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04 décembre 2014

1999, les tempêtes se déchaînent - Quand la météo s'emballe !

Les tempêtes de fin décembre 1999 en Europe sont deux dépressions intenses des latitudes moyennes à développement rapide, nommées respectivement Lothar et Martin - classées catégorie 2 sur l'échelle de Saffir-Simpson - qui ont traversé la France les 26, 27 et 28 décembre 1999. Ces deux cyclones extra-tropicaux de type "bombe" extrêmement puissants, ont également affecté une bonne partie de l'Europe, causant des dommages majeurs par le vent. Les deux systèmes ont fait 92 morts et occasionné 19,2 milliards de dollars de dommages matériels.
 
Le 26 décembre 1999, une tempête sans précédent balayait le nord de la France, faisant des dizaines de morts, ravageant les forêts françaises, endommageant un grand nombre de bâtiments du patrimoine français. Deux jours plus tard, dans un pays encore sous le choc, une seconde tempête ravage le sud-ouest de la France. Ce film revisite heure par heure le passage de ce qui fut la tempête du siècle. En suivant des experts de Météo France comme fil conducteur, le documentaire tisse témoignages et images d'archives inédites, mais aussi images de synthèse pour mieux comprendre scientifiquement comment un tel phénomène est possible.


16 octobre 2014

L'Univers et ses mystères - Apocalypse cosmique

La fin probable de l'univers dans une apocalypse cosmique généralisée. Quelles sont les prévisions et scénarios actuels des astronomes ?

22 septembre 2014

CARTON ROUGE - L'arnaque du "jet d'encre"

Votre imprimante baisse les niveaux d'encre toute seule, la bécane "racle" sans arrêt après chaque impression, auto-nettoyage intempestif, avertissements à gogo, bugs électroniques, blocage (à distance) voire mort subite,.... Pas de doute, l'imprimante utilise des "timers" qui permettent d'accélérer le "vidage" pour vous obliger de changer rapidement la/les cartouche(s) même si vous n'utilisez pas la totalité de l'encre. Autrement dit, même si il reste de l'encre dans la cartouche, l'imprimante le déclare vide donc à changer. Sur le forum des Numériques, des utilisateurs confirment ce problème et certains n'osent plus arrêter complètement l'imprimante sinon surconsommation d'encre assurée !

Les "jet d'encre" seraient les plus touchés par ce problème de surconsommation et c'est désormais RECURENT ! Toutefois, votre imprimante peut claquer à tout moment même si elle est récente. La plupart du matériel, toutes marques confondues, proviennent de l'Asie.

Carton rouge pour les constructeurs qui appliquent ces méthodes sans scrupules qui nous obligent à consommer plus, dépenser plus et polluer plus ! De plus, le jet d'encre : ça pète trop vite car trop fragile !

Vous voulez faire des économies ? Marre des cartouches qui sèchent ? Vous voulez du durable et du rentable ? Passez au laser ou "à réservoir" et vous ne serez pas déçu du voyage !

Les utilisateurs pris pour des vaches à lait !

On le savait déjà : les imprimantes à jet d’encre grand public ne coûtent quasiment rien, mais quand il faut changer les cartouches d’encres, on s’aperçoit alors que le prix de ces dernières est parfois égal voire supérieur au prix de l’imprimante neuve… On commence alors à se dire qu’il y a un petit problème quelque part, et que les fabricants d’imprimantes doivent sûrement prendre leurs clients pour des pigeons, avec ces cartouches extrêmement chères et votre budget "jet d'encre" peut vite exploser !

Le marché du compatible en France : des produits MADE IN CHINA de piètre qualité

Le problème en France, c’est que, parmi les 15% de cartouches compatibles vendues, 99% proviennent de Chine… dont 10% des quantités vendues sont défectueuses. Sachant qu’il faut en général mettre 4 cartouches dans une imprimante, vous avez 1 chance sur 2 de tomber sur une cartouche défectueuse voire dangereuse.

Résultat, les utilisateurs n’osent pas passer au compatible, qui a mauvaise réputation. Nous avons pourtant de bonnes marques mais elles sont peu connues. Les produits de mauvaise qualité détruisent le marché en détruisant la confiance des utilisateurs qui préfèrent acheter de l’original plutôt que du compatible.

Pourtant, les cartouches compatibles européennes permettent réellement de tirer les prix vers le bas : on parle de 30 à 40% d’économies. Elles sont conçues à partir de coques déjà utilisées : le fabricant récupère la coque, l’ouvre, change l’éponge, remet de l’encre pigmentée, referme la cartouche et réinitialise la puce. Les fabricants chinois fabriquent de nouvelles coques (et utilisent autant de pétrole) : ils font leurs économies sur la qualité du produit.

L’arnaque des constructeurs : appâter le consommateur avec une machine bon marché

Pour gagner de l’argent, les constructeurs d’imprimantes ont mis en place divers procédés. Le premier d’entre eux est d’appâter le consommateur avec de grosses promotions sur les machines en magasin. Résultat : les clients se ruent sur la machine sans étudier le coût du consommable – les cartouches – derrière : ils se retrouvent ensuite dans l’obligation d’acheter les cartouches du fabricant.

Et ce dernier pousse encore le vice. Par exemple, au lieu de proposer quatre cartouches pour une imprimante, il n’en propose que deux : noire et tricolore (cyan, jaune et magenta). Donc, dès que le réservoir de cyan (la couleur qui part généralement le plus vite dans notre exemple) est vide, le consommateur doit jeter toute la cartouche ! Quand on sait qu’aujourd’hui, un litre d’encre coûte le même prix qu’un litre de parfum Chanel, on se rend compte que le client jette littéralement de l’argent par la fenêtre.

Les puces électroniques sur les cartouches : l’obsolescence programmée

Enfin, les fabricants ajoutent des puces électroniques sur leurs cartouches. Ces dernières sont programmées pour signaler à l’imprimante que vos cartouches sont vides… quand, parfois, elles sont encore pleines ! Par exemple, une puce va être programmée pour signaler à la machine qu’il n’y a plus d’encre au bout de 200 pages imprimées, que ces pages ne comportent que quelques lettres imprimées ou soient pleines de photos.

Pour éviter cette arnaque, il faut choisir sa machine en privilégiant les constructeurs qui utilisent des indicateurs d'usure mécanique, et non électronique, c’est-à-dire des procédés mécaniques qui se référeront au niveau d’encre réel restant dans la cartouche. De plus, ces puces permettent dans une certaine mesure au fabricant de se protéger contre l’intrusion des compatibles, en mettant à jour leurs micro-codes.

Ce qui suit est une histoire d'un utilisateur déçu de son imprimante.

J’ai acheté voici deux ans une imprimante à jet d'encre bon marché et, pendant un bon moment, elle a parfaitement fonctionné. Cette imprimante, une Brother, était rapide, silencieuse, et produisait des pages d’excellente qualité, jusqu’à ce qu’un jour, l’an passé, elle s’arrête soudain de remplir son office.

J’ai consulté le manuel et découvert que l’imprimante pensait que sa cartouche d’encre était vide. Elle refusait d’imprimer la moindre page jusqu’à ce que je remplace la cartouche. Je suis quelque peu avare en la matière : j’ai toujours attendu le dernier moment pour remplacer la cartouche, celui où mes sorties deviennent aussi pâles que les archives de la Déclaration d’indépendance.

Mais là, mes pages n’étaient pas en train de pâlir. Mon imprimante avait-elle besoin de nouvelles cartouches, ou était-elle en train de me mentir ? Pour le savoir, j’ai agi comme je le fais habituellement lorsque j’essaie d’économiser 60 dollars : une recherche sur Google. Finalement, j’ai déniché une note de Fix Your Own Printer.com publiée par quelqu’un qui se fait appeler Alex. Cette personne a aussi suspecté que sa Brother lui mentait, et il a découvert un moyen de l’obliger à bien se conduire. Les cartouches Brother contiennent un capteur. Alex a trouvé qu’en couvrant ce capteur avec un petit bout de ruban adhésif noir, on faisait croire à l’imprimante qu’une nouvelle cartouche était installée. J’ai suivi ses instructions et mon imprimante s’est remise à marcher.

1800 pages imprimées en plus avec du scotch sur le capteur

Au moins huit mois ont passé. J’ai imprimé depuis des centaines de pages, et le texte n’a toujours pas commencé à pâlir. Sur le site Fix Your Own Printer.com, beaucoup d’utilisateurs ont écrit pour remercier Alex de son tuyau. L’un d’eux dit qu’après avoir recouvert le capteur, il a imprimé 1800 pages supplémentaires avant que sa cartouche ne s’épuise.

Brother n’est pas la seule entreprise dont les imprimantes lâchent alors qu’elles sont encore en vie. Parce que cette industrie suit le modèle économique classique du rasoir et des lames - l’imprimante elle-même n’est pas onéreuse, mais l’encre et les recharges ont un prix exorbitant - les fabricants d’imprimantes ont tout intérêt à vous obliger à remplacer les cartouches le plus vite possible.

Une manière de le faire est d’utiliser la technologie : plusieurs types d’imprimantes, comme Brother, sont truffées d'électronique (capteurs ou logiciels qui essaient de prédire quand elles vont manquer d’encre). Souvent, l’imprimante se trompe - partout sur le Web, de nombreux utilisateurs racontent qu’elle les lâche de manière très anticipée.

Arrive alors Alex. Il n’est pas difficile de tromper les imprimantes à jet d'encre et de les amener à penser que vous avez installé une nouvelle cartouche. Certains essaient même de vendre de tels conseils sur eBay.

Farfouiller dans les menus intégrés, tester des combinaisons de touche

Si vous êtes compétent pour faire des recherches sur le Web, vous pouvez probablement trouver gratuitement comment faire. Tapez simplement sur Google une combinaison du numéro de modèle de votre imprimante avec les mots "Cartridge", "Override" , "Cheap" … et peut-être aussi sacrés menteurs.

De telles recherches m’ont permis de découvrir que des imprimantes Hewlett-Packard peuvent être ramenées à la vie en farfouillant dans les menus intégrés et en utilisant certaines combinaisons de touches. (HP enterre ces commandes dans les tréfonds de ses manuels.)

Certains modèles Canon semblent répondre après avoir éteint l’imprimante un bon moment - apparemment, cela permet de remettre à zéro l’indicateur du système.

Si vous ne pouvez trouver d’instructions spécifiques à votre modèle, voici deux conseils généraux :

- Essayez de retirer votre cartouche. En laissant le compartiment vide pendant dix à vingt secondes, le logiciel de l’imprimante peut détecter que vous avez installé une nouvelle cartouche

- Secouer vigoureusement la cartouche donne aussi de bons résultats : cela permet de supprimer les blocs d’encre et de couvrir de toner le capteur interne.

Attention quand même à ne pas faire chauffer la tête d’impression

Ces astuces s’appliquent généralement aux imprimantes à jet d'encre. Il est beaucoup plus difficile de trouver les moyens de neutraliser les capteurs les imprimantes à jet d’encre. Et, au moins selon les fabricants, c’est plus dangereux.

J’ai pu trouver comment contourner les interruptions des imprimantes à jet d’encre HP et un blogueur a réussi à faire de même pour les Brother avec du scotch. Mais je n’ai pas eu la même chance pour les Epson, Lexmark, Canon et d’autres marques.

Parmi les raisons qui expliquent pourquoi les fabricants rendent la triche plus difficile pour les imprimantes à jet d’encre, en voici deux :

- Utiliser une cartouche vide peut chauffer l’une des pièces, la tête d’imprimante et la transformer en bout de plastique inutile.

- L’économie de l’imprimante à jet d’encre est encore plus rude que celle de l’imprimante laser, et les fabricants font bien plus de marge sur les recharges que sur les imprimantes.

Les fabricants d’imprimantes à jet d’encre reposent sur vos achats réguliers d’encre, et ils font beaucoup d’efforts pour protéger leur marché. En 2003, le magazine de consommation britannique Which a montré que les imprimantes à jet d’encre allumaient le voyant "Remplacer l’encre" bien avant que les cartouches s’assèchent.

Après avoir neutralisé les avertissements de sa machine, un chercheur a pu imprimer 38% de pages supplémentaires sur un modèle Espson qui affirmait qu’elle n’avait plus une goutte en stock.

Des avocats en Californie et à New York ont déposé une plainte en action collective contre Epson ; la société a nié avoir mal agi, mais elle a réglé l’affaire à l’amiable en 2006, en donnant aux consommateurs un crédit de 45 dollars. Une plainte similaire est en attente contre Hewlett-Packard.

Les fabricants de cartouches bon marché attaqués en justice

Il y a aussi une guerre ancienne entre les entreprises d’imprimantes et les fabricants de cartouches indépendants, qui vendent des modèles bon marché en packs. En 2003, Lexmark a prétendu qu’une société qui entreprenait de décortiquer le logiciel embarqué dans ses cartouches violait la loi sur les droits d’auteurs.

Les opposants aux protections excessives se sont alarmés : les copyrights couvrent traditionnellement la propriété intellectuelle comme la musique et les films, pas la propriété physique comme les cartouches d’imprimantes. Une cour d’appel fédérale a rejeté la plainte de Lexmark, mais les fabricants ont récemment réussi à utiliser la loi sur les brevets pour obtenir la fermeture de fabricants de cartouches indépendants.

A long terme, cependant, la ligne dure des entreprises d’imprimantes contre les fabricants de cartouches semble vouée à l’échec. Acheter des cartouches d'encre est rébarbatif. Devoir le faire souvent, et à des prix exorbitants, alimente le ressentiment des clients, en plus des mensonges proférés par leurs imprimantes.

Certaines entreprises s’en rendent compte. Quand Kodak a introduit de nouveaux modèles l’an passé, il a mis en avant les prix bas des recharges. Kodak prétend que ses cartouches durent deux fois plus longtemps que celles de ses concurrents et se vendent pour 10 à 15 dollars, une fraction du prix de celles des autres. Quand ma Brother finira pour s’assécher, je ne remplacerai peut-être pas la cartouche d'encre, je remplacerai purement et simplement l’imprimante pour passer au laser pour sa fiabilité, robustesse et rentabilité.

En gros, ce que je reproche pour les "jet d'encre" est la fragilité, prix des cartouches prohibitifs et même, l'obsolescence programmée du matériel. Lorsque l'imprimante n'a pas fonctionné pendant quelques jours, elle se met à "râcler" ou s'auto-nettoyer sans relâche pendant de longues minutes avec à la clef : la surconsommation d'encre, bugs électroniques voire un blocage total de l'imprimante.

COUP DE GUEULE : Deux HP Photosmarts hors-services et 4 jeux de cartouches consommés et ça fait cher la page sur 1 an - La première : HS au bout de 1 semaine quand l'alimentation a pété et l'autre rend l'âme en 12 mois et 2 mois (HS après la garantie, merci l'obsolescence programmée) en raison du "raclage" incessant à l'allumage et après chaque impression avec en prime : la surconsommation et quelques bugs électroniques alors que les Photosmarts ont peu servi. C'est décidé, je passe au laser ! Le "jet d'encre" : BASTA !
FLASH du 29 décembre 2017 - Une première en France, une enquête judiciaire a été ouverte à l'encontre d'Epson pour tromperie et obsolescence programmée selon RTL - Carton rouge également pour HP pour télé-blocage des imprimantes si utilisation de cartouches non-conformes (qui ont été télé-bloquées aussi) et obsolescence programmée. Dites STOP au jet d'encre qui n'est pas rentable !
 
INFO du 29 janvier 2022 - Changement de la cartouche d'origine fournie après 7 ans de bons et loyaux services sur la HP Laserjet 1132 MFP achetée fin 2014

Article traduit sur Guardian et MVS

16 septembre 2014

Solanum - La vraie menace…


Cet article date de 2011 et ce virus n'a pas fait parler de lui. Ceci n'est pas du cinéma !

Au cours des dernières années, les médias ont fait les manchettes avec la grippe H1N1, la grippe aviaire, les attaques terroristes, toutes apportant leur lot de panique. Il subsiste cependant une menace bien plus sournoise et violente dont les gouvernements, les autorités et les médias préfèrent cacher l’existence : le solanum.

Le solanum est un virus très contagieux, qui se transmet par la circulation sanguine et qui est transmis par l’échange direct de fluides. Dans la plus part des cas le sujet est contaminé par la morsure d’un mort-vivant, mais il est possible de contracter les germes au contact d’une blessure ouverte contre celle de l’hôte. Les éclaboussures de sang ne sont pas non plus à négliger. Par la suite, le virus se loge dans le cerveau, et utilise les cellules des lobes frontaux pour se multiplier, en les détruisant. Pendant le processus, les fonctions vitales cessent, entraînant la mort de l’individu infecté. Bien que le cœur cesse de battre, il semblerait que le cerveau reste en sommeil et que le virus transforme les cellules pour créer un organe nouveau totalement indépendant d’oxygène. Le cerveau peut néanmoins commander les fonctions motrices du corps. Une fois le virus à maturité, le corps se réanime et devient mort-vivant, communément appelé un zombie !

La science ne connaît toutefois pas l’origine du solanum, pour lequel il n’y a aucun remède. Il est donc dans 100 % des cas mortel. La propagation du virus à l’intérieur du corps est très rapide. En 24 heures, la victime en meurt et est réanimée en zombie. Bien que le solanum se transmette très facilement par contact avec le sang des personnes infectées ou par une morsure de celles-ci, le virus ne se propage pas par les voies aériennes ni par l’eau.

Malgré les efforts des autorités pour cacher l’existence de ce virus et des zombies, de nombreuses preuves attestent son existence, et ce, depuis la nuit des temps. Des hiéroglyphes datant de 3000 ans avant Jésus-Christ ont été découverts en 1892 par des archéologues britanniques sur le tombeau d’un Égyptien totalement inconnu. On peut aussi trouver plusieurs écrits laissés par les Grecs et les Romains. En fouillant dans les archives de la Ville de Sherbrooke, on a appris qu’au début du siècle dernier, les citoyens ne furent pas épargnés par une pandémie de solanum qui fut masquée par le gouvernement sous le nom de grippe espagnole.

Le cinéma hollywoodien à beaucoup contribué à créé une fausse image des morts-vivants. Dans les faits, un zombie ne possède pas de pouvoirs surhumains. À quelques différences près, ils ont les mêmes capacités physiques qu’un humain. Bien qu’ils ne connaissent ni émotions, ni fatigue, ni besoin de nourriture comme source d’énergie, leur incapacité à résoudre des problèmes simples et leur faible vitesse de déplacement demeure leurs plus grands handicaps. L’unique point commun entre les zombies hollywoodien et ceux contaminés au solanum est que, seule la destruction de leurs cerveaux mets ces monstres hors d’état de nuire.

Les armes les plus performantes pour arriver à ses fin sont probablement les suivantes : le pied de biche, pour sa polyvalence; les armes blanches telles une hache avec laquelle un crâne se fracasse aisément; une machette, efficace pour décapiter; ou un katana qui, bien que difficile à se procurer, a démontré maintes fois sont efficacité. Pour ce qui est des armes à feu, le calibre 12 est parfait pour les combats rapprochés mais ne négligez pas l’importance de la carabine de chasse de gros calibre car elle est idéale pour les tirs de longues portées. Cependant, rappelez-vous qu’il est préférable de ne pas jouer les héros face à une troupe de morts-vivants. Trouvez-vous un endroit sécuritaire de préférence éloigné de toutes contamination, préparez vos défenses, ouvrez l’œil et restez-y. Rappelez-vous que les deux plus grands avantages que vous avez pour augmenter vos chances de survie contre les zombies sont la distance et votre l’intelligence.

Il existe plusieurs autres moyens pour se protéger d’une épidémie de solanum et parer aux attaques de zombies, mais il y a peu d’informations fiables pour s’y préparer. Il y a toutefois un guide qui peut vous aider à y faire face.

Disponible dans toutes les librairies, le Guide de survie en territoire zombie de l’auteur Max Brooks, est une référence en la matière. Il passe en revue les niveaux de l’épidémie, une démystification de ce que sont les zombies, quelles armes utiliser pour les tuer efficacement, comment défendre votre maison, comment fuir une zone contaminée, la chasse aux zombies et contient beaucoup d’autres informations nécessaires à votre survie.

Réfléchissez bien aux risques que représente le solanum et n’oubliez pas que personne n’est à l’abri d’une infection. Une attaque de zombie peut survenir à tout moment. Puisqu’il ne semble pas prioritaire pour nos gouvernements et leurs forces de l’ordre, d’informer les simples citoyens contre la menace inhérente que représente une armée de morts-vivants, il est d’une grande importance que vous soyez prêt à vous défendre. Afin d’augmenter vos chances de survie, il est impératif d’avoir le guide de Max Brooks en votre possession. Ce livre peut vous sauver la vie.

10 septembre 2014

CARTON ROUGE - Quand l'excès de zèle explose sur Outlook

Selon les forums informatiques et suite à la migration de Hotmail vers Outlook qui a foiré, de nombreux utilisateurs se sont faits bloquer leurs comptes Hotmail et impose d'entrer un code pour pouvoir accéder de nouveau à la boite email mais pour un temps limité et après, il faudra rentrer un autre code pour y accéder et plusieurs fois pour certains sinon c'est échec et mat ! Sur Facebook, les utilisateurs confirment ce problème devenu récurent et certains ont carrément perdu leurs adresses de messagerie. Microsoft mérite le carton rouge pour ses agissements sans scrupules !


Voici l'histoire d'un utilisateur en colère poussant un coup de gueule : 
Depuis le renommage d'Hotmail en Outlook, j'ai eu des problèmes d'accès à ma messagerie Hotmail.com vieux de 8 ans, j'ai eu comme les autres ce message : "Appelez ça de l'excès de zèle ?" Pour moi, c'est de l'abus car Microchiotte abuse de son pouvoir vu qu'il me demande un code d'accès pour le débloquer. J'ai entré le code reçu dans une autre adresse mail de mon frangin qui est chez GMX et ça a marché mais la joie va être de courte durée car 3 semaines plus tard, rebelote ! Plantage ! Ca recommence ! Je refait la même manip et ce coup-ci, ça casse ! Inaccessible ! Mais, en me déconnectant et reconnectant, ça passe comme par magie mais l'accès est de nouveau bloqué au bout de 15 jours. Je rentre une troisième fois ce putain de code à la con, j'ai de nouveau accès mais pour combien de temps ? Malheureusement, ça a encore bloqué au bout d'un mois. J'abats ma dernière carte pour réactiver l'accès mais au bout de 4 jours : bloqué et je perds mon mail. Alors là, je dis basta et j'arrête les frais ! Puisque c'est comme ça, j'ai changé de boîte mail. Fini Hotmail et direction La Poste.net. Pour finir ce coup de gueule, je recommande à tous mes proches (ainsi que les autres) de boycotter Hotmail et d'ouvrir une adresse mail ailleurs. Hotmail, c'est stop ! Merci à la migration d'Hotmail vers Outlook foireuse !
Au fait, d'autres messages bloquants style "Il semble que quelqu’un d’autre utilise votre compte" ou "Pour utiliser cette adresse de messagerie, vous devez vérifier qu’il s’agit bien de la vôtre" peuvent s'afficher à la connexion. Microsoft veut jouer avec les nerfs, boycottez Hotmail et changez d'adresse de messagerie.

26 août 2014

Panique sur Terre

Apocalypse zombie, fureur des volcans, catastrophes climatiques, glaciation,..... ces scénario-fictions cataclysmiques pourraient faire trembler l'Humanité.

Les zombies - Une attaque de zombies est-elle simplement un concept de fiction ou des maladies infectieuses peuvent-elles vraiment transformer l'humanité en une race de terribles monstres ? Cet épisode examine l'un des scénarios les plus réalisables - une pandémie causée par une mutation du virus de la rage. Des experts en médecine, biologie et sciences sociales expliquent ce qui pourrait arriver si l'humanité faisait face à une infection mortelle pour laquelle il n'existe aucun traitement. De stupéfiantes reconstitutions montreront que le virus se développe depuis les profondeurs de l'océan jusqu'aux moindres recoins de la Terre, transformant les humains et les espèces animales en machines de destruction.



Planète inondée - Des scientifiques évaluent les conséquences que des inondations massives et une montée du niveau de la mer pourraient entraîner des complications pour la population mondiale.



Alerte tempête - Des experts en climatologie, physique, géologie et anthropologie liées aux catastrophes naturelles s'interrogent sur les conséquences possibles d'une tempête massive et interminable.



Volcans en éruption - Qu'arriverait-il si tous les volcans de la Terre entraient en éruption en même temps ? Cet épisode examine ce terrifiant scénario en explorant la dangereuse activité volcanique. L'hypothèse est qu'un trou noir provoqué par un petit mais massif cratère pourrait s'écraser sur la planète, la perforant comme un impact de balle dans une pomme. La Terre survivrait à l'impact mais le trou noir générerait une vague de chocs qui perturberait tout le système volcanique. Voyons ce qui arrive lorsque les volcans de la planète commencent à entrer en éruption, générant leur fatal effet sur Terre et dans l'air.



Température glaciale - Comment les êtres humains réussiraient-il à survivre si la planète bleue était d'un seul coup propulsée dans les froides profondeurs de l'espace, loin du Soleil ?


Survivalisme : les 100 premiers éléments qui disparaîtront en cas de crise majeure

Lorsque vous traversez les événements épouvantables qui peuvent survenir en temps de guerre ou d'apocalypse – la mort de parents et d'amis, la faim et la malnutrition, le froid et le gel qui n'en finissent pas, la peur, les attaques des snipers et de voyous – certains conseils peuvent être utiles.

- Faire des réserves est utile, mais on ne sait jamais combien de temps dureront les problèmes, alors restez près de sources renouvelables de nourriture.

- Vivre près d'un puits avec une pompe à main est comme se trouver dans le jardin d'Éden.

- Après un certain temps, même l'or peut perdre de son éclat. Mais en temps de guerre, il n'y a pas plus luxueux que du papier toilette. Sa valeur est plus grande que celle de l'or.

- Si vous devez abandonner un confort, abandonnez l'électricité. C'est celui dont il est le plus facile de se passer. (À moins que vous viviez sous un climat très agréable et que vous n'ayez pas besoin de vous chauffer)

- La nourriture en boîte est fantastique, surtout si elle a du goût sans être réchauffée. L'une des meilleures conserves à stocker est la sauce au jus de viande, elle rend mangeable beaucoup d’aliments secs que l'on trouve en temps de guerre. Elle ne nécessite qu'un peu de chaleur pour la « réchauffer », il n'y pas besoin de la cuire. De plus, elle est bon marché, surtout si vous l'achetez en gros.

- Amenez des livres. Ceux qui permettent de « s'échapper », comme les romans ou les histoires à énigmes, deviennent précieux au fur et à mesure de la guerre. Assurément, c'est bien de posséder beaucoup de guides de survie, mais vous trouverez comment vous débrouiller dans la plupart des cas de toute façon. Croyez- moi, vous aurez beaucoup de temps à perdre.

- Le sentiment d'être humain peut disparaître très vite. Je ne saurais vous dire combien j'ai connu de gens qui auraient échangé un repas dont ils avaient grandement besoin contre un peu de dentifrice, de rouge à lèvres, de savon ou de parfum. Il ne sert pas à grand-chose de se battre si vous devez perdre votre humanité. Ces choses-là remontent le moral comme rien d'autre.

- Des bougies à combustion lente, des briquets à pierre et des allumettes, beaucoup d'allumettes.

À part cela, voici la liste des 100 articles qui disparaissent le plus vite en cas de crise très grave.

Les groupes électrogènes (Les bons coutent cher. Le stockage du carburant est risqué. Ils sont bruyants, sont la cible des voleurs, et posent des problèmes de maintenance, etc...)

Filtres et purificateurs d'eau

Toilettes portables et produits nécessaires

Bois de chauffage sec. Pour pouvoir l'utiliser, le bois doit sécher entre 6 et 12 mois.

Huile, pétrole, alcool pour lampes (achetez de l'huile limpide. Si celle-ci est rare, stockez tout ce que vous trouvez !)

« Coleman fuel ». On n'en a jamais trop.

Armes, munitions, gaz lacrymogène, couteaux, clubs de golf, battes et lance-pierres.

Ouvre-boîtes à main, râpe, Moulin à céréales (manuel), fouets de cuisine à main.

Miel, sirops, sucre blanc et roux.

Riz, haricots, blé

Huile végétale (pour la cuisine). Sans huile, la nourriture brûle/doit être bouillie, etc...

Charbon, produit d'allumage (deviendra rare soudainement)

Récipients (à obtenir de façon urgente). N'importe quelle taille. Pour les récipients de petite taille : PLASTIQUE DUR ET TRANSPARENT UNIQUEMENT. Si c'est pour boire, assurez-vous que c'est du plastique alimentaire.

Mini chauffage à gaz ou pétrole

Bouteilles de Butane (urgent : une réelle pénurie surviendra)

Un manuel de survie

Manchons : Aladdin, Coleman, etc... (Sans cela, il sera difficile de s'éclairer sur le long terme)

Fournitures pour bébé si nécessaire : couches, lait maternisé, crèmes, aspirine, etc...

Planches à laver, bassine, seau et lavette, balais brosse, essoreuse (pour la lessive)

Cuisinières / gazinière (Butane / Propane, Coleman, et kérosène)

Vitamines

Accroche-bouteilles de gaz (urgent : sans cela, l'utilisation de petites bouteilles de gaz est dangereuse)

Produits d'hygiène féminine, de soins des cheveux et de la peau, savons PH neutre.

Sous-vêtements chauds (haut et bas)

Scies à main, haches et hachettes, coins, cales (également : de l'huile à affuter, de la paraffine)

Aluminium alimentaire, grands sacs congélation à fermeture

Bidons d'essence (en plastique et en métal)

Bidons plastique alimentaire

Sacs poubelle (on n'en a jamais assez)

Papier toilette, Kleenex, serviettes en papier, sopalin

Lait, en poudre et concentré (remuer le lait concentré tous les 3 à 4 mois)

Graines pour le jardinage (non-hybrides), UN MUST

Pinces à linge, cordes à linge, cintres, UN MUST

Kit de réparation de pompe Coleman

Thon à l'huile, sardines, maquereau au vin blanc, pâtés…

Extincteurs (ou bien...une grande boite de bicarbonate de soude dans chaque pièce)

Ail, oignons, échalotes, épices et vinaigre

Pommes de terre, carottes

Grands chiens (et beaucoup de nourriture pour chien)

Farine, levure, sel, œufs en poudre déshydratés, pain en conserve, fromage en conserve

Papier, blocs-notes, crayons, calculettes solaires

Glacières (pratique pour empêcher certaines choses de geler en hiver)

Bottes, ceintures, jeans Levis et chemises solides

Torches électriques, lampes de poche, lightsticks, lanternes « No. 76 Dietz »

Beaucoup de piles

Livres de bord, agendas et albums (pour prendre des notes, noter des impressions, relater une expérience, des moments historiques)

Poubelles en plastique (excellentes pour le rangement, l'eau, et le transport si elles ont des roues)

Hygiène : shampoing, brosses à dent, dentifrice, bain de bouche, fil dentaire, coupe-ongles, etc...

Batterie de cuisine solide

Matériel de pêche

Serpentins, produits, sprays et crèmes anti-moustiques

Adhésif renforcé

Tarps, piquets, ficelle, clous de petite et grande taille, corde

Bougies

Essence, gasoil

Lessive liquide

Sacs à dos, sacs de paquetage

Outils de jardin

Ciseaux, tissu et matériel de couture

Conserves de fruits, de légumes, de soupe, cornedbif, plats cuisinés, etc...

Javel (pure, PAS parfumée : 4 à 6 % d'hypochlorite de sodium)

Matériel de mise en conserve (Bocaux, couvercles, cire)

Couteaux et outils d'affutage : limes, pierres, fusil

Bicyclettes...pneus, chambres à air, pompes, chaînes, etc...

Sacs de couchage, couvertures, oreillers, matelas

Alarme à monoxyde de carbone (à piles)

Jeux de sociétés, cartes à jouer, dés

Raticide, souricide, anti-cafards, antipuces…

Pièges à souris, à fourmis et à cafards

Assiettes en carton, gobelets, couverts et serviettes jetables (stockez ce que vous pouvez)

Lingettes pour bébés, savon sans eau et antibactérien (économise beaucoup d'eau)

Vêtements de pluie, bottes en caoutchouc, etc...

Matériel de rasage : rasoirs, crèmes, talc, après-rasage

Pompes à main et siphons (pour l'eau et le carburant)

Sauces, vinaigre, bouillon de cube, soupes

Lunettes pour lire

Chocolat, cacao, tang...(pour améliorer le goût de l'eau)

Vêtements, écharpes, cache-oreilles, bonnets, mitaines en laine

Kit d'isolation de fenêtres

Biscuits secs, fruits secs

Popcorn, beurre de cacahuète, noix, noisettes, amandes, noix de cajou

Chaussettes, sous-vêtements, T-shirts, etc...(Extras)

Chariots et charrettes (pour transporter des objets d'un endroit à un autre)

Lits de camp et matelas gonflables

Gants de travail, de froid, de jardinage, de chirurgien, etc...

Accroche-lanternes et lanternes

Patches pour réparer les vitres, colles, clous, vis, écrous, boulons

Thé, Café, lait concentré et en poudre

Pâtes

Cigarettes, Vins, alcools, pour le troc, les soins médicaux…

Paraffine pour obturer...

Chewing-gum, bonbons

Bicarbonate (nettoyage, digestion, anticalcaire…)

Chapeaux, chapkas et foulards en coton ou soie

Chèvres, poulets, lapins…

Trousse de secours, médicaments : anti-diarrhée, antidouleurs, beaucoup d’antibiotiques, chlorure de magnésium pour additionner à l’eau (désinfecte et favorise la cicatrisation des plaies, laxatif), charbon activé en poudre pour les diarrhées et empoisonnements. Traitements contre la gale. Antiallergiques, antifongiques, anti-inflammatoires… 

Source : 24 H Gold

25 août 2014

La NASA sonne l'alerte rouge comme quoi nous avons frôlé le retour au Moyen-Age en 2012 suite à une violente tempête solaire


Les informations que vous allez lire devraient être en première page partout. Il est sans doute rien de plus important pour la survie de l'humanité que les faits alarmants présentés dans ce rapport de la NASA, mais la plupart du monde prétend cet événement n'a jamais eu lieu en 2012, et ils supposent à tort qu'il ne se reproduira pas.

Ils se trompent. Selon la nouvelle recherche consternante publiée par la NASA, chaque décennie, il y a 12% de chances qu'un black-out total de la high-tech de la civilisation humaine se produise. En fait, un tel événement a quasiment failli faire disparaître la technologie à travers la planète au cours de l'été 2012.

"Une puissante éjection de masse coronale a ravagé l'orbite terrestre le 23 juillet 2012," indique La NASA. "Si l'éruption avait eu lieu une semaine plus tôt, la Terre aurait été dans la ligne de mire."

La NASA continue à mettre :
Les analystes estiment qu'un coup direct par une éjection de masse coronale extrême comme celui qui a frôlé la Terre en juillet 2012 pourrait causer des pannes généralisées, la désactivation de tout ce qui se branche dans une prise de courant. La plupart des personnes ne seraient même pas capables de vider leurs chiottes, car l'approvisionnement en eau en milieu urbain repose en grande partie sur les pompes électriques.
"Si la tempête solaire avait frappé la Terre, cela aurait été probablement comme en 1859, mais les effets, aujourd'hui avec nos technologies modernes, auraient été démultipliés", affirme Janet Luhmann, de l'Université de Berkeley, dans un communiqué. Selon une étude récente, le coût des conséquences de l'évènement aurait pu s'élever à 2.6 trillons de dollars. "Un super-orage solaire est un événement peu probable mais avec de graves conséquences qui posent de sévères menaces pour les infrastructures de la société moderne. Un tel événement solaire extrême nécessiterait 4 à 10 ans de reconstruction", prévient Ying Liu, du Laboratoire de météorologie de l'espace, en Chine.

Tout appareil électronique sera grillé !

La description de la NASA des conséquences d'une éjection de masse coronale extrême commence à peine à faire le portrait réel de ce qu'un tel événement pourrait entraîner. Voici un portrait plus détaillé de ce que nous aimerions vraiment voir se dérouler :

• Presque toutes les appareils contenant de la micro-électronique seraient grillées, provoquant la mise à l'arrêt de près de toutes les communications, y compris les antennes-relais de téléphonie cellulaire, les systèmes Internet, radios, ordinateurs et appareils mobiles. Et oui, vos appareils mobiles seront partis depuis longtemps, aussi.

• Presque toutes les moyens de locomotion et transports en s'appuyant sur de l'électronique complexe seraient inutilisables. Quelques voitures et des avions de modèles récents pourraient être à l'abri de ces effets, mais les voitures les plus récentes, les avions et les navires de haute mer seraient rendus inutilisables. Il y a des discussions très intéressantes sur ce sujet à www.SurvivalBlog.com

• Presque tout le transport et la livraison de produits alimentaires, eau et carburant cesseraient immédiatement.

• Le réseau électrique serait de tomber en panne. Presque tous les systèmes qui dépendent de l'électricité cesseraient de fonctionner. Cela inclut votre télé, ce qui signifie que vous ne serez pas capable de zapper sur CNN pour vous dire ce qui s'est passé juste. Étonnamment, certaines personnes auront à penser par eux-mêmes.

• Les villes dans le monde entier sombreraient presque immédiatement dans la panique totale et le chaos car l'alimentation, l'eau, le combustible et l'électricité sont tous bloqués. Cela déclencherait une vague de désespoir, une violence, une famine et une maladie infectieuse.

• Toutes les formes de commerce électronique cesseraient de fonctionner, en incluant des cartes d'EBT, des GAB, des cartes de crédit et la plupart des opérations bancaires. Le commerce serait effectivement paralysé.

• Comme tout ce qui se passe, des centaines de centrales nucléaires à travers l'Amérique du Nord seraient à court de gazole pour leurs générateurs de secours, provoquant des pannes de pompes de refroidissement et menant à une série de fusions nucléaires en cascade équivalent à des centaines de catastrophes de Fukushima. Cela pourrait rendre le continent inhabitable par l'homme pendant des siècles, voire des millénaires.

• Fait intéressant, certaines des choses qui fonctionnent encore très bien après tout ce serait :
- Dispositifs sans électronique tels que les bons vieux moteurs diesel (qui peuvent tourner à l'huile) et outils agricoles
- Poêles à bois
- Graines de jardin
- Armes à feu
- Or et argent
- Chevaux et charrues
- Carrosses et diligences

Essentiellement, la vie serait replongée dans le XIXe siècle. Les Amish serait roi, en d'autres termes.

La technologie du XIX siècle ne peut pas supporter 7 milliards de personnes

Il ne prend pas un génie pour comprendre que la technologie du XIXe siècle ne peut pas supporter la population actuelle du monde de 7 milliards de personnes.

La population mondiale en 1850 planait juste au-dessus d'un milliard de personnes.

La population mondiale actuelle de plus de 7 milliards de personnes est rendue possible par les systèmes de production alimentaire et de transport qui dépendent fortement des systèmes électroniques complexes. Même les tracteurs modernes qui produisent des aliments dépendent de l'électronique et des systèmes GPS. Le carburant qu'ils brûlent et les parties qu'ils consomment doivent être créés et livrés à partir de milliers de kilomètres de distance.

La réfrigération alimentaire, le stockage, la fabrication et la vente au détail tout dépend d'une infrastructure complexe construit sur ​​des circuits intégrés. La NASA dit qu'il y a un peu plus d'une chance sur 10 tous les dix ans que l'ensemble de cette infrastructure sera anéanti en un instant.

"Combien d'autres éruptions de cette ampleur ont juste arrivé de frôler nos systèmes spatiaux de détection et la Terre ?" demande Daniel Baker, de l'Université du Colorado. "Il s'agit d'une question urgente qui a besoin de réponses. Nous devons nous préparer."

Mais nous ne sommes pas préparés

Considérons, un instant, l'ampleur de cette menace à la civilisation humaine. Chaque année, il y a plus d'une chance sur 100 qu'un événement de l'éjection de masse coronale qui détruirait le réseau électrique, griller la plupart des appareils électroniques à travers la planète, et plonger la civilisation humaine dans le XIXe siècle en termes de technologie.

"Au départ, j'ai été très surpris que les chances étaient si élevés", a exposé Pete Riley, de Predictive Science Inc., qui a publié un rapport en février 2014 dans Space Weather. "Mais les statistiques semblent corrects ... C'est un chiffre qui donne à réfléchir."

Les probabilités de la civilisation humaine étant replongées dans une ère pré-technologie ne sont pas contestés. Chaque jour qui passe est un autre lancer de dés, et une frappe directe sur ​​la planète par une éjection de masse coronale massive est mathématiquement inévitable.

Sur une échelle de temps plus large, en effet, de grandes éruptions solaires pourraient être considérés comme une sorte de redémarrage galactique de planètes habitées, humiliant de nouveau des civilisations dans l'ère pré-électronique et de provoquer une mortalité massive du dépourvu.

Presque personne n'est préparé à la réalité des frappes directes d'éruptions solaires

Aujourd'hui sur la planète Terre, presque personne n'est préparé à cet effet. Tout le monde est trop concentrés sur leurs propres problèmes ou des ambitions à réfléchir sur le risque d'éruptions solaires. Après tout, il ya des ambitions politiques à poursuivre, les actions de sociétés de commerce et de nouvelles voitures brillantes (ou sacs à main) à acquérir.

Il y a des guerres qu'il fallait combattre, les développements de logements à construire et des puits à forer.

Chacun est ainsi concentré sur leurs propres buts étroits ou ambitions que presque personne ne regarde vers le ciel, le Soleil, et dit : "Cet astre envoie à plusieurs reprises de grandes rafales d'énergie qui pourrait nous faire revenir en arrière dans l'ère agraire."

Et si rien n'est fait pour protéger le réseau national d'électricité à de tels événements, même si ces protections peuvent être installés que pour environ 2 milliards de dollars aux Etats-Unis. Rien ne se fait de s'éloigner des installations nucléaires ou protéger leurs générateurs de secours par les éruptions solaires et des armes EMP, et les centrales nucléaires restent donc des bombes à retardement susceptible de déclencher une apocalypse nucléaire.

Les humains modernes ont oublié comment vivre sans électronique
Sans surprise, l'humanité marche à l'aveuglette dans un avenir de sa propre disparition. En s'appuyant lourdement sur ​​les systèmes informatisés pour la production et la livraison de l'électricité, des produits alimentaires, de l'eau, du carburant et des fournitures, la civilisation humaine s'est placé dans un scénario non-survivable.

Même si un grand pourcentage de la population voulait survivre après un black-out électronique mondial, la plupart des personnes n'ont pas de compétences dans le monde réel plus. Ils ne savent pas comment cultiver, comment élever les animaux, comment cultiver un jardin ou comment vivre des ressources naturelles. Toutes les compétences de l'ère de l'information deviennent instantanément inutiles une fois une éruption solaire massif anéantit les composants électroniques.

Combien de personnes sont laissées qui peut naviguer sur un plan sans utiliser le GPS ? Combien de personnes savent comment allumer un feu dans un poêle à bois ? Combien de personnes achètent des livres au format papier ? Croyez-moi quand je dis tous ces livres de survie que vous avez achetés sur Amazon ne sera pas beaucoup de bien après une éruption solaire extrême

Les êtres humains ne sont pas inter-connectées pour traiter les risques à long terme

Pour comprendre encore mieux, prendre du recul et un regard honnête sur votre propre comportement. Après avoir lu cet article et de réaliser que c'est vrai à 100% et basée sur une véritable annonce de la NASA, que ferez-vous à ce sujet ?

Plus de 99 pour cent des personnes qui lisent cet article fera rien de différent. Ils vont revenir à leur vie dans la ville, travaillant de leurs emplois, payer leur loyer, et peut-être en se disant : "Woah, une éruption solaire. C'est intéressant."

Il ne coule pas dans parce que les humains ne sont pas connectées pour traiter les risques à long terme. Les êtres humains sont connectées pour courir et d'échapper à un danger physique imminent, mais ils n'ont presque pas la capacité cognitive innée à comprendre les grands risques systémiques.

C'est pourquoi les personnes ne comprennent pas la réalité de l'effondrement de la dette mondiale à venir. Ils ne saisissent pas l'effondrement mondial de l'eau à venir. Ils sont incapables de reconnaître la fragilité inhérente d'une société hautement spécialisée avec quelques redondances.

On appelle quelquefois la capacité d'ignorer ces très grands risques systémiques un "parti pris de normalité." Cela appelle fait allusion à la conviction irrationnelle que les choses resteront la façon qu'ils sont parce qu'ils étaient toujours de cette façon. Si l'eau de robinet vient toujours du robinet, jour après jour, année après année, l'esprit humain supposera automatiquement que l'eau va automatiquement venir de ce même robinet pour toujours.

Lorsque l'éruption solaire frappe, peu savent ce qui s'est passé

Presque tous les êtres humains vivant aujourd'hui supposent à tort que la civilisation humaine est robuste et redondante. Ils ne comprennent pas comment leurs aliments, l'eau, l'air conditionné, les activités économiques et la sécurité personnelle sont tous fortement tributaire de dispositifs électroniques complexes qui ne survivront pas suffisamment à une grande éruption solaire.

En conséquence, peu de personnes comprennent ce qui se passe réellement lorsqu'une éjection de masse coronale frappe. Soudain, presque tous les appareils électroniques ont simultanément cesser de fonctionner. Le monde va se taire, et en quelques minutes la panique commence.

Le retour au XIXe siècle, le monde verra probablement une perte des milliards de vies. Les nations agricoles sous-développées comme la Papouasie-Nouvelle-Guinée connaîtront les plus hauts taux de survie et les familles rurales survivront considérablement face aux habitants urbains à travers chaque nation. Ces personnes qui peuvent cultiver leur propre alimentation, défendent leur propriété contre les pillards avec des fusils de chasse et protègent leur santé avec les remèdes naturels et survivra considérablement à ceux qui ne peuvent pas.

Ce scénario est précisément ce qui a failli se dérouler durant l'été 2012. Et il n'est pas question que cela se produira à notre civilisation tôt ou tard. Avec plus d'une chance sur 10 d'un coup direct à chaque décennie, il est susceptible de l'être plutôt tôt que tard.

Article traduit sur Natural News

25 juillet 2014

L'Univers et ses mystères : les 7 merveilles du système solaire

Les nouvelles technologies du XXIe siècle ont permis de s'aventurer sur un territoire jusqu'alors inaccessible aux yeux de l'Homme. Partez pour un voyage extraordinaire aux confins notre système solaire. Des satellites de Jupiter, aux anneaux de Saturne, approchez-vous de la surface du Soleil pour finalement revenir à notre planète Terre !


21 juillet 2014

Le dessous des cartes du choc de civilisations

Depuis la fin de la guerre froide et les attentats du 11 septembre 2001, le monde entier est désormais convaincu que nous sommes engagés sur une logique de confrontation entre plusieurs mondes. Une initiative internationale tente de comprendre l’origine de cette fracture et fait des propositions concrètes pour sortir de cette logique. La pensée unique géopolitique existe : elle développe aujourd’hui la thèse des guerres de religion, ouvrant sur un choc des civilisations. Ce document place cette thèse à l’épreuve des faits, de l’histoire, et des cartes des conflits actuels. Le résultat montre que la thèse du professeur américain Huntington sert plus les intérêts de la politique extérieure américaine qu’une analyse fine et diversifiée de la configuration géopolitique d’aujourd’hui.



15 juin 2014

Le dessous des cartes du gaz de schiste

Techniques d'exploitation et impact environnemental, une énergie alternative ? - L’exploitation du gaz de schiste, un hydrocarbure non conventionnel, fait débat dans de nombreux pays. Dans ce premier volet, ce document s’interroge sur les techniques employées pour la production de cette source d’énergie, mais aussi sur les enjeux de son exploitation et sur son impact environnemental.



Une nouvelle géographie de l'énergie ? Voici une carte montrant où se trouvent, dans le monde, les bassins d’hydrocarbures de roche-mère, improprement nommés "gaz et pétrole de schiste". On distingue les ressources estimées et les ressources non estimées, c'est-à-dire seulement probables selon l’Agence américaine de l’énergie. Aujourd’hui, il n’y a dans le monde que les États-Unis qui exploitent les gaz de schiste à grande échelle, et ce depuis une dizaine d’années. Ce pays aurait les quatrièmes plus grandes ressources techniquement récupérables de gaz de schiste au monde.


  • Les fuites de méthane sapent les qualités écologiques du gaz naturel

Des pertes allant jusqu'à 9% affichent le besoin des données plus générales sur l'impact environnemental de l'industrie américaine de gaz.

Les scientifiques ont encore une fois fait la déclaration sur des émissions de méthane alarmants d'un champ de pétrole et de gaz, ce qui souligne des questions sur les avantages environnementaux de l'essor de la production de gaz naturel qui est en train de transformer le système énergétique américain.

Les chercheurs, qui détiennent des nominations conjointes avec la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) et l'Université du Colorado à Boulder, d'abord suscité bien des inquiétudes en février 2012 avec une étude indiquant que 4% du méthane produit à un champ près de Denver s'est échappé dans l'atmosphère. Si le méthane - un gaz à effet de serre - une fuite depuis les champs à travers le pays à des taux similaires, il pourrait être compense une grande partie de l'avantage climatique de la transition actuelle de charbon vers des centrales à gaz pour la production d'électricité.

Les responsables de l'industrie et certains scientifiques ont contesté la demande, mais à une réunion de l'American Geophysical Union (AGU) à San Francisco, en Californie, le mois dernier, l'équipe de recherche ont rapporté de nouvelles données du Colorado qui soutiennent le travail plus tôt, ainsi que les résultats préliminaires de l'étude d'un champ dans le bassin d'Uinta de l'Utah suggérant des taux encore plus élevés de fuites de méthane - soit 9% de la production totale. Ce chiffre est presque le double du taux de pertes cumulées estimées à partir de données de l'industrie - qui sont déjà plus élevés que dans l'Utah, dans le Colorado.

"Nous nous attendions à voir les niveaux de méthane élevés, mais je ne pense pas que quiconque comprendra vraiment la véritable ampleur de ce que nous voyons", dit Colm Sweeney, qui a dirigé l'élément aérien de l'étude à la tête du programme de l'aviation de la NOAA Earth System Research Laboratory à Boulder.

"Si les taux de fuites élevés revendiqués dans le Colorado et l'Utah sont caractéristiques dans toute l'industrie du gaz naturel américain demeure incertains. Les données de la NOAA représentent un petit aperçu d'un ensemble beaucoup plus vaste que la communauté scientifique est maintenant assemble," dit Steven Hambourg, directeur scientifique de l'Environmental Defense Fund (EDF) à Boston, Massachusetts.

Les chercheurs de la NOAA ont recueilli leurs données en février dans le cadre d'une analyse plus large de la pollution de l'air dans le bassin d'Uinta, en utilisant les équipements au sol et un aéronef pour effectuer des mesures détaillées des divers polluants, y compris les concentrations de méthane. Les chercheurs ont utilisé la modélisation atmosphérique pour calculer le niveau des émissions de méthane nécessaires pour atteindre ces concentrations, puis comparées avec les données que de l'industrie sur la production de gaz pour obtenir le pourcentage s'échappe dans l'atmosphère par la ventilation et les fuites.

Les résultats s'appuient sur ceux de l'étude antérieure du Colorado dans le bassin de Julesburg, à Denver, dirigé par la scientifique de la NOAA, Gabrielle Pétron. Cette étude invoquée des mesures de pollution prises en 2008 sur le terrain et d'une tour voisine, et a estimé un taux de fuites qui a été environ deux fois plus élevé que les chiffres officiels suggérés. Mais la méthodologie de l'équipe pour le calcul des fuites - basée sur l'analyse chimique des polluants - demeure en litige. Michael Levi, un analyste de l'énergie au Council on Foreign Relations à New York, a publié un commentaire évaluée par les confrères en question les conclusions et de présenter une interprétation différente des données qui permettrait d'harmoniser le taux de fuites global aux estimations antérieures.

Pétron et ses collègues ont une défense de l'étude du Colorado dans la presse et à la réunion de l'AGU, elle a examiné une nouvelle étude du bassin de Julesburg, à Denver, menée avec des chercheurs de Picarro, un fabricant analyseur de gaz basée à Santa Clara, en Californie. Cette étude s'appuie sur les isotopes de carbone à la différence entre les émissions industrielles et de méthane provenant de vaches et les parcs d'engraissement, et les résultats préliminaires s'alignent avec leurs conclusions antérieures.

Une grande partie monte sur l'obtention du droit de nombre. Une étude publiée en Avril par des scientifiques de l'Université de Princeton et EDF dans le New Jersey suggère que le passage au gaz naturel à partir de générateurs au charbon présente des avantages climatiques immédiats, tant que le taux de fuite cumulatif de la production de gaz naturel est inférieure à 3,2% et les avantages s'accumulent au fil du temps et ont encore plus importants si les usines à gaz remplacent les centrales au charbon anciennes. Par comparaison, les auteurs notent que les dernières estimations de l'US Environmental Protection Agency (EPA) suggèrent que 2,4% de la production totale de gaz naturel a été perdu dû aux fuites en 2009.

Pour voir si ce nombre tient le coup, les scientifiques de la NOAA ont également pris part à une évaluation globale des émissions de gaz naturel américain, menée par l'Université du Texas à Austin et l'EDF, avec divers partenaires de l'industrie. L'initiative sera d'analyser les émissions provenant de la production, la collecte, le traitement, la transmission à longue distance et la distribution locale de gaz naturel, et de recueillir des données sur l'utilisation du gaz naturel dans le secteur des transports. En plus de récurer à travers les données de l'industrie, les scientifiques recueillent des mesures sur le terrain dans des installations à travers le pays. Les chercheurs s'attendent à présenter le premier de ces études pour publication en Février, et dire que les autres seront terminés dans un an.

En avril 2012, l'EPA a publié des normes destinées à réduire la pollution de l'air provenant de l'exploitation hydraulique de fracturation - maintenant la norme dans l'industrie du pétrole et du gaz - et les avocats disent que on peut faire plus, au niveaux étatiques et nationaux, pour réduire les émissions de méthane. "Il ya clairement des possibilités de réduire les fuites", dit Hambourg.

Article traduit sur Nature

06 juin 2014

La guerre des graines

En Europe, une loi censée contrôler l'utilisation des semences agricoles devrait bientôt voir le jour. Derrière cette initiative, qui empêchera les agriculteurs de replanter leurs propres graines, se cachent cinq grands semenciers qui possèdent déjà la moitié du marché. Direction la France, où des paysans cherchent une alternative aux graines issues de l'industrie, puis les couloirs du Parlement à Bruxelles, où se joue un épisode déterminant de la législation. En Inde, Vandana Shiva, scientifique militante, est devenue la bête noire de la multinationale Monsanto. Au Spitzberg, près du cercle polaire, une chambre forte a été creusée dans la glace pour préserver des graines issues du monde entier, en cas de catastrophe écologique.

Les graines sont le premier maillon de notre alimentation. Mais dans un avenir très proche, les agriculteurs n'auront peut être plus le droit de ressemer leur propres graines. En Europe, une loi tente de contrôler l'utilisation des semences agricoles... Derrière cette confiscation, 5 grands semenciers qui contrôlent déjà la moitié du marché des graines et cherchent à étendre leur privatisation.

Les graines sont-elles une marchandise ou un bien commun de l'humanité au même titre que l'eau ou l'air ?

En 100 ans, sous les effets de l'industrialisation de l'agriculture, 75% de la biodiversité cultivée a disparu. Henri Kissinger disait "Qui contrôle le pétrole contrôle les nations, qui contrôle l'alimentation contrôle les peuples". Que se passera-t-il si l'industrie semencière réussit à privatiser intégralement les semences agricoles ?

L'histoire que nous racontons dans ce documentaire, c'est celle d'une guerre silencieuse, et méconnue et dont l'enjeu est pourtant crucial c'est bien notre indépendance alimentaire qui en dépend.

Cette enquête au vitriol nous a mené en Inde, en France et en Norvège : auprès de paysans qui pour rester libres cherchent une alternative aux graines de l'industrie . Dans les couloirs du Parlement à Bruxelles où se joue un épisode déterminant de la guerre des graines. En Inde chez une activiste qui lutte pour que les graines restent en accès libre et les paysans indépendants. Elle est connue dans le monde entier, et elle est devenue la bête noire de Monsanto : c'est Vandana Shiva. Fait exceptionnel : Monsanto nous a ouvert les portes de sa plus grosse usine de graines pour l'Europe : elle se trouve en France. Les autres géants de la semence ont quant à eux decliné notre demande. Des activistes et des scientifques viennent décrypter les actes de cette guerre secrète. Pour préserver les graines, nous verrons que d'ores et déjà en France, des citoyens résistent à travers des actes de désobéissance civile. La fin de notre enquête nous mène près du cercle polaire, au large du Groënland, dans un chambre forte creusée dans la glace pour entreposer les graines du monde entier en cas de catastrophe écologique. Une belle idée au service de l'humanité mais qui d'après ses détracteurs pourrait se refermer comme un piège.