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29 avril 2016

La bataille de Tchernobyl

Le 26 avril 1986 à 01 h 24, l'apocalyspe ! Une flamme aux couleurs arc-en-ciel de 1000 mètres de haut s'élève dans le ciel de l´Ukraine. Le réacteur 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl vient d'exploser. Temps zéro : la bataille de Tchernobyl commence. Hormis l´ampleur des dégâts causée par la première explosion, celle ci a déclenché une redoutable réaction en chaîne qui menaçait de provoquer une seconde explosion, nucléaire cette fois ci, dix fois plus puissante que Hiroshima. L'Ukraine aurait été anéantie et « L'Europe entière serait devenue durablement impropre à l'habitation. » Tel que l´affirment les conseillers scientifiques de l'opération. Une incroyable course contre la montre commence. Pendant 8 mois, 800 000 jeunes soldats, mineurs, mais aussi des civils, baptisés depuis « les liquidateurs », sont envoyés de toutes les Républiques d'Union soviétique, pour se battre, au péril de leurs vies, et tenter de « liquider » la radioactivité en construisant le « sarcophage », immense structure de métal et de béton, qui recouvre depuis, la lave toujours radioactive. Mais surtout pour désamorcer une bombe nucléaire à retardement. Une véritable bataille, avec son champ, ses soldats, ses engins et armes de destruction, ses morts et ses blessés, ses généraux et politiques, ses réfugiés, prisonniers et condamnés. C'est une guerre, avec ses stratégies et ses mensonges, ses crimes, ses échecs et ses victoires. 8 mois, d´une intensité phénoménale, que les survivants ne sont pas prêts d´oublier. Le document se base sur les témoignages des principaux témoins (scientifiques, politiciens,...) et surtout celui d´un personnage clé : Igor Kostin, le photographe qui, quelques heures à peine après l´exposition, a survolé le site en hélicoptère militaire. Sans aucune protection nucléaire, il prend ses premiers clichés. Il n´a pas cessé depuis. Les photos sont saisissantes. Nous avons un usage exclusif. Grâce à l´imagerie de synthèse, à la reconstitution et aux documents d'archives exclusifs, le document reconstruit une bataille acharnée, contre un ennemi invisible et particulièrement. C´est la première expérience du monde avec les dangers de la radioactivité. À l'occasion des 30 ans de la plus importante catastrophe industrielle de tous les temps, ce document propose de revivre l'action, jour après jour, de la grande bataille de Tchernobyl.



Vous avez choisi Tchernobyl comme destination, je ne connais pas la langue, ni le pays mais j'y suis allé. Voici les images que j'ai réussies à ramener et mon avis sur Tchernobyl. N'oubliez pas les morts, plus de 100 000... Pour que nous puissions continuer à vivre en Europe, un des buts de la vidéo et de ne pas oublier. Des hommes sont mort pour que nous puissions vivre et nous ne sommes pas plus à l'abri ici qu'eux là-bas, l'homme ne maîtrise pas totalement l'énergie atomique et sa tout le monde a tendance à l'oublier - Bibix

26 avril 2016

CARTON ROUGE - Votre télé est tombée en panne ? Normal, c'était prévu pour !

Une technique bien rodée par les industriels sans scrupules qui consiste à raccourcir la durée de vie des produits, n'est-ce pas Apple, HP et Samsung qui méritent le carton rouge, pour nous faire consommer plus et polluer d'avantage l'environnement. Cette technique s'appelle : l'obsolescence programmée, signe majeur de gâchis ! La plupart des produits sont "Made in China" et certains peuvent êtres contrefaits.

Quand les produits s'auto-détruisent, se bloquent, lâchent sans prévenir ou deviennent trop vieux. Voici quelques faits :
- Ecran qui explose
- Iphone qui prend feu
- Smartphone en feu
- batterie qui explose (mobiles high-tech, cigarettes électroniques,...)
- Mort subite de l'appareil (ne s'allume plus du jour au lendemain ou s'arrête net de fonctionner)
- Ordinateurs qui prennent feu
- Imprimantes qui se bloquent électroniquement après un certain nombre d'éditions
- Electroménager HS au bout de quelques années
- Les nouvelles normes nous obligeant de changer de produit (passage a la TNT HD,...)
- Exit les PC trop anciens pour faire tourner Windows 10
- Ordinateurs HS au bout de 2 à 3 ans, n'est-ce pas HP qui font des cartes mères prêtes à claquer de manière aléatoire
- Produits Apple qui durent à peine 3 ans


RCF L'obsolescence programmée des produits n'est autre que l'ensemble des techniques utilisées par les fabricants pour réduire délibérément la durée de vie des produits. Chacun peut constater en effet qu'une télévision ou une machine à laver tombe en panne avant ses 10 ans.

Il existe plusieurs formes d’obsolescence programmée, notamment celle liée à l’innovation ou à l’esthétisme. Une entreprise de smartphone, par exemple, peut proposer régulièrement des modèles plus performants ou plus esthétiques, rendant les anciens modèles "obsolètes" ou démodés. Mais c’est au consommateur de décider ou non de son achat. On parle aussi d’obsolescence "systémique" par exemple en informatique. Il s'agit de rendre obsolète un produit en changeant le système dans lequel il s’utilise. Mais la forme généralement la plus observée consiste à introduire dans un produit une partie ou un composant inutilement fragile afin que le produit devienne inutilisable plus rapidement.

Il est désormais possible de saisir la justice sur certaines pratiques industrielles visant à réduire la durée de vie ou d’utilisation d’un produit. La loi sur la transition énergétique votée en 2015 sanctionne cette pratique. Elle peut entraîner jusqu’à 2 ans de prison et 300.000 euros d’amende. Selon ce même texte de loi, l’obsolescence programmée de produits désigne "l’ensemble des techniques par lesquelles un metteur sur le marché vise, notamment par la conception du produit, à raccourcir délibérément la durée de vie ou d’utilisation potentielle de ce produit afin d’en augmenter le taux de remplacement". On peut définir plus simplement l’obsolescence programmée comme une stratégie des fabricants de produits qui consiste à planifier son arrêt de fonctionnement dès sa conception: cela oblige le consommateur à racheter le produit et assure à l’entreprise des ventes sur le long terme.

Depuis le 1er mars 2015, les professionnels doivent informer les consommateurs sur la disponibilité des pièces détachées afin de les orienter vers des produits durables. La Grande distribution fait particulièrement figure de mauvais élève. Il est pourtant rappelé que les professionnels encourent une amende administrative pouvant aller jusqu’à 15.000 euros par infraction constatée. Mais qu’en est-il de cet affichage des pièces détachées disponibles ?

La loi consommation a été une première étape visant à mieux informer le consommateur sur la garantie légale ou sur la disponibilité des pièces détachées. Celle sur la transition énergétique permet de mettre en place un modèle de production et de consommation tenant compte des limites de notre planète.




FLASH - Les principales causes de ruptures sentimentales

Lorsqu’une histoire d’amour ne fonctionne plus et que les sentiments ne sont plus au rendez-vous, la rupture amoureuse est généralement la seule solution fatale. Mais se rendre à l’évidence que la rupture du couple est la seule chose à faire est loin d’être tâche facile. Peur de l’abandon ou peur de regretter, après une rupture amoureuse, certains couples se remettent ensemble sans régler leurs problèmes. Mais alors comment savoir qu’il est temps de se quitter ? Comment parvenir à rompre définitivement ? Et comment gérer la période post séparation ? Focus sur la séparation amoureuse.

Généralement, les couples pètent quand :
  1. Il y a INFIDELITE quand vous apprenez par un tiers ou vous découvrez l'infidélité de votre partenaire (les signes qui ne trompent pas), le fait d'aller voir ailleurs entraînera d'office le bannissement immédiat et définitif pour trahison totale. En cas d'attirance pour un(e) autre, c'est le bannissement immédiat qui vous attend !
  2. Il y a REJET
  3. Il y a "GHOSTING" (= négligence totale)
  4. Il y a NEGLIGENCE - Votre partenaire ne ressent rien pour vous, souffle le chaud et le froid ou joue avec vos sentiments et c'est très fréquent (inattention, manque de communication, aucune initiative, préférer son entourage, froideur et distance menant droit au bannissement immédiat pour négligence et trahison)
  5. Il y a manque de respect
  6. Votre partenaire aguiche ou provoque les autres en votre présence (= manque de respect total et infidélité)
  7. Il y a extrême jalousie
  8. Il y a injures (= manque de respect et diffamation)
  9. Il y a trop de clashs
  10. Il y a eu usage de la violence au sein du couple (= violences volontaires)
  11. Il y a harcèlement ou chantage
  12. Il y a manipulation
  13. Votre partenaire est égoïste, autoritaire ou trop exigeant(e) (= égoïsme)
  14. Votre partenaire profite de vous sans rien donner en retour
  15. Votre partenaire finit au poste de police ou en prison
  16. Votre partenaire vous quitte car une tierce personne a saboté votre couple
  17. Votre partenaire se fait remarquer ou se la pète (= frime et manque de respect)
  18. Votre partenaire se fait prendre dans son propre piège ou se grille tout(e) seul(e)
  19. Il y a diffamation
  20. Il y a escroquerie
  21. La famille ou les amis de votre partenaire vous rejettent (= rejet familial ou amical)
  22. Il y a vandalisme, vol ou actes de malveillance
  23. Il y a chantage affectif
  24. Votre partenaire change volontairement de numéro de téléphone (= ghosting abusif)
  25. Il y a racisme
La TRAHISON (mensonges, souffler le chaud et le froid, abus,...), INFIDELITE, le HARCELEMENT (attaques en série contre une personne genre dénigrement, critiques, reproches excessifs, violence, agressivité, autoritarisme,...), L'EXTREME JALOUSIE, la NEGLIGENCE (inattention, peu de communication, aucun signe de vie, distance, froideur,...), le MANQUE DE RESPECT (langage grossier ou vulgaire, moquerie,...), le CHANTAGE (menaces, racket, exiger de force quelque chose,...), le REJET (ne pas accepter l'autre tel quel, refus de la différence, repousser,...), le CHANTAGE AFFECTIF sont les 9 erreurs fatales a éviter absolument !

Le fait d'aller voir ailleurs entraînera d'office un BANNISSEMENT IMMEDIAT ET INDISCUTABLE et il n'y aura pas de retour en arrière. Comme dit ce proverbe : "Infidèle un jour, infidèle toujours !"
* LE FIGARO - Si l'on en croit une étude menée par le magazine "Journal of Social and Personal Relationships" et publiée en 2011, le taux de séparation varierait selon la façon dont on découvre le pot aux roses. Il serait de 85 % si la personne infidèle se fait prendre la main dans le sac par son partenaire, de 70 % si l'infidélité est révélée par une tierce personne, et chuterait à 45 % si la personne infidèle avoue elle-même son infidélité. Visiblement, la sincérité serait un gage de culpabilité pour la personne trompée. Bon, il vous reste quand même presque 1 chance sur 2 de vous faire plaquer...
Qui n'a jamais vécu un chagrin d'amour ? Du jour au lendemain, tout bascule : on n'imagine pas de vivre sans l'autre, le futur s'assombrit, la vie n'a plus de goût... Ce qui suit est un extrait du livre sur les périodes critiques de la relation amoureuse.
La rupture amoureuse est l'une des expériences les plus éprouvantes traversées dans une vie. Quelles sont les périodes critiques de la vie de couple qui rendent plus vulnérable à une séparation ? Comment repérer les signes avant-coureurs ? Comment faire face à la douleur, la surmonter pour être capable à nouveau d'aimer ? A travers analyses cliniques et témoignages, les auteurs explorent chaque étape de la rupture, depuis les premiers signes de discorde jusqu'à la fin du deuil, en passant par la gestion de la crise. Ils donnent des conseils pour traverser l'épreuve, tourner la page et redevenir libre de s'engager.

18 avril 2016

FLASH - Le smartphone synonyme de destruction sociale surtout pour les personnes accros !

L’arrivée du smartphone dans notre quotidien a incontestablement changé nos vies. Qui aurait imaginé avant son apparition sur le marché grand public qu’il allait devenir notre compagnon de route au quotidien ? Il nous permet de tout faire, à tout instant, n’importe où. C’est une révolution technologique qui nous a sans aucun doute apporté énormément.

Seulement voilà, le smartphone a pris une telle place dans notre quotidien que beaucoup d’utilisateurs ont du mal à s’en passer. Aucun produit technologique n’avait autant influé sur notre façon d’être, notre façon de faire, de penser.

Selon un sondage de Pew Internet Project, 67% des personnes interrogées possédant un téléphone portable avouent regarder leur smartphone pour vérifier si elles n’ont pas de messages, appels ou textos même quand aucun signal n’a retenti.

44% disent dormir avec leur téléphone portable à côté du lit ou sous l’oreiller pour ne rien râter. Pire, 29% disent « ne pas pouvoir s’imaginer sans leur téléphone ». Le smartphone a eu un tel impact sur nos vies que beaucoup d’entre nous en sont devenus esclaves.

A tel point que pour certains, c’est devenu une addiction. Impossible de s’en séparer. Son absence provoque chez certains des angoisses, du stress. Une réaction totalement invraisemblable, impossible à imaginer il y a quelques années.

Une maladie spécifique a même été inventée pour définir ce phénomène : la nomophobie.
La nomophobie provoque des troubles psychologiques entraînant un besoin excessif, incontrôlable voir obsessionnel d’utiliser un téléphone au point d’y consacrer tant de temps et d’énergie, que l’objet et son utilisation finissent par interférer négativement avec la vie quotidienne, professionnelle ou affective du sujet qui peut développer une anxiété, parfois phobique et/ou une dépression qui vont indirectement aussi affecter son entourage
Au delà de son impact psychologique sur son utilisateur, le smartphone a aussi tristement affecté les rapports humains, sociaux. Alors qu’à l’origine, le téléphone portable est un outils permettant de favoriser la communication, aujourd’hui, il la tue.

Il n’est pas rare de voir des amoureux au restaurant, les yeux rivés sur leurs smartphones, chacun dans son univers, ne partageant aucun moment. Les repas de famille sont décousus, chacun consultant son portable dans son coin dès qu’un bip retentit.

D’ailleurs, on assiste parfois à des scènes complètement surréalistes. Car aujourd’hui, c’est celui qui a encore des règles de savoir-vivre qui passe pour un aliéné. Demander à quelqu’un de ranger son smartphone à table alors que tout le monde est en pleine discussion ? Inadmissible. C’est passer pour un vieux con, désolé du terme.

Les smartphones ont pris une telle place qu’ils ont détruit les rapports sociaux. C’est ce que confirme une étude menée par KBPC qui révèle que les utilisateurs de smartphones consultent leur appareil en moyenne toutes les 7 minutes 30 ! Comment prendre le temps de réfléchir, d’entamer une discussion, de faire quoi que ce soit si nous détournons notre attention toutes les sept minutes ?

On ne prend plus le temps de se parler vraiment, de se voir, de se retrouver pour boire un verre, un café. Non. Un sms ça va plus vite, avec Snapchat on peut même envoyer des vidéos alors à quoi bon se déplacer. En fait le virtuel offre de telles possibilités que certains trouvent presque la vie réelle fade.

C’est aussi un moyen de se créer une identité différente de ce qui l’on est vraiment. Souvent les plus addicts aux smartphones sont des individus qui manquent de confiance en eux disent les psychologues. Se mettre en scène sur les réseaux sociaux, ce narcissisme exacerbé, leur permettait de se donner de l’importance. Ou en tout cas, de se voir comme quelqu’un de plus important.

Exemple tout bête, et drôle de surcroît (expérience personnelle). Ce week-end, en bon addict que je suis, je fais un tour (le 58ème de la journée) sur mes réseaux aux alentours de 19h. Là, je vois un statut de ma nièce, 15 ans, qui affirme « Go en soirée ! Ça va être trop bon ! ». En effet, elle allait en soirée, chez moi, manger un boeuf bourguignon. Et elle m’a dit que c’était bon. Tout est dit.

Loin de nous l’idée de sortir le discours du « c’était mieux avant » mais les faits sont là. Les smartphones nous envahissent et il est bien difficile pour beaucoup de s’en séparer. Etant un produit relativement jeune, il a remplacé pour beaucoup l’écran de télévision.

Dans les premières années de mise sur le marché des télévisions, les ménages passaient leur journée devant l’écran (il y en a encore aujourd’hui). Puis avec les années, nous avons appris à adopter cette technologie en se limitant, en prenant en compte aussi ses défauts.

Pour les smartphones, il faudra une remise en question importante des utilisateurs pour revoir leur façon d’appréhender leur compagnon. Le smartphone est avant tout un outil, il faut donc l’utiliser en tant que tel.

Même si techniquement il le permet, l’idéal serait qu’il ne se substitue pas à un bouquin par exemple, à une bonne soirée entre amis, à des rencontres physiques et non virtuelles. Sans compter que se détacher un peu de cette technologie permet à l’esprit de se réapproprier son environnement, de penser, de réfléchir, de contempler, bref de vivre.

Source : Phonandroid

14 avril 2016

FLASH - Achetons local !

Le terme n’est effectivement pas très précis. Pour certains, cela signifiera manger des produits français (ou québécois, ou autre encore). Pour d’autres, cela signifiera manger des produits produits régionalement. Scientifiquement, on parle généralement de “kilomètres alimentaires” (“food miles”, pour nos amis anglophones). Au-delà de 500 kilomètres alimentaires, les produits ne pourraient pas être considérés comme “locaux”.

De façon plus pragmatique, vous pouvez considérer comme locaux les produits les plus proches de vous. Si vous vivez à New York, ce sera la région new-yorkaise, si vous vivez à Paris la région parisienne. Ce qui compte en fait est le trajet effectué par les marchandises, leur acheminement de l’espace de production jusqu’au point de vente.

Notre ami Vincent, qui publie sur consommer durable, a mené une expérience : manger 100 % des produits locaux pendant une semaine entière : découvrez son enquête en 6 parties.

Voici en tout cas 5 bonnes raisons de consommer des produits locaux...

1. La nourriture locale a bon goût

nourriture localeOutre ses autres fonctions, le goût de la nourriture a un rôle important. La raison est simple : si la nourriture locale a bon goût, c’est qu’elle est consommée fraîche et en saison. Pas de production industrielle en ferme, donc plus de choix dans les variétés. Savez-vous par exemple qu’il existe des milliers de variétés de pommes ? Combien pourtant en trouvez-vous facilement en supermarché ?
Nouvelles saveurs

Certaines variétés de produits supportent mal le transport et ne pourraient donc pas être exportées facilement. Les producteurs locaux n’ont pas ce souci et vont plus facilement tester de nouvelles plantations.

Une bonne idée sur un plan écologique et également sur un plan gustatif : manger local signifie aussi découvrir de nouvelles saveurs.

2. La nourriture locale est durable

En réalité, toute la nourriture produite localement n’est pas durable. On avance néanmoins le chiffre de 11 à 12 % des émissions de gaz à effet de serre pour la nourriture locale sur la totalité de la nourriture produite. Outre ce chiffre, ce qui compte est la qualité de la terre et de l’eau utilisée. Le mieux est encore de demander directement aux fermiers comment ils travaillent et de jeter un oeil à leurs terres.

3. La nourriture locale encourage la vie communautaire

fermièreConnaître vos fermiers et autres producteurs locaux est une bonne chose pour vous. Échanger avec eux en direct est irremplaçable.

Ce mode d’échange aide notamment à développer une compréhension mutuelle. Le consommateur apprend à comprendre d’où vient la nourriture : plus on comprend et plus on a envie de soutenir son producteur local (ou alors il est temps d’en changer). Cela encourage aussi le producteur à produire la meilleure nourriture possible.

4. La nourriture locale aide l’économie locale

ferme : produits locauxNe serait-ce que parce que le fermier sera plus à même d’utiliser l’argent gagné dans l’économie locale également.

D’après une étude menée par la News Economics Foundation de Londres, un euro (ou dollar, ou livre, ou tout ce que vous voulez) dépensé localement générera le double dans l’économie locale globale.

5. La nourriture locale serait plus intéressante pour la santé

agriculture localeLes études prouvent que les nutriments se dégradent moins si la nourriture n’est pas transportée sur une longue distance ou stockée durant un long moment. Il est intéressant de noter que les cultures plus anciennes seraient plus riches en micronutriments que les cultures plus récentes.

Il est globalement plus intéressant de consommer local, mais tout dépend évidemment des pratiques mises en oeuvre, ne serait-ce que pour le transport : paradoxalement, transporter une grande quantité de nourriture par navire sera moins polluant qu’une petite quantité par voiture. Il semble donc de bon ton de promouvoir des initiatives locales comme les AMAP, et de bien vous renseigner sur les pratiques locales. Une belle occasion de découvrir votre région ?

Source : Inform'Action (2012)

12 avril 2016

FLASH - La guerre civile inconcevable en France

Pendant que l'on amuse le peuple de débats oiseux, l'État recule. De renoncement en renoncement, la libanisation de notre pays semble inexorable.

Le psychodrame national actuel au sujet de la déchéance de nationalité constitue une synthèse pratiquement parfaite des faiblesses de nos institutions et de notre vie politique. Confronté à l'imprévu, le président réagit précipitamment par une combinaison d'astuce tacticienne, d'effets de communication et de récupération politique. Ses frondeurs en profitent pour le mettre dans l'embarras en affichant leurs « valeurs » et leur « conscience de gauche », devant des médias friands de scandales artificiels. Les Français cèdent à leur penchant habituel pour les débats idéologiques, tandis que l'opposition cherche à utiliser la dernière polémique pour faciliter son retour au pouvoir.

Rien donc de nouveau dans l'affaire, et le second élément ne l'est pas davantage ; c'est la peur, celle-là même qui est responsable de la confusion actuelle : peur d'appliquer les lois, peur de nommer les choses, peur d'être accusé de racisme ou d'islamophobie, peur de sanctionner, peur de perdre les élections, peur de la condamnation des instances supranationales, et surtout peur de s'attaquer aux véritables problèmes qui minent le pays.

L'engrenage

C'est précisément cette crainte de sévir, de trancher et d'affirmer l'autorité de l'État qui explique la pérennité et la multiplication des zones de non-droit, le développement des trafics d'armes, de drogues et d'êtres humains, le délitement du système scolaire, l'envolée des « incivilités » et de la délinquance, l'anarchie du système carcéral, l'immigration incontrôlée, la naturalisation bradée, le communautarisme rampant, les prêches de haine dans les mosquées intégristes et la quasi-absence d'expulsions de déboutés du droit d'asile – ou même de terroristes.

Il suffit de suivre l'enchaînement et l'imbrication de tous ces facteurs pour comprendre l'impasse actuelle : l'immigration incontrôlée a provoqué entassement, chômage, déracinement, déscolarisation, haine de la France, phénomènes de bandes et petite délinquance. D'abord non sanctionnée, celle-ci a prospéré dans les zones de non-droit, puis elle a abouti à une criminalité plus dure, débouchant souvent sur la case prison ; que ce soit durant une incarcération mal contrôlée, dans les mosquées ou sur Internet, les délinquants sont tombés sous l'influence des intégristes prêcheurs de haine, qui leur ont donné une raison de vivre – et même de mourir. Les autorités étant incapables d'intervenir efficacement à l'une quelconque des étapes de ce processus infernal, il ne pourra que s'amplifier à l'avenir – d'autant que les enfants de ces intégristes, élevés dans une ambiance de haine, risquent d'être encore plus féroces et meurtriers que leurs parents…

Peur de la peur

Ce sombre tableau sera rejeté par bien des lecteurs, non parce qu'il ne correspond pas à la réalité, mais parce que l'admettre obligerait à avoir peur. Or, non seulement nous craignons la peur, mais encore nous craignons d'admettre que nous avons peur. Dès lors, la suite prévisible des événements se verra opposer un déni encore plus catégorique ; cette suite, c'est la conséquence logique de la faiblesse des autorités et de l'expansion du communautarisme dans les zones de non-droit. « La charia s'applique là où nous sommes majoritaires ! » a-t-on entendu en Allemagne et aux Pays-Bas. « Les agents de l'État français ne peuvent pas entrer chez nous ! » entend-on de plus en plus fréquemment dans certaines banlieues françaises. Quel que soit l'avenir de Daech – qui finira par disparaître, victime à la fois de ses ennemis et de ses dissensions internes –, la France connaîtra inévitablement l'accentuation d'un processus de communautarisme et de libanisation.

Des scénarios « inconcevables »

Bien entendu, ce processus ne mènera pas à la guerre civile, car ce serait inacceptable, et dans la pensée magique, l'inacceptable ne saurait se produire. D'autant que la perspective d'une telle guerre alarmerait le peuple, et rien n'est plus dangereux qu'un peuple alarmé – sinon un terroriste fanatisé. C'est d'ailleurs dans l'espoir de « rassurer les populations » que les autorités envoient des militaires en uniforme patrouiller et servir de gardes statiques – tout en sachant parfaitement qu'ils ne peuvent rien prévenir et constituent des cibles idéales pour un tueur bénéficiant de l'effet de surprise.

Bref, cette guerre civile impossible, impensable et inacceptable peut se déclencher de l'une des quatre manières suivantes : le premier scénario, un affrontement entre l'extrême droite et les salafistes, est aussi le moins vraisemblable ; en France, comme partout en Europe, les extrémistes s'en prennent rarement aux extrémistes, préférant les affrontements à moindre risque contre les modérés et l'État désarmé – même si l'on peut craindre des actions de représailles pour remédier à une démission trop ostensible des autorités.

Dans le deuxième cas, certaines banlieues, villes ou conurbations du pays entreront en dissidence, hissant le drapeau noir de Daech, le drapeau blanc et noir d'Al-Qaïda, le drapeau jaune du Hezbollah ou le drapeau vert des nouveaux islamistes qui auront émergé dans l'intervalle ; même un gouvernement faible ne pourra le tolérer, et les opérations de reconquête par l'armée, la gendarmerie et les groupes d'intervention seront longues et sanglantes.

Le troisième scénario est celui d'un effondrement de l'économie française, consécutif aux multiples errements que nous connaissons déjà ; dans un tel cas, les innombrables allocations assurant la paix sociale devront être réduites ou supprimées, ce qui provoquera des émeutes difficilement contrôlables, eu égard à la masse des bénéficiaires de l'assistanat, à l'échauffement des esprits, à l'effervescence religieuse et à la libre circulation des armes de guerre…

Les conflits importés

Le dernier cas est celui d'une dérive fatale des affrontements intercommunautaires, précipitée ou non par des événements extérieurs ; les hostilités déjà familières – et minimisées - entre Roms et Beurs, musulmans et juifs, Corses et Marocains, Kurdes et Turcs, Tamouls et Sri-Lankais, mafias italiennes et tchétchènes peuvent se doubler à l'avenir de conflits ouverts entre chiites et sunnites, Serbes et Kosovars, Érythréens et Somaliens, Indiens et Pakistanais, ajoutés à de possibles règlements de comptes d'ampleur entre Nigérians partisans ou non de Boko Haram, Syriens alaouites et opposants à Assad, Iraniens proches des ayatollahs et activistes des Moujaheddines du Peuple, Libyens affidés à Tripoli ou à Tobrouk, Afghans pro et anti-talibans, Pakistanais de diverses confessions, voire Hutus et Tutsis rwandais si les guerres tribales devaient reprendre en Afrique de l'Est.

À tout cela s'ajoute que les nouvelles vagues d'immigration massives vont sans doute charrier quelques courants de haines mortelles encore inconnues sous nos latitudes. Bien sûr, beaucoup de ces affrontements importés ne se produiront pas, mais qui osera affirmer qu'aucun n'éclatera ? Et que pourra faire dans cette éventualité une armée française épuisée par les gardes statiques, peu sûre de ses effectifs et moins encore de ses matériels ?

Les naïfs diront que ces déchaînements de violence se produisent certes en Afrique, au Proche et au Moyen-Orient, mais qu'ils ne peuvent s'exporter en France, pays du vivre ensemble et des droits de l'Homme ; les craintifs trembleront et se réfugieront dans un silence assourdissant ; les attardés et les indignés hurleront au contraire que le seul fait d'évoquer de telles possibilités pourrait les amener à se produire - tout comme au Moyen-Âge, on s'interdisait de prononcer le mot de peste par crainte de la convoquer… Et comme nous sommes en France, tout cela se terminera par des procès futiles et des joutes verbales stériles à visées électoralistes.

Le salut dans l'improbable

Pourtant, il faut bien ménager une place au hasard, car dans les destinées humaines, c'est souvent le plus imprévu qui est le plus certain. Dans ce cas, les scénarios probables nous seront épargnés, et la France trouvera finalement son salut dans la survenue de l'improbable…

Préparez-vous ! La guerre civile est IMMINENTE !

Source : Le Point

5 avril 2016

Le jour où la Lune disparaîtra

La Lune a une forte influence sur notre planète. Ce document passe en revue les conséquences qu'entraînerait sa disparition : multiplication des tsunamis, bouleversement des saisons, extinction de nombreuses espèces.

4 avril 2016

Les galaxies et l'Univers

Une galaxie est un assemblage d'étoiles, de gaz, de poussières et de matière noire, contenant parfois un trou noir supermassif en son centre.

La Voie lactée, la galaxie dans laquelle se trouve le Système solaire, compte quelques centaines de milliards d'étoiles (1011)1,2 et a une extension de l'ordre de 80 000 années-lumière. La plupart des galaxies typiques comportent un nombre similaire d'astres, mais il existe aussi des galaxies naines comptant à peu près une dizaine de milliards d'étoiles (1010)1, et des galaxies géantes comptant plusieurs milliers de milliards d'étoiles (1012). Sur la base de ces chiffres et de la taille de l'univers observable, on estime que celui-ci compte quelques centaines de milliards de galaxies de masse significative. La population de galaxies naines est cependant très difficile à déterminer, du fait de leur masse et de leur luminosité très faibles. L'univers dans son ensemble, dont l'extension réelle est inconnue, est susceptible de compter un nombre immensément plus grand de galaxies.

Les galaxies en tant que systèmes stellaires de grande taille ont été mises en évidence dans le courant des années 1920, principalement par l'astronome américain Edwin Hubble, bien que des premières données indiquant ce fait remontent à 1914. Les galaxies sont de trois types morphologiques principaux : elliptiques, spirales, irrégulières. Une description plus étendue des types de galaxies a été donnée à la même époque par Hubble et est depuis nommée séquence de Hubble.