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26 septembre 2010

EXPLOSIF - Armes silencieuses pour guerres tranquilles - dossier secret découvert !

Le document suivant a été publié dans la revue "America's Promise Newsletter" en 1979, puis en annexe du livre "Behold a pale horse" de William Cooper en 1991.

Daté de mai 1979, il a été trouvé par un employé de Boeing le 7 Juillet 1986 dans un photocopieur IBM acheté à une vente de surplus militaire à la base aérienne de McChord.

Le document ne portait pas la mention de l'organisation dont il provenait, mais les dates citées désignaient le Groupe de Bildergerg, un "club de réflexion" qui rassemble des personnes extrêmement puissantes des mondes de la finance, de l'économie, de la politique, de l'armée et des services secrets.

Le document se présente comme un "manuel de programmation" de la société, apparemment destiné aux nouveaux membres de l'organisation.

L'auteur réel du document est en fait Lyle Hartford Van Dyke, un activiste américain qui a également travaillé à la création de monnaies locales alternatives. Il a écrit le texte en 1979 et distribué quelques esemplaires à des amis. C'est l'un de ces exemplaires qui a été oublié dans la photocopieuse.

Mais l'important est que les stratégies qui sont décrites ici sont très largement appliquées dans les orientations de l'économie et de la société depuis 30 ans, dans tous les pays occidentaux, et avec une remarquable synchronisation.



[#] Il s’agit d’un document "top secret" dactylographié en anglais qui tourne librement sur Internet et graviterait sur orbite autour de la sombre galaxie des conspirationnistes.

Il se retrouve publié en 1991 par l'écrivain William Milton Cooper ; une 5eme Dan de cette lointaine contrée ; dans l'annexe de son livre Behold a Pale Horse. 

Il daterait de mai 1979 et aurait été découvert le 7 juillet 1986 dans un photocopieur IBM acheté à une vente de surplus militaire.

Il se présente comme un « manuel de programmation » de la société et proviendrait d’une fuite intentionnelle ou accidentelle des services secrets de l’US Navy ou encore du Groupe Bilderberg, un « club de réflexion », un « think-thank » rassemblant annuellement depuis 1954 et dans le mystère le plus troublant des personnes extrêmement influentes des univers de la finance, de l’économie, de la politique, de l’armée et des services secrets, en fin de compte tout ce qu’il y a de plus banal dans nos sociétés démocratiques.

Dans ce manuel technique, l'auteur non identifié s’intéresse tout particulièrement aux méthodes furtives appelées « armes silencieuses » relevants du domaine de l’Engineering social, à savoir des protocoles scientifiques avancés d’automatisation de la société dans sa globalité.

Le contexte de ce document : une 3e guerre mondiale aurait commencé en 1954 dans les coulisses du pouvoir. Elle opposerait non pas une nation contre une autre, mais une Élite Internationale contre les peuples souverains du monde entier.

L’objectif explicite de cette « guerre tranquille » pour l’Élite Internationale serait de réduire en esclavage les peuples des différentes nations en sabotant et piratant de manière subtile leurs systèmes économiques et sociales ; avec bien entendu leurs consentements ; en vue d’un futur ordre mondial dans lequel les 1% hyper-organisés régneraient sans partage des richesses sur les 99% complètement atomisés et lobotomisés.

« Les armes silencieuses » dont il est question dans ce manuel de programmation militaire sont décrites comme des techniques de contrôle social ; invisibles aux yeux du grand public et indirectes dans leurs influences ; inspirées directement par les connaissances scientifiques d'après la seconde guerre mondiale relevants du champ de l’électronique, de la cybernétique, de la systémique, de la psychologie, de la sociologie, de l’économie et de l’informatique.
En effet, toute science est essentiellement un moyen vers un but. Le moyen est la connaissance. Le but est le contrôle. Au delà de ceci demeure une seule question : Qui sera le bénéficiaire ?
Réponse : le Grand Capital financier mondialisé et ceux qui le détiennent à savoir l'Oligarchie financière supranationale ou si vous préférez les 1% de l'hyperclasse (l'auteur anonyme nous parle lui de l'Élite Internationale).

Les principaux fondements du pouvoir occulte de cette hyper-classe interconnectée au capitalisme financier néo-libéral, Mayer Amshel Rothschild en avait bien compris les rouages. Si bien que la technologie actuelle des armes silencieuses ne serait que l'extension d'une idée simple qui sortit tout droit des méandres abyssales de son subconscient mercantile.

Effectivement, ce que Mr Rothschild avait découvert était le principe de base du pouvoir, de l'influence, et du contrôle sur les gens tel qu'il est appliqué à travers l'économie. Ce principe est le suivant : "lorsque vous prenez l'apparence du pouvoir, les gens vous le donnent bientôt."

A partir de ce postulat, la monnaie fiduciaire avait l'apparence requise du pouvoir. Elle pouvait être utilisée pour induire les gens (processus d'inductance) en échangeant leur réelle richesse (capacitance économique) contre une promesse de richesse plus grande en leur fournissant une simple lettre de change. Mais les apparences sont trompeuses. Mr Rothschild se rendit rapidement compte qu'il pouvait émettre plus de promesses qu'il ne pouvait en rembourser, aussi longtemps qu'il pouvait montrer un stock d'or pour rassurer ses clients. C'est tout bêtement la même logique crapuleuse que la fameuse pyramide de Ponzi et également de l'exponentielle dette publique.

Voilà la clé du pouvoir de Mr Rothschild : la confiance aveugle que ses créditeurs lui ont attribués naturellement ! 

L'emprise de cette confiance lui a permis de bâtir son empire du côté obscur de la force...

Il le dit lui-même : "Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d'une nation, et je n'aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois."

En ce qui concerne ce contrôle totalitaire du Grand Capitale globalisé, le but de la recherche économique élaboré par les ingénieurs sociaux de l'époque, était l'établissement d'une économie totalement prévisible et manipulable.

D'après ce guide de reformatage des sociétés et des masses qui les conditionnent, des études scientifiques auraient été menées en vue d'appliquer ce même contrôle absolu de la monnaie tout simplement sur la masse de la population, à savoir les 99%. L'idée centrale serait de remodeler la nature de l'homme ; comme de la pâte à modeler malléable à souhait ; afin de mieux le prédire et le manipuler.

Dans cette optique de reconfiguration du donnée naturelle humain, la pratique de l’Engineering social consisterait à étudié frauduleusement les comportements sociaux de nos contemporains à l'aide d’ordinateurs de plus en plus perfectionnés dotés d’un système ultra-rapide de traitement de l’information. Pour incorporer ces données naturelles dans cette perspective analytique des systèmes d'information, l’humain devrait être chosifié, réifié, réduit à devenir une simple machine, un CPU dont on programme ; au bon vouloir des expérimentateurs ; le software (la pensée) en passant toujours par le hardware (le corps).

Ces expérimentateurs de la pensée se serviraient systématiquement de chocs, de décharges électromagnétiques, puis observeraient les différentes réactions de leurs sujets de laboratoire comme on observeraient sur un écran les oscillations et fluctuations de nombreuses variables de données.

L’homme moderne est ainsi décrit de manière schématique. Il est comparé à une « boîte noire » avec ; comme une machine électronique ; des entrées (Inputs) et des sorties (Outputs) qu’on manipule, toujours dans la bonne humeur, en lui infligeant des « shock-tests » au niveau de ses stimulus entrants pour mieux observer les changements provoqués dans son comportement psychosocial.
En ce sens, les travaux du mathématicien Norbert Wiener ; inventeur de la cybernétique, la science de la gestion des systèmes ; ont permit de booster les recherches sur ce nouvel homme-machine programmable à la personnalité plastifiée.

Les résultats de ces observations obtenus grâce aux instruments de mesures psychométriques de plus en plus complexes permettent ainsi d’extrapoler par l’inférence in fine des modèles algorithmiques de nos comportements sociaux avec une prédictibilité de plus en plus affinée.

Les armes cognitives de destruction massive décrites dans ce guide stratégique de manipulation peuvent également servir à mener des guerres de propagande médiatico-politique pour le compte de certains réseaux d'influences exerçant le pouvoir de manière invisible. Elles opèrent subrepticement dans l’ombre de la manière suivante :
Elle tire des situations, au lieu de balles ; propulsées par le traitement des données, au lieu d'une réaction chimique ; tirant leur origine d'octets d'informations, au lieu de grains de poudre ; à partir d'un ordinateur, au lieu d'un fusil ; manipulée par un programmeur d'ordinateur au lieu d'un tireur d'élite, sous les ordres d'un banquier au lieu d'un général d'armée.
Finalement, ce document classé "secret défense" et tristement célèbre pour les aficionados de la théorie du complot semble être "un vrai faux" ou "un faux qui veut dire le vrai" (en somme une sorte de « Protocole des Sages de Sion » version 2.0). Étrangement aussi et pour terminer, les stratégies de guerre cognitive qui y sont développées de manière synthétique ont réussi l'exploit de prédire avec une précision rare de l'ordre du chirurgicale certains bouleversements socio-économiques et géopolitiques que nous sommes actuellement en train de vivre (crise économique programmé des subprimes en 2008 ; attentats sous faux drapeaux afin de déstabiliser la souveraineté de certains États au Moyen-Orient pour mieux les spolier de leurs ressources énergétiques etc).

Une remarquable synchronisation...



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