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19 octobre 2016

EXPLOSIF - Quand les marchés publics dérapent !

L'effet d'une bombe ! Quand les caisses de l'État, des mairies et des ministères sont vides, le service public fait appel au secteur privé à la rescousse pour construire, s’équiper ou sous-traiter. Quitte à passer de dangereux contrats pour nous mettre en danger !

Ce document vous propose de découvrir les coulisses des marchés publics qui permettent à l’Etat de faire appel à des entreprises privées afin de réaliser ses projets. Qu’il s’agisse de constructions ou d’équipement, l’Etat a recours à de nombreux sous-traitants et certains dossiers suscitent des interrogations. Dans le viseur, le grand Stade de Nice dont la construction a été confiée à Vinci va faire l’objet d’une investigation dont les révélations qui pourraient être explosifs.

Un partenariat public / privé


Ce document se penche également sur un contrat record entre le Ministère de la défense et le géant de l’informatique Microsoft qui équipe désormais 200 000 ordinateurs de l’armée française. Un choix coûteux pour les finances publiques et… très périlleux pour la sécurité nationale ainsi que sur l’agence Pôle Emploi qui n’hésite pas à recourir à des sociétés privées payées grassement afin de se décharger de ses fonctions.

Frôlant parfois le conflit d’intérêts et utilisant les finances de l’Etat, les marchés publics sont une association entre le public et le privé qui méritent plus de transparence et certains de ces mariages coûteux pour le contribuable ont de quoi inquiéter les citoyens quant à la répartition des finances publiques destinées à des entreprises privées.



Notre armée ferait mieux de dégager Windows - qui est truffé de logiciels espions et failles de sécurité avec en prime : l'obligation d'utiliser un compte Microsoft - pour passer à Linux tel que Ubuntu avant que la NSA fouille dans nos affaires !


18 octobre 2016

FLASH - Les hôpitaux redoutent un big bang sur le temps de travail et le personnel soignant payé au lance-pierres

Comment résoudre cet insoluble casse-tête, faire tourner les hôpitaux publics à plein régime avec 22 000 personnes en moins d’ici à 2017 ? La question hante les directeurs hospitaliers et affole le personnel soignant. Illustration à Tours, où le passage aux 12 heures oppose équipes de jour et équipes de nuit. En attendant, notre santé vient de prendre un coup dans la gueule !

La journée de douze heures de travail, même à l’hôpital, est dérogatoire et doit être justifiée par les « nécessités du service ». Pourtant, ce régime des douze heures concernent aujourd’hui 11 % du personnel soignant (selon l’ATIH). Les chiffres sont en « constante augmentation », selon un rapport sur le temps de travail dans la fonction publique, coordonné par Philippe Laurent et publié en mai 2016. Les 12 heures quotidiennes posent de manière accrue la question de la pénibilité et de la sécurité des soins à l’hôpital. L’an dernier, le tribunal administratif de Paris a ainsi jugé illégal le passage à la journée de 12 heures au sein du service de réanimation chirurgicale de l’hôpital Tenon, à Paris. Plusieurs études pointent également sa nocivité.

Au CHU de Tours, les syndicats Sud Santé et CGT sont persuadés que le projet est pourtant bel et bien sur les rails pour les services de réanimation, malgré les dénégations de la direction. « Ce sujet n’est pas d’actualité au CHU de Tours, nous n’avons donc pas lieu de communiquer spécifiquement sur ce point », assure le service communication de l’hôpital. Cependant, des groupes de travail existent depuis plusieurs années sur la question de la réorganisation du temps de travail au sein de l'établissement (notamment sous l’impulsion du chef du service de réanimation, favorable à l’idée des 12 heures), dont la réflexion se serait même précisée depuis le printemps et pourrait se concrétiser l’an prochain.

« La direction peut vous dire droit dans les yeux qu’elle n’envisage pas le passage aux 12 heures, parce qu’elle fonctionne toujours de la même manière, reproche Claire Delore, secrétaire du syndicat CGT du CHU. Elle fait en sorte, par ces groupes de travail, et en laissant prospérer les non-remplacements et la désorganisation du travail, que ce soit à la demande des agents. » À Toulouse, la CGT avait déjà dénoncé une forme de participation pipée sur les cadences, inspirée selon elle des techniques du lean-management. « Une forme de piège se ferme sur les agents qui se laissent convaincre : ils ont une autonomie, mais dans un cadre tellement contraint qu’ils rognent eux-mêmes sur la sécurité, leur repos, la qualité et le prendre soin dans le cas de l’hôpital pour tenir les cadences. »

De quoi s’agit-il concrètement ? Actuellement, au CHU de Tours, trois services sont passés aux 12 heures et ce depuis fort longtemps, au nom de cette fameuse continuité de service : la maternité, la sécurité incendie ainsi que le SAMU. Les autres agents continuent de faire des journées de 7 heures 30 ou de 10 heures, selon les services. Selon la réflexion engagée, il s’agirait de faire passer la réanimation médicale, puis l’ensemble des services de réanimation (au total une centaine de personnes) aux 12 heures de travail continu.

Ce système a des adeptes, rappelle le rapport de Philippe Laurent sur le temps de travail dans la fonction publique évoqué plus haut : « Cet horaire ne génère pas de jours de RTT mais permet aux agents de remplir leurs obligations hebdomadaires en travaillant trois jours par semaine en moyenne ; il est plébiscité par les agents car il permet de réduire les temps de trajet, d’avoir de vrais temps de repos et des journées de travail moins compactes. Pour les établissements, il permettrait des gains en personnel. »

Les médecins y sont également souvent favorables, car les 12 heures en continu collent bien mieux avec leurs propres pratiques professionnelles. À titre d’exemple, la saisissante mobilisation à l'hôpital de Dreux, cette année: en 2005, une vingtaine de services étaient passés, au forceps, aux 12 heures. Lorsque, cette année, la direction a souhaité revenir à 7 heures quotidiennes, elle a dû affronter la fronde du personnel, attachée à son nouveau rythme.

À Tours, les équipes de jour sont elles aussi plutôt partantes pour les journées de 12 heures, pour les raisons invoquées plus haut. En ce qui concerne les équipes de nuit, c’est une autre histoire. La grande majorité des agents sont vent debout, assurent Sud Santé et la CGT. « Lorsque, la nuit, on exerce, pendant dix heures, un métier technique comme la réanimation, on est très fatigué, raconte un infirmier, non syndiqué. Avec deux heures de plus, il y a déjà un risque d’accident. Et si je fais 12 heures la nuit, et que je dors 6 heures en rentrant chez moi, qu’est-ce qu’il me reste pour ma famille et ma vie sociale ? » « Les agents les plus motivés sont souvent les jeunes, qui n’ont pas d’enfants, souligne Damien Seguin, responsable Sud Santé à Tours. Mais cette opposition crée une vraie tension dans le service, c’est un sujet tabou. »

Face à ces différences d’analyse, l’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents (INRS) a lancé une mission sur le sujet et tenté de synthétiser l’ensemble des travaux français et anglo-saxons sur les douze heures. Ses conclusions sont sans appel : la journée de 12 heures ne devrait être adoptée que dans les cas « d’absolue nécessité ».

L’INRS liste les troubles qui y seraient associés. « Les effets secondaires les plus documentés de ces postes longs comparés aux postes de 8 heures sont la prise de poids, l’augmentation des erreurs, d’accidents du travail et de trajet, des conduites addictives, des troubles musculos-quelettiques (TMS) et des pathologies du dos. » L’institut sabre également l’argument de la conciliation vie privée-vie professionnelle, en particulier pour les travailleurs de nuit. « Les salariés exposés
 à ces horaires atypiques doivent réaliser un arbitrage entre leur santé et leur disponibilité familiale, et ceci fréquemment au détriment de leur santé. »

Cette étude, tout comme la décision du tribunal administratif de Paris qui a jugé le passage aux 12 heures illégal pour le service de réanimation chirurgicale de l’hôpital Tenon, est à lire également comme une analyse plus générale de l’organisation du travail au mois et à l’année, avec le dépassement prévisible du plafond hebdomadaire autorisé (48 heures par semaine).

Au CHU de Rennes, les services de réanimation adulte puis enfant sont passés aux 12 heures en 2011. Il y a deux ans, ce sont les agents des urgences qui ont à leur tour augmenté la cadence quotidienne. Pour un résultat « très mitigé », explique Marie-Claude Rouaux, secrétaire du syndicat CGT du CHU. « On avait fait miroiter aux agents, en plus des commodités personnelles, un dimanche travaillé en moins. Mais récemment, la direction a demandé une refonte des plannings pour ne pas dépasser les 48 heures par semaine. Or, c’était à ce prix qu’ils avaient gagné un dimanche de repos. »

Pour la militante CGT, le débat sur les journées de douze heures est l’arbre qui masque la forêt. « Nous travaillons en total sous-effectif, lié au fait qu’on remplace de moins en moins les absences à l’hôpital. À la place, la DRH[Direction des ressources humaines] fait revenir les gens. Mais si on peut le faire avec du personnel en 7 heures 30, c’est impossible en 12 heures. Ou alors, on serait totalement en dehors des clous réglementaires. »

« Renoncer à 22 000 postes supplémentaires »

À Tours, c’est également la perspective d'un projet plus global qui inquiète les syndicats. Une contribution, préparée en janvier 2016 par la commission nationale des directeurs des ressources humaines (DRH) et coordonnateurs généraux des soins (CGS) de CHU, a été remise lors de la rédaction du rapport sur le temps de travail dans la fonction publique, commandé par le premier ministre à Philippe Laurent. La présidente de cette commission est bien connue des soignants tourangeaux, puisqu’il s’agit de Marie-Noëlle Gérain-Breuzard, directrice générale du CHU de Tours.

Dans cette contribution, que Mediapart a pu consulter, les recettes pour mettre fin au flou juridique qui entoure notamment les 12 heures et améliorer la performance des hôpitaux sont assez drastiques. Sur le travail journalier, « les évolutions structurelles des établissements de santé justifient désormais régulièrement la mise en place de modèles en 12 heures et en 10 heures ». Et pour ne plus avoir affaire au veto du tribunal administratif, la commission propose donc de passer à 12 heures en tant que durée quotidienne de référence de travail, après un simple « avis » des instances représentatives du personnel. Le temps de repos minimal obligatoire entre deux périodes de travail (actuellement de 11 heures) pourrait descendre à 9 heures, toujours pour assurer « la continuité du service public ».

Plus loin, la commission souhaite également en finir avec les « cycles de travail et les règles de planification actuels, pour ne pas limiter l’imagination organisationnelle dans la construction des plannings ». Actuellement, un grand nombre de soignants travaille en cycle (qui peut s’étaler sur plusieurs semaines, sans être fondé sur un rythme semaine/week-end classique). Ce cycle ne peut pas se poursuivre au-delà de 12 semaines, mais la commission veut faire sauter purement et simplement « cette borne ». Dans le même genre, l’agent ne peut pas aller aujourd'hui au-delà de 44 heures par semaine, il pourrait passer à 46 heures.

Forcément, un tel plan d’attaque, qui va jusqu’à sortir le temps d’habillage et de déshabillage du temps de travail et ouvrir plus largement le recours aux astreintes, a fait grincer des dents. Même s'il s'agit pour le moment d'une simple « contribution ». Damien Seguin, chez Sud, s'alarme d'un projet de « loi El Khomri appliquée à la fonction publique hospitalière, ni plus ni moins ». Lors du mouvement contre la loi sur le travail portée par la ministre au printemps, un certain nombre de soignants, interrogés dans les cortèges, faisaient effectivement leur cette inquiétude. « Il faut replacer le contexte, insiste Claire Delore, de la CGT. La fonction publique hospitalière doit renoncer à 22 000 postes supplémentaires. À Nantes, début octobre, les DRH de la fonction publique hospitalière se sont réunis et ils ont admis qu’une refonte était en train d’être réfléchie. »

À cette occasion, les DRH de la fonction publique hospitalière ont déclaré, selon le baromètre de la fonction publique hospitalière, que « la maîtrise de la masse salariale était le premier sujet de mobilisation pour 80 % d'entre eux, un taux bien supérieur au secteur privé », précise l’étude. Derrière, vient « l’organisation du temps de travail », pour 48 % des sondés.

Le passage des hôpitaux publics en groupement hospitalier de territoires (GHT), en juillet dernier, a déjà sonné comme une alarme pour les syndicats. « Marisol Touraine nous avait prévenus que rien ne serait comme avant avec sa loi Santé, et sa conseillère avait aussi admis que les GHT constituaient un levier pour une fonte de la masse salariale, rappelle Claire Delore. Mais les hôpitaux sont déjà au bout du rouleau ! Quand j’entends qu’on organise en parallèle des colloques et des tables rondes sur la souffrance et le stress au travail, ça me met hors de moi. »

Sa collègue cégétiste à Rennes est du même avis : « Chaque semaine, chez nous, le directeur du personnel du CHU fait le point avec le directeur des soins et les cadres de santé sur les absences. Ils ne remplacent les agents que quand “le seuil de tolérance est atteint”. Ce sont leurs termes. Ça devient vraiment insupportable pour le personnel, on vit des situations dramatiques. »


Source : Mediapart

15 octobre 2016

L'Univers et ses mystères - Entre science et fiction

Une nouvelle génération de physiciens travaille dur pour réécrire les lois cosmiques. En effet, ce qui semblait futuriste il y a encore quelques années devient de plus en plus proche de la réalité. Grâce à leurs découvertes, le réel pourrait bien s'avérer plus fort que la fiction !

11 octobre 2016

CARTON ROUGE - Smartphones explosifs, à qui la faute ?

Clap de fin pour le Galaxy Note 7. En effet, Samsung a pris la décision d'arrêter la production de ces smartphones en raison du risque fort d'explosion de la batterie. L'action en bourse plonge et les utilisateurs sont priés de rapporter leurs appareils pour se faire rembourser. Ce fiasco high-tech servira de leçon à Samsung !

Carton rouge bien mérité pour Samsung pour mise en danger de la vie d'autrui avec ses bombes vendues. C'est beau la high-tech explosive, n'est-ce pas ?

Selon des sources, des propriétaires de véhicules on vu leurs bagnoles flamber et certains ont failli mettre le feu à leurs baraques pendant le rechargement de la batterie. Les smartphones peuvent vous péter à la gueule et ceci vient d'arriver : un enfant a vu son smartphone partir en fumée avant d'exploser dans ses mains.
Mais Samsung n'est pas le seul constructeur dont les produits explosent parfois. C'est arrivé à Sony sur des ordinateurs VAIO en 2014, à Dell qui en a rappelé 4 millions en 2006, à des vélos électriques, et même aux Boeing 787 Dreamliner. Cet été, ce sont 500 000 hoverboards de toutes marques qui ont été rappelés à cause de leur batterie lithium-ion. Apple aussi, a des iPhone explosifs.
Sur la vidéo, qui est virale, la serveuse tente de dégager le smartphone en feu du restaurant malgré ses gants anti-brûlures



Putain, c'est de la bombe ce smartphone !

Des incidents signalés au niveau de la batterie du nouveau smartphone de Samsung ont flingué les espoirs de la firme coréenne et l'action en bourse a dévissé suite aux témoignages et vidéos qui ont fait le tour du monde. En effet, les smartphones en question s'auto-détruisent !



Le feu aux fesses ! Une fois de plus, son smartphone s'auto-détruit dans la poche de son froc...



La fin de l'été 2016 est marqué par plusieurs explosions du Samsung Galaxy Note 7, mais comment un smartphone peut exploser ? Quel téléphone peut exploser ? Au mieux, vous savez probablement déjà que la partie la plus dangereuse d'un téléphone est la batterie, mais nous allons voir en détail comment ces cas pourraient survenir et aussi ce que les mesures de sécurité doivent être prises.

- Comment la batterie d'un smartphone peut-il exploser ?

Les batteries que nos smartphones utilisent actuellement (et la majorité des appareils aussi) et contiennent des composants inflammables. Ils sont des batteries au lithium, à la fois Li-ion et Li-Po. Toutes les batteries ont une cathode et une anode (positive et négative), une substance qui réduit et donne des électrons et un autre qui oxydent et les recueille. Ce transfert est utilisé pour fournir de l'énergie au smartphone.

Dans toutes les batteries, la cathode et l'anode sont séparées par une membrane. Si la cathode et l'anode se touchent alors qu'ils réagissent chimiquement et, dans le cas de batteries au lithium qui est une réaction très rapide. Il ne constitue pas une explosion, mais plutôt une combustion très rapide. Heureusement, la batterie n'a pas suffisamment de carburant pour exploser violemment mais il causera des dommages à quoi que ce soit dans un rayon proche de 1 mètre.



Les batteries ont trois couches (cathode et anode) de membrane enroulée plusieurs fois sur eux-mêmes d'une manière telle que la cathode et l'anode ne se touchent jamais. Le problème se pose lorsque la membrane qui les sépare ou se dégrade ce qui est bien pire, quand il devient défectueux à la sortie d'usine comme dans le cas du Galaxy Note 7.
Si la membrane qui sépare la cathode et l'anode de la batterie se détériore, deux d'entre eux entreront en contact et la batterie va brûler voire exploser
Toutes les batteries au lithium ont un circuit de contrôle de température. Si la température de la batterie dépasse un certain seuil, le circuit bloque la charge. Les températures élevées nuisent à la membrane et, dès que cela permet à la cathode et l'anode de se toucher et de commencer la combustion.



- Quel smartphone peut s'enflammer ?

Nos smartphones semblent être des objets inoffensifs, mais il y a danger latent à l'intérieur. En général, les cas de combustion du smartphone ne sont qu'une poignée, comptés par dizaines, alors que 1.400 millions d'appareils sont vendus chaque année. Donc, la probabilité qu'un smartphone en flammes est extrêmement faible, presque le même que d'être frappé par la foudre.

Alors, sommes-nous en danger ? Il est clair que non. Mais il est vrai que cela peut arriver, cependant, en général, des contrôles de qualité assurent que les batteries sont en sécurité.

Si un fabricant détecte qu'une série de leurs batteries a quelque défaut de production, il va retirer immédiatement les appareils. Tout comme Samsung a cessé la distribution et retiré les Galaxy Note 7 défectueux.

Quoi qu'il en soit, il est toujours bon de garder un oeil sur nos batteries. Nous devons veiller à ce qu'ils ne dépassent jamais 60 degrés. Si elle commence à gonfler ou se déformer doit être changé immédiatement. Et ce qui ne doit jamais être fait est de les percer avec un objet pointu, comme indiqué dans la vidéo ci-dessus.

Dans des cas comme le Galaxy Note 7 dans lequel le fabricant reconnaît l'erreur et ordonne à tout les utilisateurs de rapporter leurs appareils, de cesser immédiatement d'utiliser l'appareil, ne pas le charger à nouveau et suivre le protocole que le fabricant dispose.

Flash du 7 novembre 2016 : Selon le Figaro, un smartphone Samsung J5 fume noir et explose dans les mains d'un enfant et la famille porte plainte pour mise en danger de la vie d'autrui. Cependant, Samsung rappelle les lave-linges en raison de risques d'explosions et l'environnement risque de prendre un sacrée coup dans la gueule !

Article traduit sur AP