Tué(e)s par arme blanche, à coups de fusil, étranglement et étouffement,... parfois sous l'effet de l'alcool ou drogues. UNE HECATOMBE ! Les conjoints se faisant plaquer devenant des machines à tuer doivent mériter la peine maximale, soit la réclusion criminelle à perpétuité ! Il faut que la justice française stoppe à tout prix le laxisme avec ses peines légères voire la relaxe en n'appliquant pas la loi en vigueur et que fait la police ?
En cas de violences conjugales, composez le 17 et si vous êtes en couple avec un(e) conjoint(e) violent(e) : ROMPEZ et engagez direct le bannissement immédiat et sans discuter pour violences volontaires et harcèlement mais aussi, extrême jalousie.
A la rentrée, un grenelle des violences conjugales verra le jour et le gouvernement français doit se sortir les doigts du cul pour enrayer ce carnage. Aussi, il y a des hommes qui ont été battus par leurs conjointes selon Le Monde et les violences conjugales ont un impact sur les enfants dont certains ont témoigné. Se reconstruire après de tels violences prendra du temps !
Certaines personnes sont équipées de téléphones grave danger (TGD). Une femme déclenche son TGD et son ex a été abattu sans ménagement par la police pendant un échange de tirs. Un connard en moins ! Radicale comme solution "hardcore", n'est-ce pas ?
Le Parisien - « Plus jamais ça ! » environ 2 000 personnes se sont rassemblées samedi place de la République à Paris pour réclamer des mesures immédiates et concrètes contre les féminicides en France, à l'appel d'un collectif de familles et proches de victimes. Depuis le début de l'année, 74 femmes sont mortes sous les coups de leur conjoint. Beaucoup d'entre elles avaient pourtant porté plainte avant d'être tuées. "Il faut arrêter le massacre", a martelé l'actrice Julie Gayet, venue soutenir les associations de lutte contre les violences conjugales. A ses côtés, la comédienne Muriel Robin, investie aussi dans cette lutte depuis plusieurs mois, a lancé face à la foule un appel destiné directement au Président Macron : "Vous avez parlé de cause nationale : où en êtes-vous ? Combien coûte la vie d'une femme ?"
- Les violences conjugales souvent déclenchées par la jalousie alors attention aux personnes hyper-jalouses qui sont capables de franchir la ligne rouge !
Les épisodes de violences conjugales sont souvent déclenchés par la jalousie sexuelle et les accusations d’infidélité, selon les chercheurs qui ont analysé les appels en prison entre les agresseurs et leurs victimes.
Des chercheurs de l'Université d'État de l'Ohio ont écouté les conversations téléphoniques entre 17 couples hétérosexuels, au cours desquelles l'homme a été enfermé dans un établissement de l'État de Washington pour violences conjugales de niveau criminel. Les victimes ont subi de graves blessures lors des attaques, notamment un traumatisme crânien, des morsures, une strangulation et, dans deux cas, une grossesse perdue, ont indiqué les chercheurs.
« Ce que nous recherchions, c'était le précurseur immédiat — quelle était la seule chose qui s'est produite juste avant la violence et qui a été le catalyseur », a déclaré l'auteur principal de l'étude, Julianna Nemeth, dans un communiqué.
Comme l’étude s’est appuyée sur un petit échantillon, des recherches supplémentaires sont probablement nécessaires pour confirmer les résultats, mais Nemeth et son équipe ont constaté qu’un conflit à long terme concernant l’infidélité imprégnait presque toutes les relations et était le plus souvent le catalyseur de la violence. « Même si cela n’a pas déclenché l’événement violent, c’était un facteur de stress permanent dans presque tous les 17 couples que nous avons étudiés », a-t-elle déclaré.
Les chercheurs ont également identifié la consommation de drogues et d’alcool comme un problème chronique dans la plupart des relations, ainsi qu’un facteur qui transformait les conversations en violences conjugales. De plus, la perception des rôles de genre semble être liée à la violence pour beaucoup de ces couples.
« Nous entendions souvent les couples discuter de la manière dont les femmes sont censées se marier et avoir des enfants, et de la manière dont hommes. Ils sont censés être forts et avoir le contrôle », a déclaré une autre chercheuse de l'Ohio State impliquée dans l'étude, Amy Bonomi, dans un communiqué. « Les hommes avaient tendance à utiliser ces prescriptions traditionnelles en matière de rôles de genre pour justifier leur recours à la violence. »
Connaître ces facteurs pourrait aider les défenseurs et les prestataires de soins de santé à déterminer le degré de dangerosité d’une femme.
« De nombreux outils de plan de sécurité ne posent pas de questions spécifiques sur la jalousie et l’infidélité sexuelles, mais c’est une question que nous devrions nous poser », a déclaré Nemeth. « S’il s’agit d’un problème dont les couples discutent, c’est un signal d’alarme indiquant que la relation peut être volatile. »
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1 commentaire :
Bonjour,
je ne comprend pas les couples (le ou la femme) qui batte leur conjoints qu'es ce qu'il leur passe par la tête, dans ce cas là vaut mieux ce séparer avant que ça dégénère.
Il ou elle devrait être en prison et y rester toute leur vie.
c'est ça quand on boit trop et on ce drogue voila ça fait des dégâts malheureusement.
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