Le 26 avril 1986 à 01 h 24, l'apocalyspe ! Une flamme aux couleurs arc-en-ciel de 1000 mètres de haut s'élève dans le ciel de l´Ukraine. Le réacteur 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl vient d'exploser. Temps zéro : la bataille de Tchernobyl commence. Hormis l´ampleur des dégâts causée par la première explosion, celle ci a déclenché une redoutable réaction en chaîne qui menaçait de provoquer une seconde explosion, nucléaire cette fois ci, dix fois plus puissante que Hiroshima. L'Ukraine aurait été anéantie et « L'Europe entière serait devenue durablement impropre à l'habitation. » Tel que l´affirment les conseillers scientifiques de l'opération. Une incroyable course contre la montre commence. Pendant 8 mois, 800 000 jeunes soldats, mineurs, mais aussi des civils, baptisés depuis « les liquidateurs », sont envoyés de toutes les Républiques d'Union soviétique, pour se battre, au péril de leurs vies, et tenter de « liquider » la radioactivité en construisant le « sarcophage », immense structure de métal et de béton, qui recouvre depuis, la lave toujours radioactive. Mais surtout pour désamorcer une bombe nucléaire à retardement. Une véritable bataille, avec son champ, ses soldats, ses engins et armes de destruction, ses morts et ses blessés, ses généraux et politiques, ses réfugiés, prisonniers et condamnés. C'est une guerre, avec ses stratégies et ses mensonges, ses crimes, ses échecs et ses victoires. 8 mois, d´une intensité phénoménale, que les survivants ne sont pas prêts d´oublier. Le document se base sur les témoignages des principaux témoins (scientifiques, politiciens,...) et surtout celui d´un personnage clé : Igor Kostin, le photographe qui, quelques heures à peine après l´exposition, a survolé le site en hélicoptère militaire. Sans aucune protection nucléaire, il prend ses premiers clichés. Il n´a pas cessé depuis. Les photos sont saisissantes. Nous avons un usage exclusif. Grâce à l´imagerie de synthèse, à la reconstitution et aux documents d'archives exclusifs, le document reconstruit une bataille acharnée, contre un ennemi invisible et particulièrement. C´est la première expérience du monde avec les dangers de la radioactivité. À l'occasion des 30 ans de la plus importante catastrophe industrielle de tous les temps, ce document propose de revivre l'action, jour après jour, de la grande bataille de Tchernobyl.
Vous avez choisi Tchernobyl comme destination, je ne connais pas la langue, ni le pays mais j'y suis allé. Voici les images que j'ai réussies à ramener et mon avis sur Tchernobyl. N'oubliez pas les morts, plus de 100 000... Pour que nous puissions continuer à vivre en Europe, un des buts de la vidéo et de ne pas oublier. Des hommes sont mort pour que nous puissions vivre et nous ne sommes pas plus à l'abri ici qu'eux là-bas, l'homme ne maîtrise pas totalement l'énergie atomique et sa tout le monde a tendance à l'oublier - Bibix
Une technique bien rodée par les industriels sans scrupules qui consiste à raccourcir la durée de vie des produits, n'est-ce pas Apple, HP et Samsung qui méritent le carton rouge, pour nous faire consommer plus et polluer d'avantage l'environnement. Cette technique s'appelle : l'obsolescence programmée, signe majeur de gâchis ! La plupart des produits sont "Made in China" et certains peuvent êtres contrefaits.
Quand les produits s'auto-détruisent, se bloquent, lâchent sans prévenir ou deviennent trop vieux. Voici quelques faits :
- Ecran qui explose
- Ordinateurs incompatibles Windows 11 sur la touche alors que l'alternative consiste à passer à Ubuntu
RCF L'obsolescence programmée des produits n'est autre que l'ensemble des techniques utilisées par les fabricants pour réduire délibérément la durée de vie des produits. Chacun peut constater en effet qu'une télévision ou une machine à laver tombe en panne avant ses 10 ans.
Il existe plusieurs formes d’obsolescence programmée, notamment celle liée à l’innovation ou à l’esthétisme. Une entreprise de smartphone, par exemple, peut proposer régulièrement des modèles plus performants ou plus esthétiques, rendant les anciens modèles "obsolètes" ou démodés. Mais c’est au consommateur de décider ou non de son achat. On parle aussi d’obsolescence "systémique" par exemple en informatique. Il s'agit de rendre obsolète un produit en changeant le système dans lequel il s’utilise. Mais la forme généralement la plus observée consiste à introduire dans un produit une partie ou un composant inutilement fragile afin que le produit devienne inutilisable plus rapidement.
Il est désormais possible de saisir la justice sur certaines pratiques industrielles visant à réduire la durée de vie ou d’utilisation d’un produit. La loi sur la transition énergétique votée en 2015 sanctionne cette pratique. Elle peut entraîner jusqu’à 2 ans de prison et 300.000 euros d’amende. Selon ce même texte de loi, l’obsolescence programmée de produits désigne "l’ensemble des techniques par lesquelles un metteur sur le marché vise, notamment par la conception du produit, à raccourcir délibérément la durée de vie ou d’utilisation potentielle de ce produit afin d’en augmenter le taux de remplacement". On peut définir plus simplement l’obsolescence programmée comme une stratégie des fabricants de produits qui consiste à planifier son arrêt de fonctionnement dès sa conception: cela oblige le consommateur à racheter le produit et assure à l’entreprise des ventes sur le long terme.
Depuis le 1er mars 2015, les professionnels doivent informer les consommateurs sur la disponibilité des pièces détachées afin de les orienter vers des produits durables. La Grande distribution fait particulièrement figure de mauvais élève. Il est pourtant rappelé que les professionnels encourent une amende administrative pouvant aller jusqu’à 15.000 euros par infraction constatée. Mais qu’en est-il de cet affichage des pièces détachées disponibles ?
La loi consommation a été une première étape visant à mieux informer le consommateur sur la garantie légale ou sur la disponibilité des pièces détachées. Celle sur la transition énergétique permet de mettre en place un modèle de production et de consommation tenant compte des limites de notre planète.