Hausse record du chômage - Profits records des patrons voyous - Enfumage à tout va - Les médias muselés - Une politique corrompue - un ramolli au pouvoir - Rafale de plans sociaux - Radicalisation des conflits sociaux.... Un cocktail explosif pour que la cocotte-minute monte en pression et qui menace d'exploser ! Ceci est une mise en garde pour le gouvernement français avant que la France s'embrase ! L'explosion sociale est proche et CA VA PETER ! PEUPLE FRANCAIS, REVEILLEZ-VOUS !
Si les jeunes, les étudiants, les chauffeurs routiers, les cheminots, les fonctionnaires,.... s'y mettent et se joignent aux mouvements sociaux des ouvriers : ça va faire BOOM !
Si les jeunes, les étudiants, les chauffeurs routiers, les cheminots, les fonctionnaires,.... s'y mettent et se joignent aux mouvements sociaux des ouvriers : ça va faire BOOM !
(AFP) Les bombes sociales se multiplient en France, ce qui ne manque pas d'inquiéter le gouvernement. Grèves, débrayages, blocages d'usines : face au durcissement des mouvements sociaux en France, le gouvernement socialiste craint désormais ouvertement des risques d'explosion sociale. "La colère sociale, avec les conséquences de la crise économique et financière, la précarité, le chômage, les plans de licenciements, elle est là, elle gronde depuis des années", a reconnu ce mardi 5 février le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls....
Durcissement de la crise économique, flambée du chômage et fermetures d'usine en cascade : le climat social se tend et la mobilisation s'amplifie, au point que les ex-RG scrutent "au plus près" les entreprises en difficulté pour anticiper toute éventuelle "radicalisation". Après la phase d'attentisme qui a suivi l'arrivée en mai des socialistes au pouvoir, la contestation gronde depuis plusieurs semaines.
Durcissement de la crise économique, flambée du chômage et fermetures d'usine en cascade : le climat social se tend et la mobilisation s'amplifie, au point que les ex-RG scrutent "au plus près" les entreprises en difficulté pour anticiper toute éventuelle "radicalisation". Après la phase d'attentisme qui a suivi l'arrivée en mai des socialistes au pouvoir, la contestation gronde depuis plusieurs semaines.
Goodyear, Renault, ArcelorMittal : grèves et manifestations se multiplient. Le ton est monté d'un cran chez PSA où, après des "dégradations" sur le site d'Aulnay, la direction a déployé des vigiles dans l'usine dont la production est paralysée par une grève. Mardi, des salariés de la fonderie DMI de Vaux (Allier) ont assuré avoir commencé "à mettre en place des bouteilles de gaz" pour menacer les propriétaires de "faire exploser l'usine" si une compensation à leur licenciement n'était pas trouvée, rappelant les menaces ou actions parfois violentes menées dans les années 2000 par des salariés désespérés de Cellatex, Metaleurop, Moulinex ou Continental.
Dans ce climat, le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, s'est inquiété mardi des risques "d'implosions ou explosions sociales", assurant que ses services étaient mobilisés pour éviter tout débordement, car "on ne peut pas casser l'outil de travail".
Présence policière : une provocation !
En Seine-Saint-Denis, où PSA cristallise les tensions, deux ou trois policiers du renseignement veillent à temps plein sur les conflits sociaux, pour "anticiper leur durcissement" éventuel et permettre aux autorités de l'État "d'essayer de les désamorcer", explique une source policière.
Autour de l'usine Renault de Flins (Yvelines), "il y a de plus en plus de présence policière, avec plusieurs voitures banalisées", témoignait mardi Ali Kaya, délégué CGT. "La police a contacté des délégués syndicaux", a-t-il ajouté.
Il faut "éviter" d'éventuelles présences des forces de police sur les sites en difficulté, a prévenu le patron de la CGT, Bernard Thibault, car elles seraient "vécues comme des provocations", et Lutte ouvrière (LO) a accusé le gouvernement d'être "un homme de main du patronat".
Une "situation très, très tendue"
Sur le terrain, les meneurs syndicaux ne sont pas étonnés de la mobilisation des services de renseignement. Cela vise "à criminaliser notre action", a réagi Mickaël Wamen, délégué CGT de l'usine Goodyear d'Amiens-Nord menacée de fermeture. "Le gouvernement, les directions d'entreprise veulent nous faire porter la responsabilité d'un embrasement social, alors que le gouvernement devrait plutôt faire porter la responsabilité pleine et entière aux patrons", dénonce le responsable cégétiste, taxé de jusqu'au-boutisme.
Pas question toutefois de toucher à l'outil de travail, "c'est notre bien le plus précieux", assure-t-il.
Le meneur CFDT d'ArcelorMittal Florange, Édouard Martin, se dit "inquiet de la tournure que ça peut prendre". "Dans la filière logistique (...), il y a énormément de jeunes : pour eux, c'est la plus grande incertitude. Je pense que ça peut péter, parce que la situation est très, très tendue", explique-t-il.
Le privé en première ligne
"L'heure de la mobilisation a sonné", a averti la semaine dernière Thierry Lepaon, futur secrétaire général de la CGT, un ex-Moulinex.
Chez Renault, "certains ouvriers souhaiteraient que ça se radicalise un petit peu", assure David Dubois, de la CGT Douai. "Beaucoup de travailleurs m'ont attrapé sur le sujet. Dire que 8 000 personnes m'ont dit la même chose serait mentir. Après, ça va vite : une personne qui embarque l'autre et ainsi de suite, ça se radicalise assez fortement."
"Ceux qui ont animé les grands mouvements sociaux depuis 20 ans (en 1995, ou 2010 contre la réforme des retraites) étaient surtout des salariés du public et d'entreprises à statut, les salariés du privé, pourtant les plus touchés par la crise, ont souvent été en retrait. Avec le durcissement de la crise économique, on voit se multiplier des mouvements dans le secteur privé", note Dominique Andolfatto, auteur de La sociologie des syndicats.
"Les mouvements restent cependant éclatés, parfois divisés", ce qui ne permet pas "une coagulation" des luttes, souligne l'historien, et le récent accord national sur l'emploi n'a fait que raviver les clivages entre confédérations.
Pour l'heure, les salariés ne se mobilisent pas massivement. La situation est loin des grands mouvements dans l'automobile des années 80 ou dans la sidérurgie dans les années 70. L'appel aux rassemblements lancé pour le 12 février aux salariés d'entreprises menacées pourrait être un test.
Mise à jour du 2 décembre 2013 : Selon le Parisien, les 3 quarts des Français redoutent une explosion sociale en France sur le long terme - Avec les hausses des impôts et taxes, la radicalisation des manifestations, le PS qui joue avec le feu, climat politique explosif, impopularité record du Président et, surtout, absence de perspective expliquent ce malaise général.... Aussi, le gouvernement surveille les mouvements sociaux. Cela dit, ça peut péter en 2014 mais très fort !
Mise à jour du 25 février 2014 - Les jeunes Français tentés par la révolte selon Le Monde - Ceci est un avertissement pour le gouvernement PS qui joue avec le feu avant de prendre un retour de flamme et que la cocotte-minute explose. Valls, un danger majeur pour la France selon Edwy Plenel - DICTATURE SOCIALISTE ET CA VA PETER !
Mise à jour du 25 février 2014 - Les jeunes Français tentés par la révolte selon Le Monde - Ceci est un avertissement pour le gouvernement PS qui joue avec le feu avant de prendre un retour de flamme et que la cocotte-minute explose. Valls, un danger majeur pour la France selon Edwy Plenel - DICTATURE SOCIALISTE ET CA VA PETER !
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