) qui sont là pour détruire votre couple.
    • Respectez votre partenaire
    Le respect dans un couple, c’est prendre l'autre en considération. Avoir de l’égard pour lui et ses envies. Malheureusement, si on nous a appris à respecter nos parents, l’on est beaucoup plus flexible sur cette notion dans le couple. Se respecter, c’est aussi - et surtout - se mettre à la place de l’autre. Essayer de deviner ce qu’il ressent, ne pas le blesser, partager ses joies, ses peines… Bref, faire preuve de la plus grande délicatesse.

    Sources : Elle, Huffington Post, Cosmopolitain, Femina, SBK
     Vidéo complète sur Facebook

    L'Univers et ses mystères - La physique quantique

    La physique quantique n'est pas un domaine achevé : elle contient des paradoxes qui ne sont pas encore complètement bien compris, comme ceux du chat de Schrödinger et de l'effet EPR, bien que l'on ait accompli de grands progrès dans leur compréhension depuis le début des années 1980.

    7 février 2017

    Attentats, les urgences en première ligne

    PLAN ROUGE ALPHA - Ils refusent la posture héroïque qu'on leur a souvent prêtée depuis le soir des attentats du 13 novembre 2015. Pourtant, médecins, infirmiers, soignants, urgentistes, pompiers de garde ou volontaires, ont travaillé cette nuit-là des heures entières pour sauver le plus grand nombre de vies.

    Confrontés à une situation de crise majeure inédite, ils ont oeuvré avec sang-froid et professionnalisme. Cependant, depuis cette nuit, certains d'entre eux sont aussi en souffrance.

    La plupart d'entre eux n'étaient pas prêts psychologiquement à affronter une telle situation de crise. Dans quatre hôpitaux parisiens - Saint-Antoine, Saint-Louis, la Pitié-Salpêtrière et l'hôpital militaire de Bégin à Saint-Mandé - ils se confient pour la première fois pour témoigner, livrant leurs angoisses et leurs faiblesses, dévoilant les séquelles laissées par cette nuit de cauchemar et de terreur.