Incroyables révélations sur le Big Brother français : La DGSE intercepte et enregistre toutes les télécommunications du peuple français selon le journal Le Monde. Emails, SMS, fax et autres communications sont stockés dans une base de données à Paris sur plusieurs étages. Selon Le Figaro, le gouvernement se prépare à nous mettre sur écoute permanente et surveiller les réseaux de télécommunication. Une fois de plus, les droits de l'Homme risque de prendre un sacré coup dans la gueule !
La France vire-t-elle à la société orwellienne voire à la dictature ? En pleine affaire Snowden, du nom de cette taupe qui a révélé comment l'Amérique espionne le monde au nom de l'antiterrorisme, le gouvernement s'apprête à faire voter un projet de loi de programmation militaire dont certaines dispositions étendent les possibilités de capter les données numériques de dizaines de milliers de personnes par an. Il s'agit de savoir qui ces potentiels « ennemis d'État » appellent et qui les joint, ou même de les localiser en temps réel à travers leurs téléphones, leurs ordinateurs. En dehors de toute action judiciaire.
Le Monde est en mesure de révéler que la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE, les services spéciaux) collecte systématiquement les signaux électromagnétiques émis par les ordinateurs ou les téléphones en France, tout comme les flux entre les Français et l'étranger : la totalité de nos communications sont espionnées. L'ensemble des mails, des SMS, des relevés d'appels téléphoniques, des accès à Facebook, Twitter, sont ensuite stockés pendant des années.
Si cette immense base de données n'était utilisée que par la DGSE qui n'officie que hors des frontières françaises, l'affaire serait déjà illégale. Mais les six autres services de renseignement, dont la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), les douanes ou Tracfin, le service de lutte contre le blanchiment, y puisent quotidiennement les données qui les intéressent. En toute discrétion, en marge de la légalité et hors de tout contrôle sérieux. Les politiques le savent parfaitement, mais le secret est la règle..
Quelles sont exactement ces informations collectées ? Est-ce légal ? Qui est au courant de ce système de surveillance ? Les explications de Jacques Follorou, journaliste au service International du "Monde" en vidéo.
La France vire-t-elle à la société orwellienne voire à la dictature ? En pleine affaire Snowden, du nom de cette taupe qui a révélé comment l'Amérique espionne le monde au nom de l'antiterrorisme, le gouvernement s'apprête à faire voter un projet de loi de programmation militaire dont certaines dispositions étendent les possibilités de capter les données numériques de dizaines de milliers de personnes par an. Il s'agit de savoir qui ces potentiels « ennemis d'État » appellent et qui les joint, ou même de les localiser en temps réel à travers leurs téléphones, leurs ordinateurs. En dehors de toute action judiciaire.
Le Monde est en mesure de révéler que la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE, les services spéciaux) collecte systématiquement les signaux électromagnétiques émis par les ordinateurs ou les téléphones en France, tout comme les flux entre les Français et l'étranger : la totalité de nos communications sont espionnées. L'ensemble des mails, des SMS, des relevés d'appels téléphoniques, des accès à Facebook, Twitter, sont ensuite stockés pendant des années.
Si cette immense base de données n'était utilisée que par la DGSE qui n'officie que hors des frontières françaises, l'affaire serait déjà illégale. Mais les six autres services de renseignement, dont la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), les douanes ou Tracfin, le service de lutte contre le blanchiment, y puisent quotidiennement les données qui les intéressent. En toute discrétion, en marge de la légalité et hors de tout contrôle sérieux. Les politiques le savent parfaitement, mais le secret est la règle..
Quelles sont exactement ces informations collectées ? Est-ce légal ? Qui est au courant de ce système de surveillance ? Les explications de Jacques Follorou, journaliste au service International du "Monde" en vidéo.
Le site PRISM Break propose aux internautes une liste des logiciels et services alternatifs pour limiter la couverture de PRISM et l'espionnage par la NSA sur leurs activités en ligne. Voici la liste :
- Système d'exploitation (Linux) ;
- Navigateur web (Ice Cat, Firefox, Tor) ;
- Moteur de recherche (Duck Duck Go, Seeks, Starpage, Ya Cy) ;
- Transaction financière en ligne (Bitcoin) ;
- Webmail (Bitmessage, Riseup) ;
- Client de messagerie (Icedove, Thunderbird) ;
- Chiffrement des e-mails (Enigmail, GPG, Mailvelope, WebPG) ;
- Hébergement à distance (OwnCloud, Sparkleshare) ;
- Réseau social (Diaspora, Friendica, GNU Social, Pump.io) ;
- Logiciel de discussion instantanée (OTR, Pidgin, Retro Share) ;
- Application de visioconférence (Jitsi) ;
- Plate-forme de publication de contenus (GNU MediaGoblin) ;
- Suite bureautique web (Ethercalc, Etherpad)
Starpage vous informe :
« PRISM »: l'énorme scandale d'espionnage d'Internet par le gouvernement des États-Unis dévoilé.
Le Washington Post et le Guardian ont révélé l'existence d'un programme géant de surveillance de l'internet dont le nom de code est « PRISM ». Ils annoncent que la NSA et le FBI ont eu un accès direct au serveurs de neuf fournisseurs d'accès, comprenant Facebook, Microsoft, Google, Apple, Yahoo, YouTube, AOL et Skype, et que ce programme a été lancé depuis au moins sept ans.
Ces révélations suscitent un considérable émoi international.
Des programmes comme PRISM violent l'intimité de nos communications, brisent la confiance dans nos gouvernements et représentent un danger pour la liberté sur notre liberté sur internet. Protéger l'intimité des communications privées et de défendre les libertés publiques, telle a toujours été la vocation de StartPage.
Aussi, ne vous étonnera-t-il pas que nous soyons des opposants farouches à tous les programmes d'espionnage à grande échelle, tels que PRISM. Dans le passé, même les programmes de surveillance d'internet lancés par des gouvernements avec de bonnes intentions sont devenus des outils débouchant sur des usages abusifs, utilisés par exemple pour la surveillance des mouvements de défense des droits civils ou de mouvements opposés à la guerre.
StartPage et son moteur de recherche jumeau Ixquick n'ont, dans leur histoire déjà vieille de 14 ans, jamais fourni un seul bit d'information à aucun gouvernement ou à aucun de ses « services ». Qu'il s'agisse bien sûr de PRISM ou d'aucun autre programme américain. Ni d'aucun autre programme dans le monde.
Voici comment et en quoi nous sommes différents :
- StartPage n'enregistre et ne conserve aucune donnée personnelle de ses utilisateurs. Ceci doit être clair pour tout le monde, y compris les agences gouvernementales concernées. Nous n'enregistrons pas les adresses IP de nos utilisateurs ni n'utilisons des cookies de suivi. Si bien qu'il n'y a littéralement aucune donnée vous concernant accessible sur nos serveurs. Puisque nous ne savons même pas quels sont nos clients, nous ne pouvons informer de quelque manière que ce soit Big Brother. De fait, depuis 14 ans, nous n'avons jamais reçu aucune demande d'aucune autorité gouvernementale réclamant des données sur nos utilisateurs.
- StartPage fait appel à des communications cryptées par défaut (HTTPS). Le chiffrage prévient la curiosité. Votre navigation est cryptée de sorte que des tiers ne puissent siphonner votre connexion à internet pour voir quelles recherches vous faites. Cette méthode, conjuguée avec l'absence de stockage de données vous concernant sur nos serveurs, assure la protection de votre vie privée.
- Notre Société a son siège en Europe, aux Pays-Bas. La législation américaine ne s'y applique pas, du moins pas sans restrictions. Toute demande de fournir des données sur un utilisateur, de quelque gouvernement qu'elle vienne, est, le cas échéant, soumise au crible de l'examen par nos juristes. Et nous n'y donnons pas suite, sauf à ce que la législation à laquelle nous sommes soumis dans notre pays ne nous y oblige sans équivoque. Et même dans cette hypothétique situation , comme indiqué ci-dessus, nous ne détenons aucunes données utilisateurs susceptibles d'être fournies.
- Jamais nous n'accepterons d'apporter délibérément notre concours à des programmes d'espionnage comme PRISM
- StartPage ne peut être obligée à vous espionner. Étant donné la robuste protection de la vie privée qui règne en Europe, les gouvernements européens ne peuvent légalement forcer des fournisseurs d'accès comme nous à participer à un programme d'espionnage de nos utilisateurs. Et si cela devait évoluer, nous le combattrions sans faillir.
La protection de la vie privée,ce n'est pas seulement notre politique,c'est notre mission !
StartPage.com & Ixquick.comRobert E.G. Beens, Président
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