La pandémie de Covid-19 a donné lieu à des échanges contradictoires entre médecins, spécialistes, professeurs, hommes politiques et experts, le tout orchestré et alimenté par le feu nourri des médias. Les scientifiques se sont ainsi retrouvés discrédités avec notamment l’affaire du Lancet. Le Conseil scientifique, censé piloter cette pandémie, est ouvertement accusé d’incompétence et d’arrogance, preuves à l’appui. Et nous dans tout ça ? Que penser ? Que faire avec toutes ces informations ? Qui croire ?
Ce sont les questions auxquelles le documentaire tente de répondre en partant à la rencontre de soignants, chercheurs, experts, juristes offrant une autre lecture sur cette crise sans précédent et dénonçant une batterie de mesures gouvernementales jugées inefficaces pour la plupart.
« Ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux.» – Alexis de Tocqueville
Depuis l’éclatement de la crise du coronavirus en mars 2020 et face au nombre restreint de lits de réanimation en milieu hospitalier, le gouvernement français proclame l’état d’urgence sanitaire et assoit son autorité à grand renfort de mesures liberticides : confinement, attestations de déplacement obligatoires, couvre-feu, amendes pouvant avoisiner les 3750 euros et peines de prison allant jusqu’à 6 mois d’emprisonnement en cas de non respect des règles.
D’un point de vue économique, ces mesures ont pour conséquence la fermeture de 400 000 PME et la précarisation de 4 millions de français, 1 million d’entre eux risquant de rejoindre les rangs des 10 millions de français vivant d’ores et déjà en deçà du seuil de pauvreté et des 900 000 personnes sans domicile fixe.
Que dire de ces mesures pour une épidémie dont le taux de mortalité actuel est établi à 0,15% et touchant principalement les plus de 65 ans affectés par la comorbidité ?
Saisis par l’urgence de la situation, le réalisateur Pierre Barnérias (TPROD) et le producteur Christophe Cossé (Tomawak) décident de s’atteler à la production du documentaire, dévoilant les erreurs commises par les plus hautes instances publiques et questionnant les fondements mêmes de nos libertés et l’avenir qui nous est réservé si nous restons impassibles face à ces dérives politiques.
« Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l’intituler "Coup d’Etat". » – Christophe Cossé
Le microbe n’est rien, le terrain est tout.
Un reportage sur un impensé : celui du traitement contre le coronavirus.
Le documentaire démarre sur cette étrangeté de l’interdiction faite aux médecins de traiter les patients, hormis, on le sait, en salles de réanimations ouvertes aux malades en stade terminal des maladies causées par le virus. Il explique ensuite comment un médicament banal à essayer, l’hydroxychloroquine, est devenu un produit dangereux. L’on découvre que le but était d’imposer à la place le remdesivir, avéré maintenant bien plus dangereux que le vieux médicament dénigré.
Le documentaire élargit à d’autres traitements délaissés qui donnent pourtant des résultats observationnels et cliniques : les vitamines D et C, le zinc. Il élargit aux autres traitements possibles des plantes et des huiles essentielles dont on sait parfaitement les possibilités curatives, mais qui subissent le barrage de la validation : des essais cliniques qui seraient trop onéreux pour des traitements pas assez rentables.
La dernière partie développe sur la myopie de la médecine occidentale, à partir du constat que certains contaminés n’ont aucun symptômes, alors que d’autres en meurent. Il existe pourtant des indications d’hygiène de vie, des principes nutritionnels et des traitements de fond relativement simples pour maintenir le système immunitaire, l’oublié de la médecine d’aujourd’hui. Le professeur Perronne, l’un des interviewés, explique qu’il n’en a rien appris durant sa formation en médecine, mais que ce sont le malades rencontrés qui lui ont changé ce regard.
L’intérêt par rapport au documentaire « Hold-up » est que celui de « Mal-traités » ne déroule qu’une problématique avec une construction argumentative accessible et facile à reprendre. Au-delà de la dénonciation qui est faite, la problématique démontre d’elle-même toute la vanité de la solution curative actuelle au viru
Ce sont les questions auxquelles le documentaire tente de répondre en partant à la rencontre de soignants, chercheurs, experts, juristes offrant une autre lecture sur cette crise sans précédent et dénonçant une batterie de mesures gouvernementales jugées inefficaces pour la plupart.
« Ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux.» – Alexis de Tocqueville
Depuis l’éclatement de la crise du coronavirus en mars 2020 et face au nombre restreint de lits de réanimation en milieu hospitalier, le gouvernement français proclame l’état d’urgence sanitaire et assoit son autorité à grand renfort de mesures liberticides : confinement, attestations de déplacement obligatoires, couvre-feu, amendes pouvant avoisiner les 3750 euros et peines de prison allant jusqu’à 6 mois d’emprisonnement en cas de non respect des règles.
D’un point de vue économique, ces mesures ont pour conséquence la fermeture de 400 000 PME et la précarisation de 4 millions de français, 1 million d’entre eux risquant de rejoindre les rangs des 10 millions de français vivant d’ores et déjà en deçà du seuil de pauvreté et des 900 000 personnes sans domicile fixe.
Que dire de ces mesures pour une épidémie dont le taux de mortalité actuel est établi à 0,15% et touchant principalement les plus de 65 ans affectés par la comorbidité ?
Saisis par l’urgence de la situation, le réalisateur Pierre Barnérias (TPROD) et le producteur Christophe Cossé (Tomawak) décident de s’atteler à la production du documentaire, dévoilant les erreurs commises par les plus hautes instances publiques et questionnant les fondements mêmes de nos libertés et l’avenir qui nous est réservé si nous restons impassibles face à ces dérives politiques.
« Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l’intituler "Coup d’Etat". » – Christophe Cossé
Le microbe n’est rien, le terrain est tout.
Un reportage sur un impensé : celui du traitement contre le coronavirus.
Le documentaire démarre sur cette étrangeté de l’interdiction faite aux médecins de traiter les patients, hormis, on le sait, en salles de réanimations ouvertes aux malades en stade terminal des maladies causées par le virus. Il explique ensuite comment un médicament banal à essayer, l’hydroxychloroquine, est devenu un produit dangereux. L’on découvre que le but était d’imposer à la place le remdesivir, avéré maintenant bien plus dangereux que le vieux médicament dénigré.
Le documentaire élargit à d’autres traitements délaissés qui donnent pourtant des résultats observationnels et cliniques : les vitamines D et C, le zinc. Il élargit aux autres traitements possibles des plantes et des huiles essentielles dont on sait parfaitement les possibilités curatives, mais qui subissent le barrage de la validation : des essais cliniques qui seraient trop onéreux pour des traitements pas assez rentables.
La dernière partie développe sur la myopie de la médecine occidentale, à partir du constat que certains contaminés n’ont aucun symptômes, alors que d’autres en meurent. Il existe pourtant des indications d’hygiène de vie, des principes nutritionnels et des traitements de fond relativement simples pour maintenir le système immunitaire, l’oublié de la médecine d’aujourd’hui. Le professeur Perronne, l’un des interviewés, explique qu’il n’en a rien appris durant sa formation en médecine, mais que ce sont le malades rencontrés qui lui ont changé ce regard.
L’intérêt par rapport au documentaire « Hold-up » est que celui de « Mal-traités » ne déroule qu’une problématique avec une construction argumentative accessible et facile à reprendre. Au-delà de la dénonciation qui est faite, la problématique démontre d’elle-même toute la vanité de la solution curative actuelle au viru
ATTENTION : Ces documentaires hautement explosifs dérangent le pouvoir et ils ont été censurés par de nombreux hébergeurs. Ils sont disponibles sur Peertube, une plate-forme vidéo décentralisée et sans censure.
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