Suicides, harcèlement, dépressions, surcharge de travail, explosions de colère, violences, pétage de plombs,..... Un coup de gueule qui risque de pas plaire aux patrons sans scrupules qui exploitent au maximum leurs salariés à la limite du raisonnable quitte à franchir la ligne rouge n'est-ce pas La Poste !
Les patrons qui ont la main lourde sur les salariés mettent la pression au détriment de leur santé et sécurité favorisant les accidents de travail, erreurs, stress et malaises pouvant aboutir à des arrêts maladie en rafale voire démissions ou vague de départs (CDD, intérim,...). Certains n'hésitent pas à aller à l'extrême en faisant du manque de respect total et harcèlement envers leurs salariés. Quand ça pète au sein de l'entreprise, les salariés se mettent spontanément en grève, débrayent ou exercent le droit de retrait car leur santé et sécurité est en jeu.
Aussi, des entreprises n'hésitent pas à bypasser les lois françaises en matière de surveillance pour installer des caméras aux 4 coins du site y compris dans les vestiaires, chiottes et salles de pause pour fliquer le personnel mais aussi, surveillance total du système informatique (emails, internet, logiciels de travail,....). Même si il y pas faute, l'employeur peut virer le salarié sans raison valable qui s'appelle le licenciement abusif passible de prud'hommes.
Le burn-out ou syndrôme d’épuisement professionnel, les dénominations sont nombreuses mais revêtent la même forme. Ce mal être naît au travail. Mais la définition et les symptômes restent encore à définir. A ce jour, plus de 3 millions d’actifs pourraient être touchés par ce syndrome d’épuisement professionnel. Pourtant, le burn-out ne sera pas reconnu comme une maladie professionnelle. Alors, faut-il reconnaître le burn out comme maladie professionnelle ?
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