Causes d’une multiplication probable des opérations terroristes islamiques.
1°) L ‘augmentation constante de la population musulmane du fait de l’immigration incontrôlée s’ajoute à une radicalisation générale islamique. Les masses de manœuvre prêtes à passer à l’action (insurrections ou attentats) sont donc toujours plus nombreuses. De plus, on note, dans tous les attentats, que les jeunes assassins sont tous, même chez nos voisins européens, des délinquants repris de justice de droit commun. Ils ne sont pas du tout désocialisés ou exclus, mais habitués aux exactions violentes et fanatisés, pour beaucoup en prison.
2°) On observe, dans la jeune population arabo-musulmane ou afro-musulmane une radicalisation anti-française, anti-occidentale, anti-européenne et anti-juive. Une idéologie (très simpliste mais très efficace) est née, à la fois affirmative et vengeresse, qui trouve dans l’islam une bannière et un marqueur identitaire agressif. Le racisme anti-blanc et anti-juif, comme la francophobie et la haine de l’”Occident” et du christianisme se développent, dans la confusion mentale la plus complète selon certains ; en réalité selon une logique implacable même si elle est simpliste ; ils constituent le soubassement psychologique de ces comportements compulsifs mais par ailleurs dirigés et manipulés par les idéologues d’un djihad mondial.
3°) Une frustration est apparue non pas du fait de l’exclusion mais d’un complexe d’infériorité. Retournement : plus ils sont aidés, plus ils haïssent et se plaignent. À ce ressentiment se mêle un désir de conquête et de revanche. Cette fracture est ingérable. Il est trop tard pour envisager la moindre intégration ou la moindre assimilation. Toute cohabitation pacifique est devenue impossible. Le mythe pluriethnique du ”vivre ensemble” a été forgé par des élites urbaines (politiciennes et journalistiques) qui vivent entre elles.
4°) Une partie notable de la jeune population immigrée musulmane – on l’a vu en France et au Danemark – soutient implicitement ou explicitement les assassins djihadistes ”martyrs”. Même chez ceux qui paraissent parfaitement calmes et intégrés. Ce qui offre une sorte de base arrière, de logistique et un puissant encouragement. Le sentiment de participer à une guerre collective exaltante de revanche, de justice et de conquête est un puissant facteur de passage à l’acte.
5°) Le durcissement et l’extension de la propagande djihadiste mondiale, amplifiée par les médias et Internet, relayée par les prêches des mosquées, illustrée par les exemples fascinants des exactions barbares des djihadistes en Syrie, en Irak, au Mali, en Libye, au Nigéria, multiplient les vocations et surexcitent de jeunes cerveaux dont l’intelligence n’est pas la marque de fabrique.
6°) S’ajoutent à ces facteurs la présence en Syrie et en Irak, dans les rangs de l’EI de milliers de jeunes immigrés musulmans dont beaucoup vont revenir en Europe aguerris et fanatisés, barbarisés. Sans oublier le phénomène de compétition entre assassins djihadistes, chacun voulant concurrencer et dépasser le précédent attentat dans l’horreur.
7°) N’oublions pas non plus l’encouragement au djihad islamique provoqué par les réponses faiblardes et complexées des gouvernements européens, sans vraie riposte sérieuse : les manifestations monstres du 11 janvier (”Je suis Charlie”) avaient un côté ”bisounours” risible. L’agresseur, qui se présente par ruse comme la victime (un des fondamentaux de l’islam) est excité par la faiblesse de celui qu’il agresse.
8°) Le laxisme judiciaire de la Garde des Sceaux, Mme Taubira, protège autant les délinquants de droit commun que les terroristes djihadistes, sur lesquels elle manifeste un silence assourdissant. Le judiciaire est en France le maillon faible de la lutte antiterroriste. Est-ce parce qu’on est paralysé à l’idée d’aller mettre son nez dans les milieux musulmans et dans les ”cités”, citadelles de l’insurrection et des attentats ? C’est peut-être une réponse. En tout cas, le volet pénal antiterroriste est ridiculement faiblard. Les magistrats antiterroristes sont débordés et en sous-nombre, comme les officiers de police judiciaires affectés à cette tâche, 200 seulement, alors qu’il en faudrait le double ou le triple. Les moyens affectés aux enquêtes financières contre l’opposition de droite et la surveillance des délinquants sexuels sont incomparablement plus importants que ceux mis en œuvre contre les djihadistes potentiels ou avérés ! Les procédures d’enquêtes judiciaires antiterroristes, selon le procureur de la République de Paris, François Molin, sont dangereusement et scandaleusement entravées, notamment sur le plan des écoutes téléphoniques et du renseignement informatique.
Plus grave : les juges antiterroristes alertent sur les sorties de prison prématurées (moins de la moitié de leur temps d’emprisonnement !) d’individus dangereux, par ailleurs condamnés à des peines ridiculement faibles… Les ruptures de contrôle judiciaire ne sont pas sanctionnées. Les prisons passoires (téléphones portables présents dans les cellules) sont des centres de radicalisation. Les terroristes bénéficient d’un système d’exécution et de réduction des peines aligné sur le droit commun qui est déjà l’un des plus laxistes du monde. La Cour européenne des Droits de l’homme, qui est la meilleure amie des délinquants de droit commun est aussi la meilleure alliée des apprentis terroristes et des djihadistes. D’autre part, les services de renseignement sont dépassés et entravés dans leurs investigations. Tout cela signifie qu’un sentiment d’impunité se répand comme une trainée de poudre aussi rapidement que la radicalisation islamique. Autrement dit, tout cela encourage la préparation d’actes terroristes puisque d’une part les suspects sont mal surveillés et que d’autre part, les délinquants susceptibles de passer à l’acte ont été punis avec mollesse et mansuétude et sont mal suivis, comme on l’a vu avec les frères Kouachi et Coulibaly.
Les signes avant-coureurs d’un affrontement majeur
Très grave et très inquiétant : un nombre important d’adolescents exaltés, déboussolés, et prêts au djihadisme, a été repéré, dont un tiers, selon la PJJ (Protection judiciaire de la jeunesse) sont des convertis (!) ; ce qui en dit long sur l’état des valeurs de notre société et sur l’état de délabrement des notions de ”France” et de ”république”…Plusieurs sont partis combattre en Syrie pour l’EI (Daech). Selon Alain Dru, secrétaire général de la GCT-PJJ « le radicalisme est rarement un phénomène qui s’enkyste, il y a des passages à l’acte extrêmement rapides ». Ces adolescents, embrigadés et fanatisés par une propagande islamique et djihadique contre laquelle l’État français est complètement impuissant, sont appelés à devenir des éléments de choc. Certains sont prêts à mourir, persuadés d’entrer dans le ”paradis d’Allah”.
Il faut évoquer un contexte idéologique mondial islamique qui, indépendamment des innombrables luttes internes à l’islam, construit un véritable programme de guerre contre nous, sans faire dans le détail. Cette propagande est d’une redoutable efficacité. Par exemple, la bible des djihadistes est un livre islamique traduit en français en 2009, « Gestion de la barbarie ». Il prône une utilisation rationnelle de la barbarie terroriste pour créer un chaos, un état de sauvagerie qui « poussera les régions livrées à la terreur à faire appel aux djihadistes. Ils appliqueront alors la charia, étape finale vers le califat », écrit Frédéric Pons (Valeurs actuelles, 12-18/02/2015). Ce manuel, étudié à Harvard, est pris très au sérieux par le centre anti-terroriste de l’armée américaine à West Point qui note : « ces travaux djihadistes sont intelligents, (et diaboliquement intelligents), ce sont des manuels d’insurrection globale rédigés par des penseurs particulièrement doués. » Ils sont « la meilleure des sources pour comprendre la nature intrinsèque du mouvement djihadiste » Ce manuel, qui récuse la distinction entre ”islam” et ”islamisme” (cette distinction étant une des causes de l’aveuglement des démocraties européennes) ne cache pas que le but est la submersion de l’Occident, en tout premier lieu l’Europe ramollie, vieillissante et envahie par l’immigration. Joshua Mitchell, professeur de théorie politique à l’université Georgetown (Washington) explique : « ces mouvements ne laissent pas place au pluralisme, au doute, au compromis ; ils ne respecteront pas les lois de la France ni d’aucune autre nation. Ils submergent et détruisent et ne laissent rien d’indépendant d’eux ». (Le Figaro, 04/02.2015)
On constate depuis quelques années en France un inquiétant phénomène devant lequel l’État est impuissant : la radicalisation salafiste des mosquées. On dénombre aujourd’hui 89 mosquées salafistes et 40 autres seraient sur le point de basculer. C’est le signe d’un climat général de durcissement et de montée aux extrêmes chez les musulmans de France, surtout les jeunes, qui ne pourra déboucher que sur une explosion. De même, on estime à 5.000 les ”djihadistes potentiels” installés sur le territoire. Par rapport au nombre de musulmans, Philippe Huneman, chercheur au CNRS estime que « c’est statistiquement insignifiant » (revue Philosophie, mars 2015) pour étayer sa thèse selon laquelle l’islam n’est pas une menace. Raisonnement stupide. Au contraire, 5.000 fanatiques prêts à en découdre, c’est déjà énorme, et leur nombre ne fait que croître. 5.000 combattants, en outre soutenus ou aidés par des milliers de coreligionnaires, cela suffit à amorcer une sanglante guerre civile.
Né au Danemark, le tueur islamique de Copenhague, Omar el-Husseini, 22 ans, d’origine palestinienne, était un repris de justice qui s’était radicalisé en prison. À son enterrement le 20 février, après avoir été abattu par la police, on dénombrait dans le cimetière musulman de Brondby, 500 personnes venues lui rendre hommage ! Ce détail est assez effrayant et confirme que dans toute l’Europe (notamment, Grande-Bretagne, France, Bénélux, Danemark, Allemagne…) les djihadistes sont soutenus par une fraction de la population musulmane immigrée, entrée dores et déjà en sécession, prélude à l’insurrection.
Dans une mise en scène sanglante et symboliquement très forte, les djihadistes de Libye (qui se réclament de Daech qui les soutient) ont égorgé des dizaines de chrétiens coptes égyptiens sur une plage, les victimes agenouillées en direction de Rome, de l’autre côté de la Méditerranée, représentation de l’Occident chrétien. À cette menace symbolique, ils en ont associé une autre, très concrète : celle de laisser 500.000 migrants – musulmans à 95% – traverser la Méditerranée vers l’Italie et l’Europe. Comme quoi, dans leur esprit, dont le raisonnement est parfaitement cohérent, il s’agit bien de favoriser un processus d’invasion arabo-afro-musulman de l’Europe associé à un djihad, une guerre ethno-religieuse entamée sur notre sol. Ils savent que la réponse européenne (Droits de l’homme !) est de laisser entrer tout le monde, comme le démontre l’attitude de l’Italie, avec la bénédiction du Pape.
Ahuris, déboussolés, les politiciens qui dirigent l’Union européenne et ses pays membres ne veulent pas voir cette menace, se mentent à eux mêmes, se bouchent les yeux. Ils préfèrent se focaliser sur leurs fantasmes inconsistants : la diabolisation de Poutine et la russophobie. Beaucoup plus lucide est le général Al-Sissi, le nouveau raïs d’Égypte, certes un dictateur nationaliste (et après ?) qui a éliminé les Frères musulmans et qui protège les chrétiens. Il a fait bombarder des positions djihadistes en Libye après les assassinats des coptes égyptiens. Il a déclaré, en substance que « ce qui se passe en Libye va menacer l’Europe et en particulier la France » par le double risque d’un déversement migratoire et de l’exportation de terroristes djihadistes. Le problème, c’est qu’au sein des pays musulmans (tout comme en France chez les immigrés) une partie des masses est gagnées par une fanatisation et une exaltation en faveur de l’islam radical, en dépit de l’épouvantable barbarie des djihadistes, au Moyen-Orient, en Libye, au Mali, au Nigéria…
Ce sont d’ailleurs souvent certains Arabo-musulmans qui sont les moins complexés et les plus lucides sur ce qui se passe. Par exemple, Waleed Al-Husseini, auteur de Blasphémateur ! Les prisons d’Allah (Grasset). Il a été torturé dans les geôles de l’Autorité palestinienne (dont on cache la véritable nature, qui est celle d’un État islamique totalitaire, pseudo laïque et théocratique) pour apostasie et athéisme revendiqué. Grâce à l’intervention de la France, il est libéré et obtient en 2012 un visa. Arrivé en banlieue parisienne, il est sidéré, effondré, et met en garde contre la progression de l’islam totalitaire dans un Occident désabusé et sans valeurs : « des milliers d’hommes et de femmes étouffent dans certains pays et dans certaines banlieues ou quartiers des villes européennes régis par l’islam ». Son livre décrit l’arriération de ce monde islamique, sa cruauté, sa naïveté mais aussi sa « duplicité ». En Seine Saint Denis « on se croirait dans un pays islamique ». Il note la rupture totale et volontaire des jeunes musulmans avec les lois françaises détestées, avec la culture démocratique ; il remarque le poids croissant des imams étrangers, qui émettent des fatwas et incitent à l’hostilité et à la subversion : « les immigrés sont appelés à se rebeller contre la loi républicaine. Ceux qui s’y soumettent le font parfois par opportunisme, la fameuse taqiya, ou l’art de la dissimulation ».
Les scénarios de la guérilla, des émeutes et du terrorisme
Nous allons vivre sous peu la conjonction de plusieurs facteurs, en France d’abord, mais dans toute l’Europe de l’Ouest. Passons en revue tous ces éléments qui peuvent déboucher sur une situation insurrectionnelle hors contrôle.
1°) Les attentats et les attaques de faible intensité (moins de 10 morts) contre des cibles diverses vont se multiplier, à l’image de ce qui s’est produit récemment. En plus des cibles juives, de la police, de l’armée, des cibles chrétiennes vont être visées. Soit par attaques ”artisanales” à l’arme blanche, à l’arme à feu ou par armes de destination (voitures-bélier jetées dans la foule, etc.), soit par explosifs plus élaborés. Les auteurs pourront être des ”loups solitaires” ou de petits groupes agissant dans l’amateurisme improvisé.
2°) Nous allons aussi voir apparaître, contre les cibles précitées, des attentats plus professionnels et préparés et nettement plus meurtriers (entre 10 et 100 morts). Il pourra s’agir de terrorisme à l’état pur, non ciblé, c’est-à-dire contre des zones à forte concentration de population. Sur Internet, circulent des instructions djihadistes, détaillées, pour des attentats contre la France, visant les sites touristiques, les grands magasins, les lieux symboliques. L’EI (Daech) diffuse une publication en ce sens, en français. Il faut donc s’attendre, comme en Irak aujourd’hui, à l’extension de ce sport : attentats à la bombe déposée, au kamikaze vêtu d’une ceinture d’explosifs ou à la voiture piégée. Une campagne d’attentats simultanés est possible pour créer des effets de panique et de sidération.
3°) L’hypothèse d’un attentat terroriste géant (plus de 1.000 morts) comme celui du 11 septembre 2001 contre un pays européen (la France étant le pays le plus à risque) est moins probable, du fait de difficultés logistiques, mais parfaitement envisageable. Il ne fait aucun doute que des groupes terroristes djihadistes réfléchissent à un nouveau ”11 septembre” et le préparent. En ce moment même. Les cibles sont très nombreuses.
4°) Ce qui nous pend aussi au nez, c’est l’éclatement d’émeutes et d’insurrections violentes simultanées sur divers points du territoire, sous un prétexte qui peut survenir à tout moment, accompagnées d’ assassinats, d’incendies, d’attentats, de pillages et d’actes de guérilla urbaine impliquant des armes de guerre, avec un encadrement déterminé de moudjahidines aguerris. Les forces de l’ordre seront submergées et il n’est pas évident que l’armée française d’aujourd’hui ait les moyens, les capacités et la préparation psychologique pour y faire face. Émeutes insurrectionnelles + attentats terroristes aveugles + assassinats ciblés. L’équation est simple. Elle peut aboutir à deux solutions.
Les deux hypothèses : soumission ou reconquête
La première, positive, provoquerait une révolte générale des Français et un changement de paradigme, c’est-à-dire une acceptation de la réalité de la guerre et de l’impératif de désigner l’ennemi – et de le traiter. Autrement dit la volonté de combattre et de mener une contre-offensive. Celle-ci supposerait évidemment un arrêt immédiat de toute immigration, un mouvement de ”démigration” et de règlement définitif du problème de l’islam en France. Autrement dit, des mesures révolutionnaires seraient alors possibles grâce au réveil qui résulterait d’une guérilla déclarée.
La seconde hypothèse serait celle de la catastrophe et de la soumission. C’est exactement ce que programment les forces actives et réfléchies qui veulent islamiser et conquérir la France, en misant sur la veulerie des élites et des autorités, sur le fameux ”syndrome de Stockholm”. Cette stratégie de la tension et de la guérilla aura pour but d’intimider et de faire céder les autorités, selon le chantage suivant : ” si vous voulez que ça cesse et que le calme revienne, si vous voulez la paix, associez-nous au pouvoir”. La liste des revendications est longue : communes islamisées avec application de la charia ; place grandissante accordée à l’islam dans la législation nationale, en attendant patiemment qu’il prenne petit à petit le monopole ; accélération de la construction de mosquées ; modification des fêtes religieuses ; facilités accrues à une immigration musulmane, etc.
Ce cauchemar repose sur le pari des djihadistes qu’il n’y aura pas une réaction de révolte mais de peur et de soumission. La stratégie de la tension vise à déstabiliser, à créer la peur, à faire céder, à pousser à négocier. Elle repose sur un binôme, tout à fait classique depuis de nombreux siècles dans la culture de l’islam, celui du double discours : d’un côté les djihadistes se livrent à des actes de guérilla, de harcèlement, de terreur, de barbarie ; de l’autre, de sages négociateurs ”modérés” font semblant de les désapprouver et de les condamner. Mais, pour faire cesser les exactions (et en les expliquant par l’ ”islamophobie”) ils exigent une place accrue accordée à l’islam, selon la tactique du grignotage. Jusqu’au but final : l’exclusivité totalitaire du pouvoir sur une population qui a vocation à devenir majoritairement islamisée. Déjà, on note des signes inquiétants de reculades, comme ce festival traditionnel annulé par une ville allemande parce que la municipalité avait décelé une menace d’attentats islamiques. Après l’immigration, première phase de l’invasion, le djihadisme terroriste est la deuxième phase – qui commence sous nos yeux – afin de créer la sidération et la peur, puis, comme conséquence, la reddition. Cette capitulation, Houellebecq l’a décrite dans son dernier roman Soumission où il sous-estime d’ailleurs le facteur ”guerre civile”.
Pour conclure, deux points : tout d’abord, ce terrible scénario ne serait pas possible sans son facteur principal : l’immigration de colonisation en majorité musulmane qui continue dans l’indifférence ou avec la complicité de l’oligarchie et de l’idéologique dominante, immigration associée à un taux de natalité bien supérieur des populations immigrées. En second lieu, tous les ingrédients de la guerre civile ethnique sont prêts. Le tonneau de poudre est là, il suffit plus que d’allumer la mèche. Il est terrible de devoir dire et supputer que ce sera peut-être là la seule chance d’un réveil et d’une reconquête.
(1) Le nouveau raïs d’Égypte, le général Al-Sissi, renoue avec le nationalisme arabe traditionnel anti-islamiste. Il poursuit les Frères musulmans, dont il a liquidé le régime, installé après la ”révolution démocratique” qui avait renversé Moubarak. Pour défier les Etats-Unis, dont il mesure la catastrophique politique dans tout le Moyen-Orient qu’ils ont déstabilisé, il a passé commande d’avions Rafale français, avec une rapidité inouïe dans la signature du contrat. Tout le problème est de savoir s’il pourra tenir. Tout dépendra de ses résultats économiques sur le terrain.
La guerre civile ethnique se prépare !
Le samedi 8 octobre 2016, à Viry–Châtillon, en banlieue parisienne, dans une de ces zones de non-droit qui se multiplient, deux voitures de patrouille ont été attaquées, vitres brisées, et incendiées au cocktail Molotov et les policiers volontairement bloqués à l’intérieur. La tentative d’homicide est évidente. Les policiers ont été gravement brûlés et l’un d’entre eux demeurait entre la vie et la mort.
Le 17 octobre, par une évidente contagion, des pompiers, attirés après des incendies volontaires, puis des policiers ont été pris dans un guet-apens à Mantes-la–Jolie, avec jets de pierres et de cocktails Molotov. Représailles après la saisie de 35 kilos de résine de cannabis la semaine précédente ? En tout cas, l’ambiance était insurrectionnelle, impliquant une centaine d’émeutiers. Du mobilier urbain a été détruit, des voitures de police endommagées et une annexe de la mairie vandalisée. Ce genre d’épisode se multiplie quotidiennement, se banalise, devient endémique, jusqu’à ne plus être maîtrisable. Jusqu'au jour que les jeunes de cités sortiront les armes de guerre tel que les AK47 et lance-roquettes .... CECI EST UN AVERTISSEMENT ALORS VOUS VOILA PREVENUS !
Patrice Ribeiro, président du syndicat Synergie–Officiers parle, à propos du guet–apens de la Grande Borne, d’une « tentative de meurtre d’une sauvagerie inouïe ». Selon Céline Berthon, du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN), majoritaire, « il s’agit d’une tentative d’assassinat en bande organisée ». Gravissime, le syndicat Alliance a organisé une « grève du zèle » le 11 octobre dans tous les commissariats de France. Les fonctionnaires de police, dégoûtés, affrontent l’État, dont la haute hiérarchie semble les mépriser. Et, hors syndicats, des centaines de policiers surchauffés ont spontanément manifesté sur les Champs–Élysées dans la nuit du 17 au 18 octobre, souvent pendant leurs heures de service, à deux pas du ministère de l’Intérieur où soufflait un vent de panique. Le mouvement de fronde s’est amplifié dans les autres villes de France, et le patron de la police, J–M. Falcone, a été hué par ses fonctionnaires qu’il rappelait à l’ordre. Ce début de lâchage de l’État par sa police, qui désobéit aux ordres, y compris syndicaux, est un symptôme annonciateur du chaos de la guerre civile. Les déclarations du ministre de l’Intérieur, le pitoyable et incompétent Cazeneuve, minimisant les agressions, auront été la goutte qui fait déborder le vase.
La réalité de cette guerre civile ethnique qui se prépare est confirmée par la forte hausse des policiers blessés en mission, dont aucune statistique officielle ne fournit l’origine des auteurs, pourtant parfaitement connue : 544 policiers blessées en moyenne par mois. Au premier trimestre 2016, 3267 policiers et gendarmes ont été blessés en opération (+14% par rapport à 2015). En 2015, 6.854 gendarmes ont été victimes d’agressions physiques ou verbales. Et 5736 policiers ont été blessés en service. Sans parler des pompiers… Depuis dix ans, la progression est constante.
On assiste à deux mouvements parallèles : augmentation des populations immigrées qui fournissent presque 100% des délinquants violents et baisse de la réponse pénale. Mme Taubira, ancienne ministre de la Justice, ver dans le fruit, en bonne militante subversive, aura servi à quelque chose. La situation explosive des prisons, où la majorité des détenus sont des délinquants musulmans, est un facteur aggravant. Les réponses pénales à toute cette criminalité sont ridiculement basses, parce que le corps judiciare est atteint par cet islamo–gauchisme de collaborateurs dont Mme Taubira ou Edwy Plenel sont d’éminents représentants. Et parce qu’il y a un manque criant (volontaire) de places de prison.
Invasion territoriale intérieure
En Europe, il n’y a qu’en France (« douce France »…disait la chanson bien anachronique de Charles Trenet) où ce genre de faits atteint une telle intensité. Mais les autres pays voisins connaîtront la même situation dans peu de temps, si rien ne change, si le déversement migratoire à majorité musulmane continue –ce qui est la vraie clé du problème.
Les auteurs des agressions, des bandes organisées de voyous cagoulés, visent à protéger et à marquer leur territoire, dans ces zones de plus en plus en plus nombreuses où le droit français, la fameuse ”République” comme les Français de souche ont disparu. Ils voulaient aussi interdire à la police de pénétrer dans des quartiers où le trafic de drogue (notamment le cannabis marocain) atteint une dimension considérable.
On parle de « zones de non droit » ; certes, mais ce sont aussi des zones envahies, portions du territoire national occupées par l’immigration extra-européenne à majorité musulmane. Y prospèrent en parfait parallélisme la délinquance et la radicalisation islamique, sous direction salafiste. Ces zones gagnent chaque année du terrain, dans les banlieues, les villes et, demain peut-être dans les terres rurales. La France est rongée de l’intérieur, avec la complicité de l’État, qui s’ingénie à imposer des ”migrants” – clandestins illégaux mais entretenus – dans les petites communes, derniers refuges des Français de souche. Cette évidence est à a fois connue de tous et dissimulée par les discours de l’idéologie d’État.
Pourtant, dans son hallucinant livre–entretien de confidences narcissique à deux journalistes du Monde (Un président ne devrait pas dire ça…, Stock), François Hollande confirme avec cynisme cette évidence niée par ailleurs par les politiciens de gauche ou de droite : « la partition » de la France, en deux populations hostiles, « est en train de se produire ». Mais il s’en moque complètement.
L’apathie (provisoire ?) des Français et des Européens
Les attentats islamiques récents, les plus meurtriers, inouïs dans l’histoire de notre pays, et dans celle de nos voisins, signes évidents d’agression guerrière sur notre sol, n’ont pas donné lieu à des réactions populaires autres que des bougies et des larmes. Ce fait sociologique hallucinant semble témoigner d’une émasculation mentale des Français de souche, comme des autres Européens de l’Ouest, unique dans l’histoire et dans le monde.
Cependant des signes subliminaux indiquent que les mentalités changent. Voici le message diffusé (presse écrite de droite très choisie, Internet, etc.) par l’association catholique Caridad – très éloignée de l’idéologie officielle de l’Église de France : « Face à la barbarie islamiste et à la guerre qui les menacent, ne les laissez pas seuls ! Parrainez un soldat en lui offrant un chapelet pour l’inviter à prier avec vous. Un rosaire pour nos soldats ». Le message implicite est limpide.
Les services de renseignement sont néanmoins très inquiets de l’éclatement possible d’une guerre civile ethnique en France – sur fond d’islam revendicatif et de révolte des autochtones contre la cohabitation imposée et invivable avec les populations immigrées. Leur principal souci est de repérer les ”extrémistes” français qui pourraient se rebeller et passer aux actes en ripostant aux attaques constantes de ceux qu’ils désignent comme l’ennemi intérieur. Ils redoutent ce phénomène nouveau : l’armement clandestin des Français de souche. L’État réfléchit aussi à la possibilité de désarmer les chasseurs. C’est plus important pour lui que la confiscation des arsenaux de guerre qui pullulent dans toutes les banlieues. Et qui serviront un jour prochain, celui de l’embrasement de la guerre civile.
Jean-Pierre Chevènement, qui a été chargé de réorganiser l’islam de France (mission impossible) a reconnu au micro de RTL le 17 octobre 2016 : « nous sommes menacés de guerre civile ». Que ce personnage emblématique de la gauche, ancien ministre de l’Intérieur, homme bien renseigné, oublie toute prudence idéologique et fasse une telle déclaration en dit long sur la réalité de la situation.
Une vérité interdite et explosive
Les auteurs des agressions contre la police, les pompiers, les fauteurs de troubles graves à l’école etc. ne sont jamais désignés clairement par leur origine dans les médias ni chez les responsables politiques, même de droite. Ce déni de réalité empêche de résoudre le problème. Or tout le monde sait que l’origine des auteurs des agressions constantes, des émeutes, des trafics, de l’ensemble de la criminalité subversive qui pourrit la vie des Français est à plus de 90% immigrée extra–européenne. Mais une lâcheté collective (politique et médiatique) empêche de mettre la question sur la table. Rien n’est plus explosif qu’une vérité interdite. Et l’État réprime de plus en plus fort qui ose évoquer la réalité, comme le démontre la future loi liberticide ”égalité et fraternité” bientôt votée, que la droite, revenue au pouvoir, n’osera évidemment pas abolir.
La dimension ethnique de la question est dissimulée parce que trop évidente, donc trop dangereuse. L’aspect ethnique et raciste, mais aussi subversif et invasif, de cette criminalité et de cette violence permanentes, est aussi important que ses motivations crapuleuses ; il comporte une dimension politique centrale puisqu’il vise à provoquer une guerre de conquête.
Cette hypothèse d’une ”guerre civile ethnique” d’abord en France, et, par contagion, ailleurs en Europe, notamment au Royaume–Uni, en Belgique, en Allemagne, etc., avec une dimension majeure d’affrontement avec l’islam invasif, que j’avais évoquée dès l’an 2000 dans un essai (La colonisation de l’Europe), d’ailleurs condamné par la justice, est de plus en plus agitée aujourd’hui. Dans des essais (Éric Zemmour, Ivan Rioufol, Philippe de Villiers) ou des romans (Laurent Obertone), des articles de presse toujours plus nombreux, l’hypothèse de la guerre civile est évoquée en boucle. Ce sont des signes annonciateurs. Bien entendu, les intellectuels du système (dont Régis Debray qui, tout comme Bernard–Henri Lévy, se prend pour un génie mais s’est toujours trompé sur tout) évacuent l’évidence d’une telle menace, pour faire chic. Faire original, c’est nier le réel. Mais ils sont aussi mauvais que Sartre, leur père spirituel, qui pensait le marxisme comme un ”horizon incontournable”.
Mensonge et trahison d’État
Un Français de souche qui se défend contre une agression d’immigrés est souvent condamné. Généralement, ces derniers bénéficient d’un privilège de mansuétude de la part de la justice. Le ”racisme anti Blancs”, de plus en plus répandu, est très mollement poursuivi, de même que l’antisémitisme de ces mêmes populations. On marche sur la tête. L’État –son administration, sa justice– pratique une sorte de préférence étrangère et aussi, dans tous les domaines, Pas seulement par peur et lâcheté ; mais aussi par choix pervers de combattre, de déconstruire la Nation de souche.
La permissivité pratiquée envers les voyous d’origine immigrée renforce leur sentiment d’impunité et les incite à des actions de plus en plus violentes. Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur dont des députés ont demandé la démission, a traité de « sauvageons », au lieu d’assassins, les voyous qui ont brûlé vifs des policiers dont il a la charge. M. Cazeneuve est un homme indigne. Quant au ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, personnage inconsistant, il a assuré : « il n’y a pas de zone de non–droit en France ». Et il n’y a pas non plus de cratères sur la Lune, c’est bien connu… Ces deux ministres sont des cas d’école du mensonge d’État et de sa complicité avec les envahisseurs.
Quant à Juppé, il a déclaré dans un de ses discours que « la France était riche de sa diversité ». Selon la langue de bois, il rabâche le vieux leitmotiv : ” l’immigration est une chance pour la France”, contre–vérité plan-plan absolue. Si M. Juppé parvient à l’Élysée en 2017, on a du souci à se faire sur sa capacité à limiter la déferlante migratoire, comme sur le autres sujets d’ailleurs.
Et Manuel Valls, le faux dur (tout comme Sarkozy) le trouillard, le ”bande mou” dans l’argot traditionnel, il a bien répété le gros mensonge historique officiel des soumis : « l’islam est une partie indissociable de nous–mêmes, de notre culture et désormais de nos racines ». Cette déclaration du 17 octobre 2016 du Premier ministre de la France sonne comme une reddition honteuse, misérable, méprisable et méprisée par les envahisseurs qui se frottent les mains d’une telle reddition par avance.
Les préparatifs de la guerre civile
La police, la gendarmerie, les pompiers, tous les symboles de la nation française sont visés. Même l’école n’échappe pas à la montée d’une violence volontaire, dirigée contre des jeunes d’origine française et européenne (filles aussi, très ciblées) ou contre les enseignants… pourtant majoritairement à gauche et ”antiracistes” ! Pas un jour sans des affrontements et agressions, voire des émeutes, dans les établissements scolaires publics, avec toujours les mêmes auteurs. Il s’agit d’une stratégie de provocation et de conquête, recommandée par les autorités musulmanes radicales, une stratégie de la tension devant déboucher sur une vraie guerre civile ethnique. L’objectif est la défaite d’un État français dépassé, paralysé, mais aussi complice, collaborateur et victime de noyautages et d’entrisme. Le fantôme de Vichy ressurgit.
L’objectif affiché, diffusé par des théoriciens arabo-musulmans sur le web et qui fascine de plus en plus de jeunes immigré est que la France disparaisse, par une submersion démographique (invasion migratoire et natalité), une islamisation accélérée et à une guérilla de harcèlement qui fera céder et fuir les Français de souche. Cette théorie est largement prônée et répandue auprès des jeunes populations immigrées, dans toute l’Europe.
Des théoriciens du djihad mondial, très influents chez les jeunes musulmans de France qu’ils excitent, développent –impunément– la prédiction que « l’Europe va tomber », à la fois sous la pression migratoire invasive et démographique et le développement conjoint du terrorisme et de la criminalité qui vont sidérer, terrifier puis obliger les Européens vieillissants et décadents à se soumettre. Ce programme de guerre est déjà entré en application. Nous sommes dans la phase des ce préparatifs de l’offensive.
Philippe de Villiers a révélé qu’il existe déjà des accords secrets ou discrets de soumission, extralégaux, avec la complicité de l’État français, pour céder, en douceur des portions du territoire français à la loi islamique, la charia. L’État collaborateur négocie déjà avec l’envahisseur.
Les trois hypothèses : soumission, défaite ou victoire
Éric Zemmour a estimé que les choses étaient mal parties : « Je crains qu’il ne soit trop tard […] Si un pouvoir fort reprenait mes propositions, une partie des musulmans ferait sécession ; nous n’échapperons pas dans les trente ans qui viennent, soit à la guerre civile soit à la soumission. Le général de Gaulle a donné l’indépendance à l’Algérie parce qu’il considérait que les « Arabes » et les « Français » étaient comme « l’huile et le vinaigre », ne pouvant que se séparer ». Cette réflexion est intéressante. Le délai de trente ans qu’il prédit est beaucoup trop long. L’explosion se produira bien avant, peut-être l’année prochaine.
Il existe trois hypothèses. La première, la pire, c’est celle de la soumission. Pour faire la guerre et pour vaincre, il faut être deux. Si, face aux envahisseurs et agresseurs, les Français et Européens ne se défendent pas, il n’y aura pas de guerre. Ce sera la « mort tiède » selon la formule de Konrad Lorenz. Le pourrissement, l‘effondrement sans vrai combat C’est une possibilité.
La deuxième hypothèse, c’est l’éclatement d’une guerre civile ethnique avec défaite des autochtones français, et autres Européens, ayant contre eux leur propre État collaborateur. Une possibilité qu’avait évoquée Jean Raspail.
La troisième hypothèse, c’est une guerre civile victorieuse, avec des conséquences historiques incalculables, dont l’effondrement de tous nos paradigmes politiques. Quoi qu’il en soit, dans les années à venir, il sera impossible d’échapper à des désordres majeurs. L’Europe de l’Ouest va bientôt être le théâtre d’un séisme ethnique. Inévitable !
La guérilla ethnique s’aggrave
Chaque année, pendant la nuit du Nouvel An, les incidents provoqués gratuitement par les ”jeunes” d’origine immigrée sont de plus en plus graves et s’apparentent à ce que Marine Le Pen a décrit dans un communiqué du 1er janvier 2018 : « ces scènes d’une rare violence viennent rappeler que perdure et s’amplifie dans notre pays, à côté de la menace terroriste, une insécurité confinant parfois à la guérilla urbaine ». Elle n’a pas osé désigner, politiquement correct oblige, l’origine des auteurs des faits. On lui pardonne, elle est tenue. De son côté, le ministère de l’Intérieur a reconnu que la soirée avait été « un peu chaude », mais que les festivités se sont globalement « bien passées » avec « très peu d’incidents ». Ah bon ?La guérilla ethnique s’aggrave
Tentative d’homicide filmée et diffusée
Essayons d’interpréter les faits d’agression en prenant du recul. À Champigny–sur–Marne, une bande de voyous, pas vraiment Français de souche, tente d’entrer dans un lieu où se déroule un réveillon privé, dont ils défoncent la porte. Appelée, la police les expulse. Mais deux policiers, un homme et une femme, se font isoler et cerner pendant l’émeute qui s’ensuit. Ils sont lynchés et tabassés par des dizaines de ”jeunes” (devinez leur origine…). La jeune policière, à terre, est rouée de coups de pieds, surtout au visage. La scène, insoutenable, est filmée au smartphone par un des agresseurs et les images, comme un exploit à imiter, seront diffusées sur les réseaux sociaux. Appelés en renfort d’autres policiers viennent les secourir. Deux voyous seulement ont été placés en garde à vue. Les deux fonctionnaires, gravement blessés, sont hospitalisés avec dix jours d’interruption de travail.
Ce sont des miraculés car l’intention de les tuer était manifeste. Patrice Ribeiro, patron du syndicat de policiers Synergie–officiers a analysé : « Cela témoigne de l’explosion exponentielle des violences perpétrées contre les policiers, avec une volonté homicide décomplexée. Cette scène de lynchage est digne des pays où les mœurs les plus barbares ont cours ». (1)Sans réponse judiciaires fermes, nous courrons à des drames ». Une autre attaque du même type, avec double agression a été perpétrée à Aulnay–sous–Bois contre des policiers. Il faut dire que l’État est objectivement complice des voyous, en dépit des communiqués pro–police tonitruants, martiaux, indignés et creux de ses plus hautes autorités –MM. Macron et Collomb, le ministre de l’Intérieur – qui n’envisagent pas une seconde de rétablir les peines planchers, abrogées en 2014, pour les agresseurs de policiers ! Bidon, mensonge et spectacle, au sommet d’un État qui est gouverné par des… [je vous laisse choisir le terme].
Essayer de tuer un policier si l’on est d’une certaine origine… est, objectivement, dans la France en décomposition d’aujourd’hui, nettement moins puni par des magistrats gauchisés que si, Français de souche, on tire sur un agresseur à domicile d’origine immigrée.
Aggravation constante des troubles du Nouvel An
Mais tout va bien ! Cette même nuit de la Saint–Sylvestre 2017–2018, on a aussi vu 1031 véhicules incendiés, contre 935 l’année précédente, dont 250 en Ile–de–France, surtout évidemment près des zones où se concentrent des jeunes d’origine immigrée.
510 délinquants ont été arrêtés dans toute la France contre 456 fin 2016. (L’immense majorité est relâchée.) Il y eut aussi 10 policiers et militaires agressés et blessés par nos amis les ”jeunes”. Eh oui, ça augmente et ça augmentera. Soyez–en sûrs : pratiquement aucun des délinquants ne fera de la prison ou ne supportera la moindre amende. Les magistrats sont antiracistes…
Les agressions et émeutes de la nuit de la Saint–Sylvestre ont encore gagné en intensité par rapport à l’an passé et cette montée en puissance se poursuit chaque année depuis 10 ans. À Paris et dans la petite couronne (92, 93, 94), pendant la nuit du Nouvel An, 213 interpellations ont eu lieu contre 202 en 2016 ; 163 véhicules ont été incendiés contre 134 à la Saint Sylvestre 2016. On a enregistré 6 tirs de mortier contre les forces de l’ordre contre 2 en 2016.
La nouveauté c’est que, maintenant, les agressions et les incendies de véhicules gagnent Paris intra-muros. Les ”jeunes” s’enhardissent. À 20.50 h sur les Champs Élysées les gendarmes mobiles ont arrêté sept individus qui jetaient des canettes pleines dans la foule dans l’intention de faire des victimes. Les auteurs de cet acte d’hostilité, de guérilla ? Des immigrés clandestins…afghans. Un employé du Fouquet’s a été blessé à l’arme blanche en s’interposant dans une bagarre. Dans le XIe, une serveuse de bar a été victime d’une agression sexuelle.
Partout, dans la banlieue parisienne, selon un rapport du ministère de L’Intérieur, violences et agressions ont été d’un niveau nettement supérieur à l’an passé. Pour se dégager de guet–apens, notamment à Stains (93), la police a dû utiliser des lanceurs de balles de défense et des grenades. Des guet–apens ont aussi eu lieu à Sevran, à Houilles. À Clichy, ce sont les chauffeurs de bus qui ont été agressés. Toujours par la même population… Ce qui démontre que le niveau de la ”délinquance” est dépassé et que le seuil de la guérilla est franchi. Dans le reste de la France, le niveau de violence de la Saint–Sylvestre a suivi la même progression qu’en région parisienne.
Selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), le nombre de violences « à dépositaire de l’autorité publique » (policiers, gendarmes, militaires, etc) a triplé en 30 ans, de 10.000 en 1995 à 32.000 en 2016. C’est la France qui est visée par ces symboles et il s’agit bien d’une logique de guerre intestine par des agresseurs qui s’envisagent comme des envahisseurs. Le nombre de policiers blessés en mission est passé de 4.197 en 2008 à 5.767 en 2016, avec une forte hausse récente de ceux blessés par arme, 430 en 2015, 687 en 2016.
Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a fait cette déclaration qui laisse rêveur : « J’étais à Champigny hier. Quand on voit ces grandes barres, on se dit qu’il y a un aspect totalement inhumain qui ne peut générer que de la violence ». Ridicule. Dans les années soixante, quand seuls des Français de souche habitaient ces ”grandes barres”, tout était calme.
Taire et censurer la réalité des faits
Cette délinquance en bandes ethniques organisées est un prélude, un préparatif à une guerre civile ethnique d’agression, dont la corrélation avec l’islamisme est claire. C’est évidemment une des conséquences du laxisme migratoire total qui règne depuis un demi–siècle. La classe politique et les dirigeants français taisent ou travestissent les faits. Aucun média n’a osé révéler l’origine des auteurs des agressions – des ”chances pour la France ”. La totalité des agresseurs et des émeutiers du 31 décembre, comme à chaque épisode semblable (ce que savent bien les services de police qui ont ordre de ne jamais le mentionner dans leurs rapports), était d’origine maghrébine et surtout africaine. Leurs motivations sont non seulement crapuleuses –pillages et vols culturellement ataviques – mais aussi antifrançaises, c’est–à–dire racistes et politiques, avec l’islam en embuscade. Les grands médias, dans notre pays de très relative ”liberté de la presse”, (35e rang mondial sur 180 pays selon Reporters sans frontières) sont lourdement dissuadés de révéler la vérité sur l’origine ethnique des auteurs des exactions précitées. Ce qui est stupide, puisque tout le monde sait qui pille, vole, parasite, trafique, agresse, assassine, viole, incendie et éventuellement pose des bombes et égorge à l’arme blanche.
La lucidité de G.W Goldnadel
La réponse pénale n’est pas à la hauteur. Les voyous d’origine immigrée se sentent totalement impunis. 100.000 peines de prisons ne sont pas exécutées chaque année. Et pas plus l’actuelle Garde des Sceaux , pas plus que la calamiteuse Taubira n’envisage de créer de nouvelles places de prison.
Le seul à avoir osé dire la vérité sur le lynchage du capitaine de police et de la gardienne de la paix a été l’avocat Gilles–William Goldnadel, dans Le Figaro du 3 janvier 2018 («Lynchage des deux policiers à Champigny : nommons les faits »). Il laisse entendre tout d’abord ce qu’aucun journaliste apeuré (pléonasme) n’a osé mentionner, mais ce qui est parfaitement visible dans les vidéos de l’agression : les auteurs étaient tous de jeunes Noirs. Il estime que l’agression était à caractère raciste anti–Blancs et anti–Français. Et enfin, il accuse les médias et le système politique de dissimuler ces évidences, avec leur utopie totalement échouée du ”vivre ensemble ”.
Il écrit : « Cette haine sauvage des policiers français n’est pas issue mystérieusement d’une génération spontanée ». Il dénonce la complicité des intellocrates et des médias, de Mathieu Kassovitz et de Médiapart (le site d’Edwy Plenel) avec les agresseurs et les émeutiers. Comme d’ailleurs chez Le Monde, Libération, France Télévision et Radio France, le tropisme masochiste collaborationniste ou sympathisant avec tout envahisseur – naazi est un mal français. Du nazisme à l’islam, on adore. La vulgate ”antiraciste” (attention, pas le racisme anti–Blancs, autorisé) règne sans entraves.
GWG remarque : « les jeunes en groupe déchaînés semblaient habités d’une impression d’impunité. Je ne suis pas le plus mal placé pour écrire qu’elle est largement fondée. […] Ces jeunes de Champigny –sur–haine sont manifestement issus de l’immigration ». Il évoque « le bacille de la haine des policiers français mais celui tout bonnement de la France prétendument raciste. Et du racisme, parlons–en à la fin. On n’entend guère ce mot à propos du lynchage de Champigny. Or supposons un instant, dans une autre affaire, dix Blancs s’acharnant sur deux Noirs à terre ». La médiatisation et l’indignation seraient énormes. Deux poids, deux mesures
Quand le Noir Théo, voyou délinquant, avait prétendu avoir été ”violé” par les matraques de policiers, Hollande, (le président de la République !) était allé le visiter à l’hôpital. Antiracisme oblige. Ni Macron ni son ministre de l’Intérieur n’ont visité à l’hôpital la jeune policière tabassée par des Noirs et qui a échappé de peu à la mort. GWG s’interroge : « il n’est que temps de questionner le racisme anti–Blanc, le racisme antifemme et le racisme antipolicier qui sévit dans les quartiers. Sans trembler ».
En réalité, le point de non–retour est atteint. Jamais, l’utopique ”vivre ensemble” ne pourra s’installer. Jamais l’”insertion” ou l’”inclusion” (nouvelle lubie) ne pourront se réaliser. Jamais la haine raciste et jalouse de la France – et des autres peuples européens comme des Juifs– ne pourront s’éteindre dans populations en augmentation numérique constante. La guerre civile ethnique se profile de plus en plus clairement. Et pourtant, ce que nous voyons se dérouler aujourd’hui est bien peu de choses et ressemble à des échauffourées par rapport aux affrontements gigantesques qui se préparent.
La guérilla ethnique a commencé
Et elle est le prélude d’une guerre civile en gestation, probablement de forte intensité, sanglante et dévastatrice, et qui sera un cataclysme, y compris économique. Profitez des dernières années de tranquillité relatives. La tempête approche. Pas une semaine, en France et ailleurs en Europe de l’Ouest, sans qu’éclatent des affrontements ethniques – à sens unique. Souvent, sans qu’il y ait besoin de prétextes : les émeutiers – d’origine maghrébine et africaine en totalité – sont des agresseurs qui ne revendiquent même plus leurs violences sous la justification d’une protestation. Les émeutes et agressions sont pratiquement gratuites et incessantes. La guérilla a commencé, première phase de la guerre. Elle annonce l’embrasement dévastateur qui se prépare et qui sera peut-être salvateur. La guérilla ethnique a commencé
Criminalité et terrorisme djihadiste, même combat
C’est une criminalité d’intimidation, un mélange de délinquance crapuleuse avec saccage urbain et de raids de guérilla. Toujours sur fond de djihad islamique. Ce à quoi s’ajoutent des actes de terrorisme ”artisanaux”, dont l’égorgement du Père Hamel, pendant sa messe, est un symbole majeur, une provocation qui prolonge le meurtre des moines de Tibéhirine en Algérie, sauf que là, pour la première fois dans l’histoire, les tueurs musulmans agissaient en France même, au cœur de la Normandie.
L’intensité et la gravité des émeutes ethniques ne fait que croître d’année en année. Depuis le début de 2017, il n’y pratiquement pas une semaine sans un embrasement, surtout en région parisienne, avec son cortège de voitures incendiées, de mobilier urbain détruit, de policiers agressés et blessés. Les grands médias minimisent ou censurent. Le parallélisme est parfait avec la croissance des attentats djihadistes et la montée incessantes des innombrables problèmes liés à l’islam invasif. Il s’agit d’un seul et même phénomène, généré par la même population, grâce à la passivité, à la naïveté angélique ou à la complicité perverse des autorités françaises – et européennes.
L’État s’humilie devant les émeutiers arabo–africains
La tentative de meurtre de policiers par des voyous et dealers arabes et africains racistes anti–Blancs, gravement brûlés dans leur voiture incendiée, en banlieue parisienne en janvier 2017, a beaucoup moins ému les médias et le ministère de l’Intérieur que l’ ”affaire Théo ”, fin février 2017. Cet Africain, qui s’était violemment rebellé au cours d’un contrôle de police, prenant parti pour des dealers, a prétendu avoir été ”violé” par une intromission anale de matraque. Invraisemblable ; mais les médias, complices, ont suivi cette version délirante. Il semblerait que la ”blessure anale” ait une toute autre cause… (1) Les policiers, accusés de ”racisme”, ont été lourdement sanctionnés et des émeutes avec vandalisme ont éclaté pendant plusieurs jours dans les banlieues et ailleurs, soutenues par les islamo–gauchistes.
Incroyable humiliation : le chef de l’État, le pathétique François Hollande, est allé au chevet dudit Théo, voyou de banlieue, pour négocier avec lui ! Il lui a demandé, suprême soumission, de bien vouloir appeler ses amis des ”cités” au calme. Peine perdue, d’ailleurs. Hollande, méprisant, indifférent, n’était même pas allé au chevet des policiers gravement brûlés par les voyous arabes et africains. Deux poids, deux mesures. Hollande est un homme indigne qui a déshonoré sa fonction et encouragé les émeutiers et envahisseurs.
Il est bien, en version microscopique, le fils de son père en politique, François Mitterrand, le vichyste collabo, toujours du côté de l’occupant, quel qu’il soit, détestant toute forme de ”résistance”, qui a dit que les envahisseurs étaient « chez eux, chez nous ». Et pour tout couronner, le faux martyr, ” Théo”, s’avère être, ainsi que sa famille, un escroc détourneur de subventions publiques. Mais il ne risque rien ; pour la justice partiale, il est devenu sacré et intouchable. Antiracisme oblige.
Multiplication des actes de guérilla
L’attaque de militaires du 1er RCP en patrouille à la machette au Carrousel du Louvre par un Égyptien, Abdullah Reda al–Hamamy, au cri de Allah Akbar le 3 février 2017 relève d’un terrorisme de proximité, imprévisible, cœur de la guerre civile ethnique qui s’annonce. Ce genre d’actes se multiplie. À cela s’ajoute les raids de plus en plus fréquents, mêlant la criminalité crapuleuse et l’agression à caractère anti–français et raciste.
Dans la nuit du 14 au 15 janvier 2017, sept ”jeunes”, tous d’origine maghrébine et africaine, ont perpétré des saccages et des agressions dans un quartier tranquille de Juvisy–sur–Orge (Essonne). Ils étaient armés (sabre, scie, machettes, marteau). Ils ont aussi dévasté l’appartement d’un riverain. Outre une affaire de règlements de comptes entre bandes ethniques rivales, il s’agit d’une de ces razzias de plus en plus fréquentes, gratuites, destinées à terroriser les Français de souche sur leur propre territoire. Ce sont des actes, non pas seulement de délinquance, mais de guerre. Ces sept agresseurs n’ont été condamnés par une justice (laxiste ou complice ?) qu’à des peines de ”travaux d’intérêt général” (des plaisanteries jamais exécutées), à l’obligation d’indemniser les victimes (ce qui ne sera jamais fait) et à de la prison avec sursis. Autant dire : impunité, vous pouvez recommencer.
Les 25 et 26 janvier 2017, à Compiègne, ville royale jadis sans histoires, dans un quartier en proie au trafic de drogue, des policiers ont été encerclés et lapidés et les affrontements ont duré plusieurs heures. Le 26, à Corbeil–Essonne, au cours d’incidents avec toujours la même population (les « jeunes »), un policier a été grièvement blessé. Il ne se passe plus une semaine sans que ce genre d’incidents éclatent.
L’inexorable montée des violences protéiformes de même origine
Il existe une imbrication entre délinquance criminelle et guerre terroriste et/ou émeutière. En France, les homicides (hors attentats islamiques) étaient en hausse de 11% entre 2015 et 2016 ; les violences physiques sont en augmentation constante depuis 2013. Aujourd’hui, 3.000 personnes par jour en sont victimes, avec blessures. En 2014, il y avait 90 détenus pour des faits liés au terrorisme islamique, et 358 fin 2016. Et 16.000 individus sont soupçonnés d’être liés à l’islamisme radical, acteurs potentiels de toute forme d’agressions sanglantes et de terrorisme. Ce chiffre des services de renseignement est sous–estimé car c’est sans compter ceux qui ne sont pas repérés et dont le nombre ne cesse de croître. C‘est un fait gênant (la réalité sociologique est toujours incorrecte et brutale face à l’idéologie) : l’immense majorité des individus impliqués dans des actes criminels et délinquants, dans des émeutes et dans des projets ou actions terroristes sont d’origine arabe ou africaine et sont musulmans. Quant aux Français, surtout dans les classes sociales modestes, tous les sondages indiquent que leur principale préoccupation, avant le chômage, est maintenant leur sécurité face à cette inexorable montée de la violence qui gangrène leur vie quotidienne. Face à un État impuissant et à une justice quasiment complice. Quand se rebelleront–ils ?
La stratégie de la tension
Les incidents graves et affrontements sont presque quotidiens, dans toute la France ; les grands médias les dissimulent ou les minimisent par idéologie ou par habitude ; ces émeutes dépassent la criminalité arabo-musulmane et africaine endémique, et visent les forces de l’ordre. C’est ciblé, calculé, politique, manipulé et encouragé dans l’ombre par les autorités musulmanes qui veulent en découdre. L’immense majorité des policiers et gendarmes tués en opération ou grièvement blessés en France depuis plus de dix ans le furent par qui vous savez…
Embuscades et agressions avec souvent volonté de meurtres contre les policiers et autres représentants de l’autorité, y compris pompiers, se multiplient partout. La portée de ces faits est donc politique et ethnique. S’attaquer aux forces de l’ordre revêt un sens : celui de lancer la guerre civile éthique.
En parallèle se développe évidemment un antisémitisme arabo-musulman, violent et largement impuni, qui provoque le départ vers Israël (alya) ou d’autres destinations de familles juives qui ne se sentent plus en sécurité dans une France qui se laisse envahir. Ces juifs français ont une attitude intuitive et préventive : ils sentent que la guerre civile ethnique se rapproche et qu’ils en seront les premières victimes.
Terroriser la population autochtone
Une de mes correspondantes me rapporte que dans son petit village du Sud de la France, près de Montpellier, jadis tranquille et très agréable à vivre, l’enfer s’est installé. Toute la région est particulièrement envahie par l’immigration arabo–africaine. Des bandes ethniques armées venues d’une ville voisine font régulièrement irruption au cours de razzias, terrorisant la population. L’incursion dure une quinzaine de minutes : saccage du mobilier urbain, bris des vitrines des magasins et des vitres des voitures, destruction des plantes des habitants, etc. Le but est clair : terrifier la population, qui s’enferme chez elle. Fin de la convivialité villageoise dans la sécurité du voisinage, comme jadis. C’est un marquage territorial ; le message est : ”vous n’êtes plus chez vous, on est chez nous, on est les nouveaux maîtres”. Exactement la même technique atavique que celle employée par leurs ancêtres dévastateurs à partir du VIIIe siècle…
Les zones tranquilles où ne résident pas les musulmans maghrébins et africains ne sont plus épargnées comme jadis. Les bandes ethniques y mènent des razzias pour ”casser du flic et du Blanc.” Le soir du 27 janvier 2017 , dans la très bourgeoise et jadis parfaitement tranquille petite ville de Saint-Germain–en–Laye, le poste de la police municipale a été attaqué par onze assaillants encagoulés qui ont défoncé la grille d’entrée et incendié un véhicule. Cette agression est gratuite ; elle n’est motivée par aucun intérêt crapuleux ; c’est un acte d’intimidation et de guerre civile.
Favoritisme ethnique et racisme anti–Blancs
La totalité des agressions (crapuleuses ou terroristes) contre les Français de souche, les chrétiens et les juifs, ainsi que la plupart des faits de criminalité crapuleuse ou violente et de vandalisme sont le fait de la même population qui, par ailleurs, est présentée comme victime de racisme ! Alors que l’État accorde à cette population envahissante tous les privilèges ethniques possibles : mansuétude judiciaire, impunité très fréquente avec peines symboliques, discrimination positive (1) et privilèges dans tous les domaines ; ils sont présentés par l’idéologie dominante comme des victimes alors qu’ils sont des prédateurs favorisés.
Imaginons une seconde que les centaines de morts (les milliers en comptant le 11 septembre 2001) des attentats commis par des musulmans en Europe (France, Espagne, Grande-Bretagne, Belgique, Russie, etc.) et en Amérique du Nord, au nom du djihad islamique, aient été perpétrés contre des musulmans par des non musulmans. Imaginons que des non– musulmans chrétiens aient attaqué des mosquées ou des immigrés musulmans en faisant des milliers de victimes, comme les musulmans le font, un peu partout en Occident et en Orient contre les chrétiens – sans même mentionner les massacres inter-musulmans. Imaginons que des tueurs européens de souche aient attaqué à l’arme à feu une mosquée ou un quartier à majorité immigrée en région parisienne en faisant le même nombre de morts que les Arabes musulmans au Bataclan et ailleurs. Imaginons que des catholiques intégristes ait tué un imam pendant sa prêche, comme des Arabes musulmans ont égorgé le Père Hamel pendant sa messe. Les réactions d’indignation auraient été dix fois plus fortes et des vagues d’émeutes auraient suivi. Deux poids, deux mesures.
Cibles des agresseurs : Noël et la Saint–Sylvestre
Pendant les fêtes de Noël 2016, pour la première fois dans l’histoire de France, il a fallu que des policiers et militaires, fusils au poing, soient postés devant les églises pour dissuader les agressions d’assassins musulmans ! La fête de la Saint–Sylvestre, le 31 décembre 2016, a dû être sécurisée par près de 100.000 policiers et militaires, en armes, sur le territoire français, toute la soirée et la nuit. Le chiffre est énorme. Car aux agressions crapuleuses, aux voitures incendiées, s’ajoute la menace d’attentats islamiques. On remarquera que c’est exactement la même population agressive qui est impliquée dans les deux cas. S’il ne s’agit pas des prémisses d’une guerre civile ethnique, on se demande de quoi il s’agit.
Au lendemain de la Saint–Sylvestre 2016, malgré les mensonges du nouveau ministre de l’Intérieur Bruno Le Roux (le réveillon « s’est particulièrement bien passé, sans problème majeur » a–t–il déclaré) 945 véhicules ont été incendiés – contre 602 l’an passé –et 454 émeutiers ont été interpellés, notamment pour agression envers les forces de l’ordre. Très peu feront de la prison ferme. Quatre morts sont à déplorer, dans l’incendie de leur appartement, ainsi que de nombreuses agressions avec vols contre des personnes ou des commerces. L’immense majorité des agresseurs est de l’origine que vous devinez. À part ça, tout va bien. Si 100.000 policiers et militaires n’avaient pas été mobilisés, que se serai-il passé ?
Il y a quelques décennies – dont beaucoup se souviennent avec nostalgie – aucun policier ou militaire ne surveillait les églises, les fêtes de fin d’année et aucune voiture ne brûlait ! Mais nous étions encore entre nous…
Corrélation entre islam et criminalité, avec même cause anthropologique
L’attaque au camion bélier, pendant un marché de Noël, à Berlin, fin 2016 (même méthode que la tuerie de Nice, le 14 juillet) qui vise un symbole chrétien, fait suite aux viols, agressions et vols à l’arraché contre des jeunes femmes allemandes, massivement commis à Cologne, à la Saint Sylvestre 2015, par des bandes de ”migrants” maghrébins, ces clandestins, faux réfugiés, parasites accueillis à bras ouverts par l’irresponsable Angela Merkel. Cet exemple, qui se répète partout, montre que les deux types d’attaques sont parfaitement liées.
Le djihadisme islamique par attentats terroristes et la délinquance criminelle, crapuleuse et sexuelle, sous des formes violentes ou non, sont largement corrélés. C’est une tradition millénaire dans cette ethno–culture, ce que révèle une étude objective de la genèse de l’islam arabique des origines : la religiosité et la criminalité de razzia (meurtres, vols, viols, pillages, brutalités, conquêtes, piraterie barbaresque) sont étroitement associées. Cet atavisme a évidemment des origines anthropologiques, antérieures à la création de l’islam, ce dernier n’en étant que le produit.
(1) On a photographié ce Théo pendant que François Hollande lui rendait visite à l’hôpital. Il était couché sur le dos. Or, un patient qui a été victime de blessures anales récentes par intromission rectale est toujours couché sur le côté, jamais sur le dos.Source : Blog de Guillaume Faye - J'ai tout compris (site fermé)
(2) Cette ”discrimination positive”, objectivement racisme anti–Blancs, est parfaitement anti–constitutionnelle et contraire à la Déclaration des Droits de l’homme. Pourtant, M. Macron veut l’établir officiellement en France, alors qu’elle est déjà pratiquée discrètement un peu partout. Quant au pitoyable Benoît Hamon, candidat du PS à la présidentielle de 2017, il a déclaré qu’ ” il avait trop de Blancs à Brest”. Si ce n’est pas du racisme, c’est quoi ?
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CELA FAIT PLUS DE 60.ANS QUE TOUS SES GENS DU MAGHREB..ALGERIE.TUNISIE.MAROC.AFRIQUE DU NORD..?ONT ENVAHIE LA FRANCE EN CHIANT DES ENFANTS COMME JE PISSE..?CHEZ EUX AUX MAGHREB..ILS NON PAS LA SECU..ET LA CAF..?LES POLITIQUES MAFIEUX POURRIES DROITE GAUCHE.ENARQUES OU PAS…ON LAISSER LA FRANCE SISLAMISER..?ET VOILA LE RESULTAT EN 2017///2018.??LEURS ENFANTS ASSASSINE LES FRANÇAIS ET CRACHE SUR LA REPUBLIQUE.?CI DANS LEURS PAYS DU MAGHREB TU VAS PRIER DANS LA RUE..ILS TE JETTE EN PRISONS.QUI NE SONT PAS COMME EN FRANCE..DES COLONIES DE VACANCES.?AVEC TICKETS REPAS ET BRANLETTES ..FAIT PAR LA FATMATS.?ET TELEPHONE GRATUIT SANS OUBLIER QUE TOUS SES POLITIQUES DROITE GAUCHE MAFIEUX POURRIES LECHE LE CUL DE TOUS SES ISLAMISTES MUSULMANS..QUI PRIE DANS LES RUE..MEME LES PREFETS BAISSE LE PANTALONS DEVANT LES ISLAMISTES QUI PRIE DANS LES RUES DE FRANCE.?MOI JE SUIS ARMÉS..PM.HUZY.100.MILLES MUNITIONS.GRENADES AUX PHOSPHORE..OU TRONIQUE..BREF….?NOUS DEVONS ETRE PRUDENTS DU FAIT QUE LES ENFANTS DES PARENT QUI ON FAIT LE DJIHAD..VONT REVENIR EN FRANCE..VUS QUILS ON ETE ENTRAINER A TUER.?ET LES POLITIQUE LEURS LAICHERONS LE CULS..VUS.;QUILS NON AUCUNE AUTORITÉ ET NE FONT JAMAIS PREUVE DE FERMETE ENVER TOUS SES GENS..LES TERRORISTES DJIHADISTES ISLAMISTES MUSULMANS.?VOILA OU LA FRANCE EN..ET..EN 2017//2018..?GRACE A TOUS SES POLITIQUES ENARQUES OU PAS MAFIEUX POURRIES GAUCHE DROITE.?ET EN PLUS JE PENSE QUE LE GROS CONNARD DE HOLLANDE QUI NA JAMAIS RIEN FAIT POUR LA FRANCE…FAIT DANS L'HUMANISME EN 2017//2018..AVEC SA FONDATION HOLLANDE QUI UTILISE DAPRES CERTAINS JOURNALISTES DES FOND PUBLIC..COMME TOUJOURS DANS SES KA LA.?BONNE JOURNEE.??
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