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31 décembre 2016

A la conquête de l’espace

Revivez de l'intérieur la grande aventure spatiale ! Ingénieux entrelacement de fiction et d'images d'archive inédites récemment levées du secret défense, ce feuilleton passionnant dévoile les dessous confidentiels d'une des plus folles batailles de la guerre froide.

Passez de l'autre côté du miroir de la propagande officielle pour entrer dans les coulisses ultrasecrètes des agences spatiales américaines et soviétiques ! Ou comment, en pleine guerre froide, le rêve le plus fou de l'humanité a été possible grâce a deux brillants, ambitieux et impitoyables ingénieurs : le charismatique Wernher von Braun, ex-ingénieur du régime nazi à l'origine de l'invention des fameux missiles V2, devenu responsable du programme spatial américain, et l'énigmatique Sergei Korolev, prisonnier du goulag libéré par Staline pour prendre la tête des recherches soviétiques dont l'identité restera secrète jusqu'à sa mort. Deux hommes au parcours troublant, interprétés ici par des acteurs criants de vérité, qui se menèrent une terrible bataille à distance pour réaliser leur rêve : voyager dans l'espace.

Grâce à un ingénieux entrelacement de fiction et d'archives américaines et soviétiques inédites venant à peine d'être rendues publiques, cette passionnante série revient sur les moments forts de cette grande bataille spatiale : du premier et émouvant voyage en orbite de Yuri Gagarine au petit pas historique d'Amstrong sur la Lune, en passant par les cuisants échecs – soigneusement dissimulés à l'époque par les gouvernements – où plusieurs scientifiques et astronautes ont perdu vie. Tenant autant du film d'espionnage et de science-fiction que du documentaire, cette série révèle sans jamais déflorer le suspense, ni l'émotion en prise directe sur l'action, les secrets d'une guerre historique et inédite : où là où la fabuleuse conquête de l'espace avait des buts bien moins plaisants : le développement des missiles nucléaires. Là où les stratégies militaires ont paradoxalement permis de faire rêver des milliers de gens.

L'Univers invisible

L'Univers ne serait formé qu'à 4 % d'atomes, le reste relevant d'une mystérieuse "matière noire" échappant aux lois physiques connues. Des témoignages de scientifiques à donner le vertige.

Il n'y a pas si longtemps, les scientifiques expliquaient le fonctionnement de l'univers par l'atome. Tout, disaient-ils (la Terre, les étoiles, les êtres vivants) est constitué d'atomes formés au moment du big bang. Newton et Einstein en avaient identifié les lois fondamentales : gravitation, relativité et vitesse de la lumière. Or, depuis une trentaine d'années, les certitudes se dérobent progressivement, mises à mal par les travaux des astrophysiciens et des cosmologistes. Le monde connu ne formerait en réalité qu'une infime partie de l'univers réel - 4 % tout au plus, estime-t-on. Quid des 96 % "qui manquent" (missing), comme on les a baptisés en anglais ?

Aujourd'hui, les scientifiques supposent l'existence d'une mystérieuse "matière noire" conjuguée à une "énergie noire" tout aussi indéchiffrable. Objet de théories concordantes mais contestées, elles engloutissent chaque année des milliards de dollars de recherches, sans que nul ait encore pu les observer. Pas plus que l'on n'a réussi à identifier la particule hypothétique qui composerait la "matière noire", baptisée neutralino. Ce vertigineux tour d'horizon donne la parole aux représentants des différentes théories en vigueur : Jim Peebles et Jeremiah Ostriker, les vétérans de l'université de Princeton qui, les premiers, ont émis l'hypothèse de la "matière noire", il y a trente ans ; l'astronome britannique Martin Rees, autre spécialiste de la "matière noire" ; Mordechai Millgrom, tenant de la théorie révolutionnaire d'une "gravité variable" ; et le cosmologiste Joao Magueijo, qui soutient l'idée d'une "vitesse variable" de la lumière.

Voyage aux confins de l'Univers

Embarquement pour l'exploration d'un monde où se côtoient les phénomènes les plus violents comme les collisions d'étoiles, des orages d'une dimension inouïe qui se déchaînent sur certaines planètes ou des spectacles les plus majestueux et les plus paisibles comme des nébuleuses.

Le voyage commence sur la Terre puis nous décollons en direction de la Lune, le point le plus éloigné que l'homme n'ait jamais atteint. Nous survolons Vénus et Mercure et nous attardons près du Soleil... Si cela était possible, un voyage en avion durerait vingt ans !

Nous faisons également des étapes sur les autres planètes : Mars, parsemée de volcans énormes : la géante Jupiter entourée de 61 satellites, et Uranus, Neptune et Pluton, les plus éloignées du Soleil. Nous quittons ensuite le système solaire pour partir à la découverte du monde des exoplanètes qui gravitent autour d'une autre toile que le Soleil.

Tout au long du voyage, nous croiseront des sondes toujours en orbitre, comme Cassini ou Voyager, et rencontrerons des comètes, des astéroïdes et surtout les trous noirs, ces phénomènes qui posent encore de nombreuses questions aux astrophysiciens, astres d'une telle densité qu'ils aspirent tout ce qui les entoure, y compris la lumière...

30 décembre 2016

L'aventure spatiale : poussières d'étoiles

Quand une étoile meurt, ses débris et gaz se répandent dans l'Univers. Puis, ces déchets fusionnent avec d'autres et créent ainsi de nouvelles étoiles. Les 90 éléments terrestres, aussi, ont tous été créés à partir de cette matière. Il y a des milliards d'années, en effet, notre système solaire commençait à former d'énormes quantités de poussières et de gaz. De gros morceaux de différentes matières de nombreuses étoiles mortes voyageaient dans les vastes étendues de l'espace et se sont assemblés ici. Puis, le Soleil et la Terre se sont constitués. Les éléments qui sont à la base de tout être vivant ont ainsi été créés dans la chaleur des étoiles mourantes. Cette matière nous est arrivée de tous les millions d'étoiles à travers une distance et un temps inimaginables. Si nous sommes vivants, aujourd'hui, c'est donc grâce à cet héritage légué par l'Univers...

Ce très bon documentaire nous emmène dans la réalité des poussières d'étoiles, dont l'humain et le tout, sont constitués matériellement.

l'histoire de notre univers et de notre généalogie, font parties des mêmes forces qui organisent l’infiniment grand et l’infiniment petit, les cellules de notre corps, comme les gigantesques amas de galaxies.

En partant du Big Bang, le jeu subtil des lois de la nature tire une succession de structures toujours plus délicates et complexes : Particules, atomes, molécules, cellules, êtres vivants..., tous les fruits de la gestation cosmique.

La science moderne ainsi que les grands télescopes, observent la naissance des étoiles au sein des nuages galactiques multicolores, leurs morts lentes ou cataclysmiques, qui sèment dans l'espace les poussières dont sont faites les planètes. La variété surprenante de ces planètes et de leurs satellites nous est révélée par les sondes spatiales.
Puis, notre regard plonge dans l'univers primitif, pour assister dans l'explosion de ses formes, à l'émergence de la vie depuis plusieurs milliards d'années.

La vision de "poussières d'étoiles" d'Hubert Reeves, astrophysicien, auteur..., ne se limite pas aux équations de la physique, elle donne toute sa signification à la grande idée qui émerge de la cosmologie contemporaine. L'unicité de la matière, fait que le moindre de nos atomes a un jour été créé au sein d'une étoile, et qu'il y retournera un jour.

C'est en ce sens que nous humains, sommes tous des poussières d'étoiles, doués de cette faculté mystérieuse qu'est la conscience.

12 décembre 2016

CARTON ROUGE - Pourquoi les bouchons explosent en région parisienne ?

Autoroutes saturées, départementales surchargées, voies sur berge définitivement fermées, vignette auto bientôt obligatoire pour circuler dans la capitale, Sytadin qui affiche des kilomètres de bouchons monstres.... Circuler en voiture en région parisienne devient un parcours du combattant.

Régulièrement, Sytadin affiche au compteur 400 kms de bouchons cumulés en moyenne matin et soir pouvant monter au-delà des 500 kms voire 600 ! Avec l'arrivée de la vignette, les voitures vont contourner la capitale via le périphérique ou les autoroutes pour éviter la prune mais les bouchons vont encore monter et les banlieues vont tousser avec la pollution. La mairie de Paris persiste et signe malgré la colère et la polémique

Quelques exemples de routes où sa sature rapidement ou constamment saturé : Périph, Francilienne, A86, A1, A3, A4, A13, A6, N118, A10, N2, D212, D34, D934,.... la liste des principales routes est longue

Il faudra privilégier le télétravail ou de travailler en horaires décalés afin d'éviter les bouchons parfois records ou de prendre les transports en communs quand il y a pas grève et que toutes les lignes fonctionnent mais quand il y a grève, Sytadin peut afficher 300 km de bouchons à 7 heures !

FLASH du 29 octobre 2020 - Plus de 700 kms de bouchons enregistrés en région parisienne la veille du confinement selon BFM - soit la distance "Paris - Nîmes" par la route - et avec les travaux du Grand Paris et les JO de 2024, les bouchons vont exploser et la barre des 600 kms pourrait être franchie (A1, A86 et périph : à éviter car risque fort de saturation totale aux heures de pointe surtout le secteur du Stade de France)

04 décembre 2016

L'obsolescence programmée et ses conséquences inquiétantes - Produire pour jeter et flinguer la planète !

Lave-linges, ordinateurs, téléviseurs, smartphones, la durée de vie de ces objets du quotidien ne cesse de diminuer. Suivre la mode, les avancées technologiques ou simplement se défaire d'un objet qui ne fonctionne plus (ou s'auto-détruit) et dont la garantie est échue : les raisons sont nombreuses pour changer sans cesse son matériel.

Cela vous est certainement déjà arrivé plus d’une fois : un appareil qui tombe en panne sans raison, juste après le délai de garantie. Dans ces cas-là, on ne peut s’empêcher de pester contre le fabricant. Un mouvement de mauvaise humeur qui peut se transformer en grosse colère si l’appareil en question est impossible à réparer, faute de pouvoir l’ouvrir ou parce qu’il n’y a pas de pièces de rechange !

L'obsolescence programmée et ses conséquences inquiétantes

Lave-linges, ordinateurs, téléviseurs, smartphones... combien de fois ces appareils nous ont-ils lâchés juste après leur date d’expiration de garantie. Et très souvent tout est fait pour que la réparation soit impossible. Du coup, on change presque d’appareils comme de chemise. On appelle cela l'obsolescence induite ou programmée. Un terme qui désigne une stratégie industrielle nous poussant à consommer toujours plus et toujours plus vite en rendant les objets obsolètes par la mode ou la technologie.

Pour tenter d'endiguer cette surconsommation provoquée, certains politiques helvétiques, à l’image d’Adèle Thorens Goumaz, co-présidente Les Verts suisses, demandent des mesures concrètes.

Le cas des appareils numériques

Réservé à une élite, le téléphone portable est devenu un objet de consommation de masse. Aujourd'hui, en Suisse, on en compte plus de 10 millions en fonction pour 8 millions d'habitants. Soit près d'un portable et demi par habitant, bébé compris... En moyenne, on en change tous les 18 mois. Un délai qui risque bien de se raccourcir.

Nouveaux modèles sortant à un rythme effréné, changement de connectique et démultiplication des fonctionnalités ne sont pas les seules armes pour inciter au remplacement d'un appareil. Car lorsque ce dernier s’abîme, la réparation est volontairement rendue difficile. Rares sont les smartphones, baladeurs numériques et autres tablettes tactiles qui s'ouvrent sans un outillage spécial.

Par ailleurs, les conséquences environnemental et social de cette surconsommation sont inquiétantes: l’extraction des métaux nécessaires à nos appareils se fait dans des conditions déplorables; les cadences imposées aux ouvriers qui les fabriquent sont infernales. En Suisse, qui est pourtant le pays champion en matière de recyclage notamment en raison de l’existence d’une taxe anticipée de recyclage (TAR), 20 % des produits électroniques finissent tout de même par des voies détournées dans l’océan des déchets électroniques.

Le bon sens et les nouvelles technologies contre la surconsommation

La surconsommation à laquelle nous poussent le marketing et les stratagèmes conduit à l'épuisement des ressources telles que le lithium, qui compose nos batteries de portables ou d'ordinateur. Sa demande est en train d'exploser. Selon certains spécialistes, au vu des réserves actuellement connues, il en resterait pour un peu plus de dix ans. C'est dire l'urgence à allonger la durée de vie de nos objets pour économiser nos ressources. C'est là que le bon sens et les nouvelles technologies pourraient nous être d'un grand secours: exemples d’une cordonnerie qui bannit la notion d’obsolescence, et d’une imprimante 3D qui permet de re-modeliser un objet cassé.

27 novembre 2016

Hors-la-loi - Entrer en prison

Cette trilogie documentaire suit le parcours complet de six protagonistes mis en cause par la justice, depuis leur interpellation jusqu’à la fin de leur peine.

À leurs côtés tout au long des procédures judiciaires, dans les lieux de police, de justice et de détention, le film propose une expérience singulière qui confronte le spectateur aux réalités concrètes de la mécanique judiciaire.

Ils ont été incarcérés après avoir commis un grave délit, tentative d’homicide, cambriolage ou agression sexuelle. Pour ces six prisonniers se pose alors la question du temps de peine, entre une détention indéfiniment provisoire et les passages par les juridictions d’appel. Le souvenir des faits commis devient de plus en plus lointain et chacun tente désormais de s’adapter à un environnement dans lequel il pourrait bien rester des années.

22 novembre 2016

La non-assistance à personne en danger

Ce document tente de revenir sur les faits précis pour expliquer la passivité des témoins (effet spectateur). S'agit-il d'un simple manque de courage ou d'empathie ? La peur a-t-elle été paralysante ? 

Qu'est-ce qui pousse un individu à venir au secours d'une personne en péril. Face à une agression, le témoin qui demeure passif est traversé par maintes interrogations. 

La journaliste Aurélia Bloch a elle aussi été témoin d'un viol et n'a pas agi. Est-elle coupable de non-assistance à personne en danger ? Pour la première fois, elle relate cette histoire qui la hante depuis des années

15 novembre 2016

En conscience

Depuis la nuit des temps, des individus ont vécu des expériences de mort imminente, des phénomènes d'expansion de conscience, ou encore des sorties hors du corps. Nous sommes allés à la rencontre de quelques-unes de ces personnes qui ont accepté de témoigner : qu'ont-elles vécu ? Qu'ont-elles vu ? En quoi ces expériences étaient bien différentes de simples rêves ou d'hallucinations ?

Nous avons également interrogé des psychiatres, des psychologues en milieu hospitalier, et d'autres spécialistes pour tenter de percer la réalité de ces phénomènes. Que disent ces expériences sur notre conscience et sur la structure de la réalité ? Comment prendre conscience de la véritable nature de notre être ?


13 novembre 2016

Le saut quantique

En physique, un saut quantique est un changement brusque de l'état d'un système quantique de manière pratiquement instantanée. Cette dénomination fait allusion au constat que la nature viole en apparence un principe informel énoncé par Isaac Newton : « natura non facit saltum » (« La nature ne produit pas de bonds » - ou de discontinuités). Cette dénomination s'applique à plusieurs situations.


Quand la France vacille !

A l'occasion de la commémoration des attentats perpétrés le 13 novembre 2015 dans les rues de Paris et au Stade de France à la Plaine-Saint-Denis, ce document livre une histoire non officielle des attentats et ont mené l'enquête et interviennent régulièrement pour éclairer et compléter les informations et les révélations. 

Au-delà des images qui ont profondément marqué tous les Français, ce document raconte, après des mois d'enquête, comment l'Etat a fait face à cette série d'attaques d'une ampleur inédite. Malgré les pressions, des policiers, des membres du RAID et des agents du renseignement ont pris le risque de s'exprimer, sans y être autorisés, devant la caméra.

11 novembre 2016

Au coeur d'une unité d'élite - GIGN et RAID, une vie hors du commun

Avec le RAID et le GIGN, la BRI (Brigade de Recherche et d'Intervention) constitue l'élite des forces de l'ordre en France. Créée au milieu des années 60 pour lutter contre le grand banditisme, cette unité spéciale de la police judiciaire est réputée pour ses enquêtes au long cours et ses techniques de filature.

L'une de ses forces premières : le flagrant délit. Interpeller les criminels au moment des faits, notamment lors de spectaculaires braquages à main armée, a valu à la BRI de nombreux succès. En situation de crise, ou en état d'urgence, les hommes de la BRI sont aussi appelés à intervenir, notamment en cas d'attaques terroristes. Lors de la prise d'otages de l'Hypercacher, c'est le blindé d'assaut de la BRI qui était en première ligne. Et dans le cadre de l'Euro (10 juin-10 juillet 2016), les hommes de la BRI sont d'ores et déjà mobilisés pour cet évènement sous haute tension.

Composée de 360 policiers, répartis dans une quinzaine de brigades en France, la BRI a exceptionnellement ouvert ses portes à Enquête Exclusive. Qui sont ces policiers d'élite ? Comment sont-ils recrutés, sachant que seuls 30 policiers sont sélectionnés par concours chaque année pour rejoindre la brigade ?

Pour la première fois, 3 BRI, celle de Nanterre, Versailles et Strasbourg, nous ont permis de suivre leur travail au quotidien, du début des enquêtes jusqu'aux interpellations en flagrant délit.

Avec la BRI Versailles, c'est une affaire de vols avec violence en bande organisée qui va mobiliser l'unité. Avec eux, nous découvrirons que les criminels sont prêts à tout pour échapper aux forces de l'ordre.

À Strasbourg, et avec le soutien des hommes de la BRI nationale, ce sont les vols par ruse qui occupent les enquêteurs. Leur objectif : démanteler un gang de braqueurs qui se faisait passer pour une unité de faux policiers.

Enfin, nous découvrirons l'autre facette de leur mission, la lutte anti-terroriste. Car aujourd'hui, grâce à l'expérience de ses hommes, la BRI est avec le RAID et le GIGN l'une des trois forces d'interventions prêtes à faire face à tout attentat.


06 novembre 2016

Aux frontieres de l'Univers

Grâce à des images des plus grands télescopes du monde, d'effets visuels et numériques, ce documentaire propose des escales sur les planètes de notre système solaire et explique comment elles sont nées. Ce voyage est aussi l'occasion de côtoyer des étoiles, des comètes, des astéroïdes et des trous noirs. Ce document s'attarde aussi au mystère du big bang. Grâce à cette odyssée intersidérale, découvrez les phénomènes les plus violents de notre galaxie.

19 octobre 2016

EXPLOSIF - Quand les marchés publics dérapent !

L'effet d'une bombe ! Quand les caisses de l'État, des mairies et des ministères sont vides, le service public fait appel au secteur privé à la rescousse pour construire, s’équiper ou sous-traiter. Quitte à passer de dangereux contrats pour nous mettre en danger !

Ce document vous propose de découvrir les coulisses des marchés publics qui permettent à l’Etat de faire appel à des entreprises privées afin de réaliser ses projets. Qu’il s’agisse de constructions ou d’équipement, l’Etat a recours à de nombreux sous-traitants et certains dossiers suscitent des interrogations. Dans le viseur, le grand Stade de Nice dont la construction a été confiée à Vinci va faire l’objet d’une investigation dont les révélations qui pourraient être explosifs.

Un partenariat public / privé


Ce document se penche également sur un contrat record entre le Ministère de la défense et le géant de l’informatique Microsoft qui équipe désormais 200 000 ordinateurs de l’armée française. Un choix coûteux pour les finances publiques et… très périlleux pour la sécurité nationale ainsi que sur l’agence Pôle Emploi qui n’hésite pas à recourir à des sociétés privées payées grassement afin de se décharger de ses fonctions.

Frôlant parfois le conflit d’intérêts et utilisant les finances de l’Etat, les marchés publics sont une association entre le public et le privé qui méritent plus de transparence et certains de ces mariages coûteux pour le contribuable ont de quoi inquiéter les citoyens quant à la répartition des finances publiques destinées à des entreprises privées.



Notre armée ferait mieux de dégager Windows - qui est truffé de logiciels espions et failles de sécurité avec en prime : l'obligation d'utiliser un compte Microsoft - pour passer à Linux tel que Ubuntu avant que la NSA fouille dans nos affaires !


18 octobre 2016

FLASH - Les hôpitaux redoutent un big bang sur le temps de travail et le personnel soignant payé au lance-pierres

Comment résoudre cet insoluble casse-tête, faire tourner les hôpitaux publics à plein régime avec 22 000 personnes en moins d’ici à 2017 ? La question hante les directeurs hospitaliers et affole le personnel soignant. Illustration à Tours, où le passage aux 12 heures oppose équipes de jour et équipes de nuit. En attendant, notre santé vient de prendre un coup dans la gueule !

La journée de douze heures de travail, même à l’hôpital, est dérogatoire et doit être justifiée par les « nécessités du service ». Pourtant, ce régime des douze heures concernent aujourd’hui 11 % du personnel soignant (selon l’ATIH). Les chiffres sont en « constante augmentation », selon un rapport sur le temps de travail dans la fonction publique, coordonné par Philippe Laurent et publié en mai 2016. Les 12 heures quotidiennes posent de manière accrue la question de la pénibilité et de la sécurité des soins à l’hôpital. L’an dernier, le tribunal administratif de Paris a ainsi jugé illégal le passage à la journée de 12 heures au sein du service de réanimation chirurgicale de l’hôpital Tenon, à Paris. Plusieurs études pointent également sa nocivité.

Au CHU de Tours, les syndicats Sud Santé et CGT sont persuadés que le projet est pourtant bel et bien sur les rails pour les services de réanimation, malgré les dénégations de la direction. « Ce sujet n’est pas d’actualité au CHU de Tours, nous n’avons donc pas lieu de communiquer spécifiquement sur ce point », assure le service communication de l’hôpital. Cependant, des groupes de travail existent depuis plusieurs années sur la question de la réorganisation du temps de travail au sein de l'établissement (notamment sous l’impulsion du chef du service de réanimation, favorable à l’idée des 12 heures), dont la réflexion se serait même précisée depuis le printemps et pourrait se concrétiser l’an prochain.

« La direction peut vous dire droit dans les yeux qu’elle n’envisage pas le passage aux 12 heures, parce qu’elle fonctionne toujours de la même manière, reproche Claire Delore, secrétaire du syndicat CGT du CHU. Elle fait en sorte, par ces groupes de travail, et en laissant prospérer les non-remplacements et la désorganisation du travail, que ce soit à la demande des agents. » À Toulouse, la CGT avait déjà dénoncé une forme de participation pipée sur les cadences, inspirée selon elle des techniques du lean-management. « Une forme de piège se ferme sur les agents qui se laissent convaincre : ils ont une autonomie, mais dans un cadre tellement contraint qu’ils rognent eux-mêmes sur la sécurité, leur repos, la qualité et le prendre soin dans le cas de l’hôpital pour tenir les cadences. »

De quoi s’agit-il concrètement ? Actuellement, au CHU de Tours, trois services sont passés aux 12 heures et ce depuis fort longtemps, au nom de cette fameuse continuité de service : la maternité, la sécurité incendie ainsi que le SAMU. Les autres agents continuent de faire des journées de 7 heures 30 ou de 10 heures, selon les services. Selon la réflexion engagée, il s’agirait de faire passer la réanimation médicale, puis l’ensemble des services de réanimation (au total une centaine de personnes) aux 12 heures de travail continu.

Ce système a des adeptes, rappelle le rapport de Philippe Laurent sur le temps de travail dans la fonction publique évoqué plus haut : « Cet horaire ne génère pas de jours de RTT mais permet aux agents de remplir leurs obligations hebdomadaires en travaillant trois jours par semaine en moyenne ; il est plébiscité par les agents car il permet de réduire les temps de trajet, d’avoir de vrais temps de repos et des journées de travail moins compactes. Pour les établissements, il permettrait des gains en personnel. »

Les médecins y sont également souvent favorables, car les 12 heures en continu collent bien mieux avec leurs propres pratiques professionnelles. À titre d’exemple, la saisissante mobilisation à l'hôpital de Dreux, cette année: en 2005, une vingtaine de services étaient passés, au forceps, aux 12 heures. Lorsque, cette année, la direction a souhaité revenir à 7 heures quotidiennes, elle a dû affronter la fronde du personnel, attachée à son nouveau rythme.

À Tours, les équipes de jour sont elles aussi plutôt partantes pour les journées de 12 heures, pour les raisons invoquées plus haut. En ce qui concerne les équipes de nuit, c’est une autre histoire. La grande majorité des agents sont vent debout, assurent Sud Santé et la CGT. « Lorsque, la nuit, on exerce, pendant dix heures, un métier technique comme la réanimation, on est très fatigué, raconte un infirmier, non syndiqué. Avec deux heures de plus, il y a déjà un risque d’accident. Et si je fais 12 heures la nuit, et que je dors 6 heures en rentrant chez moi, qu’est-ce qu’il me reste pour ma famille et ma vie sociale ? » « Les agents les plus motivés sont souvent les jeunes, qui n’ont pas d’enfants, souligne Damien Seguin, responsable Sud Santé à Tours. Mais cette opposition crée une vraie tension dans le service, c’est un sujet tabou. »

Face à ces différences d’analyse, l’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents (INRS) a lancé une mission sur le sujet et tenté de synthétiser l’ensemble des travaux français et anglo-saxons sur les douze heures. Ses conclusions sont sans appel : la journée de 12 heures ne devrait être adoptée que dans les cas « d’absolue nécessité ».

L’INRS liste les troubles qui y seraient associés. « Les effets secondaires les plus documentés de ces postes longs comparés aux postes de 8 heures sont la prise de poids, l’augmentation des erreurs, d’accidents du travail et de trajet, des conduites addictives, des troubles musculos-quelettiques (TMS) et des pathologies du dos. » L’institut sabre également l’argument de la conciliation vie privée-vie professionnelle, en particulier pour les travailleurs de nuit. « Les salariés exposés
 à ces horaires atypiques doivent réaliser un arbitrage entre leur santé et leur disponibilité familiale, et ceci fréquemment au détriment de leur santé. »

Cette étude, tout comme la décision du tribunal administratif de Paris qui a jugé le passage aux 12 heures illégal pour le service de réanimation chirurgicale de l’hôpital Tenon, est à lire également comme une analyse plus générale de l’organisation du travail au mois et à l’année, avec le dépassement prévisible du plafond hebdomadaire autorisé (48 heures par semaine).

Au CHU de Rennes, les services de réanimation adulte puis enfant sont passés aux 12 heures en 2011. Il y a deux ans, ce sont les agents des urgences qui ont à leur tour augmenté la cadence quotidienne. Pour un résultat « très mitigé », explique Marie-Claude Rouaux, secrétaire du syndicat CGT du CHU. « On avait fait miroiter aux agents, en plus des commodités personnelles, un dimanche travaillé en moins. Mais récemment, la direction a demandé une refonte des plannings pour ne pas dépasser les 48 heures par semaine. Or, c’était à ce prix qu’ils avaient gagné un dimanche de repos. »

Pour la militante CGT, le débat sur les journées de douze heures est l’arbre qui masque la forêt. « Nous travaillons en total sous-effectif, lié au fait qu’on remplace de moins en moins les absences à l’hôpital. À la place, la DRH[Direction des ressources humaines] fait revenir les gens. Mais si on peut le faire avec du personnel en 7 heures 30, c’est impossible en 12 heures. Ou alors, on serait totalement en dehors des clous réglementaires. »

« Renoncer à 22 000 postes supplémentaires »

À Tours, c’est également la perspective d'un projet plus global qui inquiète les syndicats. Une contribution, préparée en janvier 2016 par la commission nationale des directeurs des ressources humaines (DRH) et coordonnateurs généraux des soins (CGS) de CHU, a été remise lors de la rédaction du rapport sur le temps de travail dans la fonction publique, commandé par le premier ministre à Philippe Laurent. La présidente de cette commission est bien connue des soignants tourangeaux, puisqu’il s’agit de Marie-Noëlle Gérain-Breuzard, directrice générale du CHU de Tours.

Dans cette contribution, que Mediapart a pu consulter, les recettes pour mettre fin au flou juridique qui entoure notamment les 12 heures et améliorer la performance des hôpitaux sont assez drastiques. Sur le travail journalier, « les évolutions structurelles des établissements de santé justifient désormais régulièrement la mise en place de modèles en 12 heures et en 10 heures ». Et pour ne plus avoir affaire au veto du tribunal administratif, la commission propose donc de passer à 12 heures en tant que durée quotidienne de référence de travail, après un simple « avis » des instances représentatives du personnel. Le temps de repos minimal obligatoire entre deux périodes de travail (actuellement de 11 heures) pourrait descendre à 9 heures, toujours pour assurer « la continuité du service public ».

Plus loin, la commission souhaite également en finir avec les « cycles de travail et les règles de planification actuels, pour ne pas limiter l’imagination organisationnelle dans la construction des plannings ». Actuellement, un grand nombre de soignants travaille en cycle (qui peut s’étaler sur plusieurs semaines, sans être fondé sur un rythme semaine/week-end classique). Ce cycle ne peut pas se poursuivre au-delà de 12 semaines, mais la commission veut faire sauter purement et simplement « cette borne ». Dans le même genre, l’agent ne peut pas aller aujourd'hui au-delà de 44 heures par semaine, il pourrait passer à 46 heures.

Forcément, un tel plan d’attaque, qui va jusqu’à sortir le temps d’habillage et de déshabillage du temps de travail et ouvrir plus largement le recours aux astreintes, a fait grincer des dents. Même s'il s'agit pour le moment d'une simple « contribution ». Damien Seguin, chez Sud, s'alarme d'un projet de « loi El Khomri appliquée à la fonction publique hospitalière, ni plus ni moins ». Lors du mouvement contre la loi sur le travail portée par la ministre au printemps, un certain nombre de soignants, interrogés dans les cortèges, faisaient effectivement leur cette inquiétude. « Il faut replacer le contexte, insiste Claire Delore, de la CGT. La fonction publique hospitalière doit renoncer à 22 000 postes supplémentaires. À Nantes, début octobre, les DRH de la fonction publique hospitalière se sont réunis et ils ont admis qu’une refonte était en train d’être réfléchie. »

À cette occasion, les DRH de la fonction publique hospitalière ont déclaré, selon le baromètre de la fonction publique hospitalière, que « la maîtrise de la masse salariale était le premier sujet de mobilisation pour 80 % d'entre eux, un taux bien supérieur au secteur privé », précise l’étude. Derrière, vient « l’organisation du temps de travail », pour 48 % des sondés.

Le passage des hôpitaux publics en groupement hospitalier de territoires (GHT), en juillet dernier, a déjà sonné comme une alarme pour les syndicats. « Marisol Touraine nous avait prévenus que rien ne serait comme avant avec sa loi Santé, et sa conseillère avait aussi admis que les GHT constituaient un levier pour une fonte de la masse salariale, rappelle Claire Delore. Mais les hôpitaux sont déjà au bout du rouleau ! Quand j’entends qu’on organise en parallèle des colloques et des tables rondes sur la souffrance et le stress au travail, ça me met hors de moi. »

Sa collègue cégétiste à Rennes est du même avis : « Chaque semaine, chez nous, le directeur du personnel du CHU fait le point avec le directeur des soins et les cadres de santé sur les absences. Ils ne remplacent les agents que quand “le seuil de tolérance est atteint”. Ce sont leurs termes. Ça devient vraiment insupportable pour le personnel, on vit des situations dramatiques. »


Source : Mediapart

15 octobre 2016

L'Univers et ses mystères - Entre science et fiction

Une nouvelle génération de physiciens travaille dur pour réécrire les lois cosmiques. En effet, ce qui semblait futuriste il y a encore quelques années devient de plus en plus proche de la réalité. Grâce à leurs découvertes, le réel pourrait bien s'avérer plus fort que la fiction !

11 octobre 2016

CARTON ROUGE - Smartphones explosifs, à qui la faute ?

Clap de fin pour le Galaxy Note 7. En effet, Samsung a pris la décision d'arrêter la production de ces smartphones en raison du risque fort d'explosion de la batterie. L'action en bourse plonge et les utilisateurs sont priés de rapporter leurs appareils pour se faire rembourser. Ce fiasco high-tech servira de leçon à Samsung !

Carton rouge bien mérité pour Samsung pour mise en danger de la vie d'autrui avec ses bombes vendues. C'est beau la high-tech explosive, n'est-ce pas ?

Selon des sources, des propriétaires de véhicules on vu leurs bagnoles flamber et certains ont failli mettre le feu à leurs baraques pendant le rechargement de la batterie. Les smartphones peuvent vous péter à la gueule et ceci vient d'arriver : un enfant a vu son smartphone partir en fumée avant d'exploser dans ses mains.
Mais Samsung n'est pas le seul constructeur dont les produits explosent parfois. C'est arrivé à Sony sur des ordinateurs VAIO en 2014, à Dell qui en a rappelé 4 millions en 2006, à des vélos électriques, et même aux Boeing 787 Dreamliner. Cet été, ce sont 500 000 hoverboards de toutes marques qui ont été rappelés à cause de leur batterie lithium-ion. Apple aussi, a des iPhone explosifs.
Sur la vidéo, qui est virale, la serveuse tente de dégager le smartphone en feu du restaurant malgré ses gants anti-brûlures



Putain, c'est de la bombe ce smartphone !

Des incidents signalés au niveau de la batterie du nouveau smartphone de Samsung ont flingué les espoirs de la firme coréenne et l'action en bourse a dévissé suite aux témoignages et vidéos qui ont fait le tour du monde. En effet, les smartphones en question s'auto-détruisent !



Le feu aux fesses ! Une fois de plus, son smartphone s'auto-détruit dans la poche de son froc...



La fin de l'été 2016 est marqué par plusieurs explosions du Samsung Galaxy Note 7, mais comment un smartphone peut exploser ? Quel téléphone peut exploser ? Au mieux, vous savez probablement déjà que la partie la plus dangereuse d'un téléphone est la batterie, mais nous allons voir en détail comment ces cas pourraient survenir et aussi ce que les mesures de sécurité doivent être prises.

- Comment la batterie d'un smartphone peut-il exploser ?

Les batteries que nos smartphones utilisent actuellement (et la majorité des appareils aussi) et contiennent des composants inflammables. Ils sont des batteries au lithium, à la fois Li-ion et Li-Po. Toutes les batteries ont une cathode et une anode (positive et négative), une substance qui réduit et donne des électrons et un autre qui oxydent et les recueille. Ce transfert est utilisé pour fournir de l'énergie au smartphone.

Dans toutes les batteries, la cathode et l'anode sont séparées par une membrane. Si la cathode et l'anode se touchent alors qu'ils réagissent chimiquement et, dans le cas de batteries au lithium qui est une réaction très rapide. Il ne constitue pas une explosion, mais plutôt une combustion très rapide. Heureusement, la batterie n'a pas suffisamment de carburant pour exploser violemment mais il causera des dommages à quoi que ce soit dans un rayon proche de 1 mètre.



Les batteries ont trois couches (cathode et anode) de membrane enroulée plusieurs fois sur eux-mêmes d'une manière telle que la cathode et l'anode ne se touchent jamais. Le problème se pose lorsque la membrane qui les sépare ou se dégrade ce qui est bien pire, quand il devient défectueux à la sortie d'usine comme dans le cas du Galaxy Note 7.
Si la membrane qui sépare la cathode et l'anode de la batterie se détériore, deux d'entre eux entreront en contact et la batterie va brûler voire exploser
Toutes les batteries au lithium ont un circuit de contrôle de température. Si la température de la batterie dépasse un certain seuil, le circuit bloque la charge. Les températures élevées nuisent à la membrane et, dès que cela permet à la cathode et l'anode de se toucher et de commencer la combustion.



- Quel smartphone peut s'enflammer ?

Nos smartphones semblent être des objets inoffensifs, mais il y a danger latent à l'intérieur. En général, les cas de combustion du smartphone ne sont qu'une poignée, comptés par dizaines, alors que 1.400 millions d'appareils sont vendus chaque année. Donc, la probabilité qu'un smartphone en flammes est extrêmement faible, presque le même que d'être frappé par la foudre.

Alors, sommes-nous en danger ? Il est clair que non. Mais il est vrai que cela peut arriver, cependant, en général, des contrôles de qualité assurent que les batteries sont en sécurité.

Si un fabricant détecte qu'une série de leurs batteries a quelque défaut de production, il va retirer immédiatement les appareils. Tout comme Samsung a cessé la distribution et retiré les Galaxy Note 7 défectueux.

Quoi qu'il en soit, il est toujours bon de garder un oeil sur nos batteries. Nous devons veiller à ce qu'ils ne dépassent jamais 60 degrés. Si elle commence à gonfler ou se déformer doit être changé immédiatement. Et ce qui ne doit jamais être fait est de les percer avec un objet pointu, comme indiqué dans la vidéo ci-dessus.

Dans des cas comme le Galaxy Note 7 dans lequel le fabricant reconnaît l'erreur et ordonne à tout les utilisateurs de rapporter leurs appareils, de cesser immédiatement d'utiliser l'appareil, ne pas le charger à nouveau et suivre le protocole que le fabricant dispose.

Flash du 7 novembre 2016 : Selon le Figaro, un smartphone Samsung J5 fume noir et explose dans les mains d'un enfant et la famille porte plainte pour mise en danger de la vie d'autrui. Cependant, Samsung rappelle les lave-linges en raison de risques d'explosions et l'environnement risque de prendre un sacrée coup dans la gueule !

Article traduit sur AP

14 septembre 2016

Industrie agro-alimentaire : business contre santé - Faut-il devenir végétarien ?

Ce document révèle dans cette nouvelle enquête les recettes inavouables des géants de l’agroalimentaire. Pourquoi le jambon est-il rose ? Pourquoi croyons-nous qu’il est si bon pour nos enfants ? Pourquoi les étiquettes des produits sont-elles incompréhensibles ?

De la Bretagne au Danemark en passant par la Californie et le Wisconsin, pendant un an, Sandrine Rigaud a avalé les kilomètres, en avion, en voiture et même en Caddie pour dévoiler comment ces mastodontes de l’assiette ralentissent ou orientent les décisions de santé publique. Le secteur de l'industrie agroalimentaire pèse 170 milliards d’euros de chiffre d’affaires par an. Rien qu'en France ! C’est dire si cette industrie a du poids, des réseaux et de l’influence…


Des révélations sur les guerres secrètes de l'industrie agroalimentaire

Pour lutter contre le fléau de l’obésité, le gouvernement français veut par exemple simplifier et rendre plus lisibles les étiquettes des produits alimentaires. Ce document met au jour les méthodes des industriels pour torpiller ce projet. Cette guerre, où tous les coups sont permis, se livre partout dans le monde. Dans le viseur de l’industrie : les politiques mais aussi les chercheurs. Les géants de l’agroalimentaire n’hésitent pas à payer des scientifiques pour défendre leurs intérêts.

Et quand l’argent ne suffit pas, les méthodes sont plus brutales. Manipulés ou décrédibilisés, des chercheurs français ou américains en ont été les victimes. Leur tort : avoir réalisé des études qui pointaient les dangers d’un produit pour la santé des consommateurs. Si vous aimez les enquêtes de "Cash Investigation" dans le monde merveilleux des affaires, vous allez adorer celle-ci, avec ses révélations sur les guerres secrètes de l'industrie agroalimentaire…


07 septembre 2016

Système solaire, l'incroyable histoire

La nature même de notre Terre est un véritable miracle, et ce qui reste encore l´un des plus grands mystères de l´astronomie commence, peu à peu, à se dévoiler... C´est un fait : grâce à des preuves venues de planètes extérieures à notre système solaire, les astronomes écrivent une nouvelle histoire de notre univers, un véritable conte infernal, rythmé par le chaos et le tumulte... Car le chemin fut long et mouvementé pour que nos planètes se stabilisent à la place qu´elles occupent aujourd´hui dans l´environnement de notre Terre, permettant à la vie d´y éclore.

06 septembre 2016

L'Univers et ses mystères - Quand l'espace façonne l'histoire du monde

A de nombreuses reprises, des objets venus de l'espace ont changé le cours de l'Histoire sur Terre. Ainsi, certains pensent qu'un astéroïde pourrait avoir joué un rôle dans la chute de l'Empire romain au Ve siècle. Quelques millénaires plus tôt, un autre pourrait avoir été responsable de la disparition des villes de Sodome et Gomorrhe, détruites par « le soufre et le feu » selon la Bible. Le document revient sur quelques exemples, mettant les différentes théories à l'épreuve de la science.

Plusieurs scientifiques vont tenter de nous démontrer l'influence de l'univers pour l'évolution de notre planète et notre histoire. Pour ces experts, notre passé est étroitement lié à ce qui se passe dans l'espace.

Tout le monde connaît l'histoire du déluge biblique, on relate qu'il a plu pendant 40 jours et 40 nuits créant une catastrophe planétaire qui aurait décimé une grande partie des espèces vivantes sur terre à cette époque. Jusque là, on pensait plus à une légende religieuse, mais pour certains, cela s'est véritablement produit. En effet, pour des scientifiques, il est possible que cette tragédie ait été le résultat d'une chute d'une comète gigantesque.

Pour savoir si cette hypothèse est possible, un archéologue travaille pour un petit groupe d'experts tous partisans de cette dernière. Ceux-ci pensent que les impacts cosmiques ont été beaucoup plus fréquents que l'on pense et qu'ils auraient façonnés le monde tel que nous le connaissons aujourd'hui. Ces experts partent d'une légende ou d'un fait historique et enquêtent sur le terrain pour apprendre la vérité sur les causes.

05 septembre 2016

FLASH - Les 6 étapes jusqu’à la guerre civile totale en France


L’attentat de Nice ne nous a selon moi pas encore fait passer à un nouveau stade de la guerre civile. Depuis le 11 septembre 2001 il y a eu deux étapes de franchies, et j’essaie dans cet article de me projeter dans celles qui nous attendent, afin de permettre à chacun d’anticiper.

Sommes-nous en guerre civile ? Oui, mais de basse intensité. Ses manifestations les plus communes sont le racisme, l’intolérance religieuse, le communautarisme et exceptionnellement l’attentat. Plus l’islamisation de la France s’accentuera et plus les attentats se multiplieront, et plus l’intensité de la guerre civile augmentera, pour parvenir à son maximum, comme en Algérie dans les années 90.
  • L’étape n°1
Elle a été franchie le 11 septembre 2001, quand les deux avions ont percuté les tours du World Trade Center. Pour la première fois en France et en occident, les non-musulmans et les musulmans se sont considérés comme ennemis potentiels dans le même pays. Mais jusqu’en 2015 cette situation a peu évolué, à part dans les villes qui s’islamisaient fortement, et d’où les populations non-musulmanes fuyaient pour éviter la guerre civile, précisément.
  • L’étape n°2
Elle a été franchie le 7 janvier 2015 avec l’attentat de Charlie Hebdo et de l’Hyper casher. La réaction mondiale à cet attentat prouve que nous venions de passer un cap. 4 millions de personnes dans les rues, dont les principaux chefs de gouvernement d’Occident et d’ailleurs, défilaient en solidarité avec les victimes. Des journalistes, des caricaturistes et des juifs avaient été froidement abattus pour avoir osé critiquer l’islam, ou pour avoir osé être juif. La tension montait donc d’un cran, et ce double attentat en annonçait d’autres, jusqu’à celui de Nice et peut-être encore quelques uns.

On sent ces jours-ci sur les réseaux sociaux que l’attentat de Nice a beaucoup remué les Français, y compris certains qui, même après le Bataclan, continuaient de dire partout « pas d’amalgame » et « sus à l’islamophobie ». Mais on reste dans un état d’esprit rationnel, constructif, relativement contrôlé et mesuré.

Tant que nous restons dans l’étape n°2, donc d’une guerre civile de basse intensité, la vie suit malgré tout son cours pour la plupart des Français, mis à part évidemment ceux qui ont été directement touchés par les attentats, mais qui restent une poignée comparée à la population dans son ensemble. Quelques milliers de personnes tout au plus. C’est dramatique et cela coûte cher à la communauté nationale, mais cela reste gérable.
  • L’étape n°3

Elle est franchie quand l’accumulation d’attentats, ou un attentat particulièrement violent ou sanglant a lieu et constitue une goutte d’eau qui fait déborder le vase. Je pense par exemple à des attentats qui toucheraient des écoles, des crèches, ou des colonies de vacances, bref, majoritairement des enfants. Pas besoin de milliers de morts, un nombre similaire au Bataclan ou à Nice suffirait à plonger le pays tout entier, et une bonne partie de l’Occident, dans l’étape n°3.

Cette étape voit la rationalité habituelle disparaître pour laisser la place à un sentiment de panique, qui permet encore de vivre mais plus comme avant. Il y a un avant et un après. S’il s’est agi d’enfants, vous ne pouvez vous empêcher de penser aux vôtres, et de vous inquiéter quand ils sont à l’école, ou en colonie, etc. La sécurité devient la priorité absolue du pays, bien avant l’économie ou le social. Nous passons en guerre civile d’intensité moyenne.

Les comptes qui sont demandés aux politiques sont également différents de ceux de l’étape n°2 que nous connaissons actuellement. Des manifestations monstres appelant à la démission du gouvernement s’organisent spontanément, des heurts s’y font connaître, une violence encore inconnue émerge, y compris de la part d’individus qui ne se doutaient pas eux-mêmes qu’ils en étaient capables. Mais la pression et le stress aidant, il révèle une énergie et une force inattendue, la fameuse furia francese, qui se révèle quand les Français sont dos au mur.

En réaction, le politique est obligé de prendre des mesures plus courageuses, moins politiquement correctes, et visant à réellement lutter contre la menace qui commence à peser sérieusement sur tout le peuple. Et s’il ne le fait pas, des fusibles sautent, car la pression populaire devient trop forte.

  • L’étape n°4
Elle est franchie quand le camp des victimes, les civils non-musulmans, commencent à réagir sur le même mode opératoire que les terroristes. Quand un Breivik français ira faire un carton dans une mosquée ou ailleurs, nous aurons franchi cette nouvelle étape, un nouveau cran au-dessus, un cliquet qui s’enclenche et qui change à nouveau la donne.

Au niveau 4 de la guerre civile, les pouvoirs publics ne maîtrisent quasiment plus les règlements de comptes entre communautés, qui ont lieu de plus en plus fréquemment, comme entre gangs ou entre mafias. Chaque camp veut venger ses morts, et l’escalade est alors inévitable. D’autres pays commencent à s’en mêler, d’un côté comme de l’autre, et financent des armes, des milices privées, ou d’autres moyens requis dans une guerre conventionnelle.

Personne n’est sûr de revenir sain et sauf quand il part travailler le matin, les bombes explosent un peu partout sur le territoire, tout le monde est dépassé par les événements, les morts et les traumatismes se multiplient. Le pays se ferme progressivement aux touristes, aux investissements étrangers, et les habitants sont de plus en plus nombreux à vouloir le quitter pour rejoindre des terres plus vivables. L’économie tourne au ralenti, la crise économique est profonde et durable, le chômage endémique. L’Etat ne peut plus payer une partie des allocations, subventions, et retraites, ce qui met encore plus d’huile sur le feu.

Les gens se font justice eux-mêmes, des milices privées se montent, le trafic des armes ne concerne plus que les caïds de cité mais également des pères de famille cherchant à protéger leur progéniture. La pression est mise sur le gouvernement pour qu’il vote une loi autorisant la liberté de s’armer. S’il refuse, des élus sont ciblés jusqu’à ce que le gouvernement change ou passe la loi qui devient impérative.

Les camps sont désormais bien clairs : le gouvernement et ses bras armés (police, justice, armée) ; les musulmans et leurs idiots utiles ; l’extrême-gauche qui tente de profiter de l’anarchie ; et les patriotes (y compris des membres de l’armée, de la police et de la gendarmerie qui les ont rejoints). La guerre civile devient une guerre raciale et religieuse, tout le monde devient une cible et un bourreau potentiel.
  • L’étape n°5 - Quand le gouvernement français sera échec et mat !
Elle est franchie quand une nouvelle goutte d’eau fait déborder un vase déjà plein. Il peut s’agir d’un attentat particulièrement spectaculaire, à l’instar du 11 septembre 2001, ou utilisant des moyens particulièrement massifs, comme l’arme bactériologique ou nucléaire (soit qu’on l’utilise contre des cibles, soit qu’on cible une centrale nucléaire française).

Ce ne sont plus des milliers de gens qui sont directement touchés par les attentats, mais des centaines de milliers, voire des millions. Une centrale nucléaire qui pète, ou une nappe phréatique empoisonnée, ou du gaz sarin dans le métro comme à Tokyo il y a quelques dizaines d’années, etc. Il existe hélas des centaines de possibilités, peut-être plus, ce qui rend le travail de nos services de défense et de renseignement quasiment impossible.

A cette étape n°5, le gouvernement saute, un coup d’Etat militaire a lieu et un régime autoritaire prend les choses en main, afin de tenter de rétablir le calme et la sécurité. Il prend des mesures drastiques, impliquant des déportations de masse, les fichés S, voire les musulmans ayant un casier judiciaire, etc. L’islam est déclaré interdit de pratique sur le territoire, et les musulmans « modérés » invités à quitter le territoire pour rejoindre un pays musulman. Beaucoup ont déjà quitté le territoire de toute façon, fuyant la guerre civile.

Les frontières du pays sont totalement fermées pour éviter les hémorragies de population vers l’étranger. Impossible de partir en avion ou en bateau, tout est sous le contrôle de l’armée. L’économie tourne quasiment à vide, les gens restent souvent cloîtrés chez eux de peur d’être pris pour des cibles. On se barricade, on fait confiance à l’armée, dans laquelle on s’engage comme réserviste quand on peut.

Du côté musulman la guerre est totale, on se sert des représailles du régime militaire contre l’islam pour recruter massivement des musulmans dans les rangs de l’organisation la plus extrémiste, et on vise les objectifs stratégiques pour faire plier le pays tout entier. Les agents encore dormants se réveillent pour mener le début de l’assaut final.

Il est possible qu’à cette étape-là, l’Etat islamique ait pu négocier avec le gouvernement (avant que celui-ci ne soit renversé par les militaires) une ou plusieurs enclaves islamiques, en Seine-St-Denis, à Venissieux et/ou dans les quartiers nord de Marseille, voire à Tourcoing ou à Nice justement. A partir de ces mini-états, où ne résident plus que des musulmans acquis à leur cause, ils peuvent tenter de construire la riposte aux attaques de l’armée.

Le pays est naturellement invivable, tous les biens immobiliers ont vu leur valeur s’effondrer en quelques années, et l’économie avec. La France n’est plus que le Liban des années 80, ou la Syrie actuelle. On survit tant bien que mal, on souffre en attendant que ça passe, et on se débrouille avec les moyens du bord. On réalise, mais un peu tard, que des mesures préventives pour éviter l’islam de grandir dans le pays, auraient coûté beaucoup moins cher, financièrement et en litres de sang versés.

Une coalition internationale est créée pour venir en aide à la France et tenter de la libérer du joug musulman. Mais il est probable que la situation soit assez similaire dans les autres pays de la coalition occidentale. Donc la priorité de chaque pays consiste à gérer d’abord sa propre guerre civile, avant de penser à pouvoir venir sauver le voisin ou la France.
  • L’étape n°6
Elle est atteinte quand la coalition internationale parvient à décider que l’islam est incompatible avec l’occident, et que tout musulman doit partir de gré ou de force d’occident, pour aller vivre en terre d’islam.

Les déportations et départs plus ou moins volontaires se chiffrent par millions de personnes, comme le million de pieds-noirs qui ont quitté l’Algérie, ou les millions de Pakistanais qui ont dû quitter l’Inde après la guerre qui a vu la création du Pakistan puis du Bangladesh.

Après d’immenses souffrances des deux côtés, et des séquelles irréversibles, notamment des monuments historiques entièrement détruits, des villes entières rasées ou irradiées, le monde est divisé entre monde musulman et monde non-musulman, un nouveau mur est construit entre les deux mondes, et chacun tente de vivre dans ce nouveau monde séparé en deux.

Source : E&D (2016)

04 juillet 2016

Les derniers jours de l'homme

À travers dix scénarios d'apocalypse, une enquête scientifique sur les menaces les plus sérieuses qui pèsent sur l'avenir de l'humanité.

Expériences physiques, catastrophe climatique, holocauste nucléaire, intelligence artificielle ou biologie de synthèse : l'homme, éternel apprenti sorcier, a lui-même créé certains des dangers qui le menacent.

Les jours de l'homme sont-ils comptés ? L'humanité approche-t-elle de la fin, quand 99,9 % des espèces ayant peuplé la planète – dinosaures, mammouths ou hommes de Néandertal… – ont déjà disparu à jamais ? Pour certains chercheurs, grâce à la colonisation spatiale ou à la croissance exponentielle de ses populations, l'homme a acquis une immunité face aux risques d'extinction. Pour d'autres, le siècle en cours sera crucial, quant à ses capacités de survie. À partir de dix scénarios catastrophes, ce film explore, avec des scientifiques de renom, les désastres à même d'anéantir l'espèce humaine. Et si des cataclysmes possibles sont souvent évoqués, d'autres, pourtant plus probables, sont moins connus.


VIDEO 1 - VIDEO 2

23 juin 2016

FLASH - Quand le patron de la DGSI évoque un risque de guerre civile !

Patrick Calvar a récemment dressé ce constat devant des parlementaires. Enquête sur une menace que chaque attentat rend plus présente.

Le diagnostic n'est pas établi par une poignée d'illuminés en mal de scénarios catastrophe mais par le patron de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), Patrick Calvar. «Nous sommes au bord d'une guerre civile», a-t-il déclaré récemment aux députés de la commission d'enquête parlementaire sur les attentats du 13 Novembre présidée par le député (LR) du Rhône Georges Fenech. L'homme à la tête des services secrets ne faisait qu'enfoncer le clou.


Source : Le Figaro

05 juin 2016

CARTON ROUGE - Quand la pub rend sourd !

Putain c'est fort, beaucoup trop fort. La coupure publicitaire en plein film vous fait sursauter sur votre canapé et de sauter sur votre télécommande de votre télé pour baisser le son. Bien que le CSA a interdit aux chaînes de télé et radios de monter le volume sonore pendant la publicité mais avec l'utilisation de compresseurs-limiteurs au sein des me(r)dias, le niveau sonore est quand même élevé jusqu'à nous casser les oreilles. Autrement dit, la publicité gueule selon Blueman !

En réalité, techniquement, le son n'est pas plus fort pendant les publicités. C'est sa compression qui diffère. La compression dynamique permet en effet de grossir le son avec un volume constant. Résultat, le son paraît beaucoup plus fort pour les téléspectateurs qui sont ainsi censés être plus attentifs aux messages publicitaires. Autrement dit, nous faire l'avaler et nous casser les oreilles. L'écart de volume entre un film et la publicité peut monter entre 6 db et 10 db en moyenne (mesures au sonomètre)

Certaines TV peuvent baisser automatiquement le volume à un certain niveau (option genre Sound Auto Level à activer dans le menu de votre télé). Mieux encore, c'est de couper le son ou de changer de chaîne pendant que la pub passe.



2008 - En plein débat sur la suppression de la pub des chaînes publiques, visite dans les studios de France Télévision Publicité, là où les pubs sont vues et écoutées avant diffusion. Plus de la moitié sont retoquées pour défaut sonore. Mais même après correction, les pubs à la télé paraissent trop fortes à nos oreilles. Explications techniques selon le CSA et Culture Pub.

28 mai 2016

La Terre en colère

Quand la nature se déchaîne, les conséquences sont spectaculaires et parfois dramatiques. Ces documentaires vont vous emmener au coeur de ces phénomènes climatiques exceptionnels qui frappent notre planète, illustrés par des images d'archives étonnantes. Vous allez découvrir les mécanismes déclencheurs de ces catastrophes naturelles et voir quels sont les moyens dont nous disposons aujourd'hui pour les détecter et mettre en alerte les populations. Des éruptions volcaniques qui peuvent parfois déclencher un tsunami au spectacle grandiose d'une mer déchaînée qui annonce la tempête, des inondations gigantesques déclenchées par l'ouragan Katrina à la foudre qui peut s'abattre partout sur Terre, nous devons admettre que nous vivons sur une planète en ébullition.

NO COMMENT - On the Way of Storms

Avec ce document, 100% faits réels, embarquez dans une aventure en compagnie de nos trois traqueurs d'orages belges et observez avec eux l'évolution des orages au sein de la légendaire Tornado Alley. Avec le son d'ambiance comme unique voix-off, vous serez plongez dans le monde des orages américains comme si vous y étiez. Mais attention, si au départ, la quête semblera exempte de dangers, certaines prévisions alarmantes annoncent des événements peu rassurant... Etes-vous prêt pour l'Outbreak ?



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