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31 décembre 2016
L'Univers invisible
Voyage aux confins de l'Univers
30 décembre 2016
L'aventure spatiale : poussières d'étoiles
22 décembre 2016
FLASH - 10 bonnes raisons de faire à nouveau la révolution
- 1. La hausse des prix de 100% - La misère en travaillant
Alors que les prix augmentent, les salaires n'ont pas augmenté depuis 20 ans, et les salariés ne bénéficient jamais de la "croissance" ni des fantastiques profits réalisées par les entreprises.
Aujourd'hui, le salaire d'une majorité de salariés est à peine suffisant pour assurer la survie quotidienne. Autrefois, les seuls pauvres étaient des chômeurs. Avec le "nouvel ordre économique", il est devenu normal d'être pauvre en travaillant.
- 2. Deux poids et deux mesures pour les salariés et les dirigeants d'entreprises
Dans le même temps, les dirigeants qui ont ruiné leur entreprise conservent leur poste en bénéficiant même d'une augmentation de salaire de 20 ou 30% par an (parfois davantage), ou bien ils reçoivent des millions d'euros d'indemnités de départ (comme Michel Bon à France Telecom, ou Jean-Marie Messier à Vivendi Universal, parti avec 20 millions d'euros, soit 27.600 fois les indemnités de chômage du salarié de base).
En 2002, le salaire moyen des PDG des grandes entreprises françaises était de 2,07 millions d'euros par an. Pour gagner la même somme, un salarié de base devrait travailler pendant 172 ans (entreprises du CAC 40, l'indice boursier des 40 plus grandes entreprises françaises)
- 3. Deux poids et deux mesures pour la justice
Alors qu'on accorde toujours plus de liberté aux entreprises, le citoyen ordinaire est soumis à une répression policière de plus en plus oppressante, et à des réglementations de plus en plus contraignantes. A la moindre faute de sa part, les sanctions sont impitoyables.
Récemment, un automobiliste a été condamné à 2 ans de prison ferme pour un excès de vitesse qui n'a pas causé d'accident. Une mère de famille peut être condamnée à 4 mois de prison ferme si ses enfants ne sont pas allés à l'école. Et José Bové a été condamné à 18 mois de prison ferme pour avoir arraché des plants de maïs transgéniques dans un champs.
Dans le même temps, et dans des affaires qui ont causé des préjudices beaucoup plus graves, les élites politiques et économiques bénéficient d'une impunité systématique. Ainsi, Jean-Claude Trichet (ancien président de la Banque de France et membre du Groupe de Bilderberg) a été "totalement blanchi" à propos des malversations financières du Crédit Lyonnais. De même, Roland Dumas a échappé à une condamnation dans l'affaire d'Elf-Aquitaine, des frégates de Taiwan et de leurs commissions occultes. Et dans l'affaire du "sang contaminé", le ministre de la santé Edmond Hervé a été condamné à quelques mois de prison ferme, mais a été "dispensé de peine" par le tribunal. Etc, etc...
- 4. Le décalage entre les impôts élevés et l'inefficience croissante des services de l'état
Dans le même temps, la qualité de l'éducation se dégrade faute de professeurs en nombre suffisant, faute de locaux adaptés, et faute d'un matériel pédagogique moderne (ordinateurs, magnétoscopes, etc.).
Pire encore est le délabrement des services de santé. Dans les hôpitaux, il devient habituel que des blessés attendent pendant 24 heures sur un brancard dans les couloirs, faute de chambres et de personnel médical. Les opérations sont réalisées "à la chaîne" et les erreurs médicales se multiplient. A cause du manque d'hygiène dans les hôpitaux, les malades ont 1 chance sur 4 d'être contaminés par des maladies nosocomiales mortelles ou fortement invalidantes, causées par des bactéries devenues résistantes aux antibiotiques et qui abondent en milieu hospitalier (à cause de l'emploi abusif des antibiotiques par les médecins).
- 5. Le sabotage organisé des services publics pour justifier leur privatisation
Voici ce que l'on peut lire à propos de l'éducation publique dans un document de l'OCDE, l'organisation des Maîtres du Monde qui est également à l'origine de l'AMI :
"Si l'on diminue les dépenses de fonctionnement, il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de service, quitte à ce que la qualité baisse. On peut réduire, par exemple, les crédits de fonctionnement aux écoles et aux universités, mais il serait dangereux de restreindre le nombre d'élèves ou d'étudiants. Les familles réagiront violemment à un refus d'inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l'enseignement. Cela se fait au coup par coup, dans une école et non dans un établissement voisin, de telle sorte qu'on évite un mécontentement général de la population."(extrait du "Cahier de politique économique" n°13 de l'OCDE)
- 6. La corruption à tous les niveaux de l'Etat
Une autre cause de ce décalage est le train de vie somptuaire des ministres et des hauts fonctionnaires: luxueux appartements et voitures de fonction, déplacements en avion et en hélicoptère, voyages à l'étranger, nombreuses escortes de motards, gardes républicains mobilisés pour un protocole pompeux, repas avec les mets les plus raffinés, cocktails et réceptions dont le coût atteint couramment 100.000 euros pour une soirée... Tout ceci est une autre façon de détourner l'argent du contribuable.
- 7. Les subventions abusives distribuées par l'Etat aux entreprises
- 8. La collusion entre les gouvernements et les multinationales
De même, les seuils autorisés pour la pollution, les mises sur le marché des médicaments, ou encore les normes pour les produits alimentaires correspondent aux souhaits des industriels et non aux nécessités de la santé publique.
Il est temps d'exiger la "séparation de l'entreprise et de l'état", afin que les gouvernements soient à nouveau au service des citoyens, de leurs aspirations et de leur droit au bonheur.
- 9. Les accords multilatéraux négociés dans le dos des citoyens et qui vident la démocratie de son contenu
- 10. Le saccage de l'environnement par les entreprises, en toute impunité
"Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs."(article 35 de la constitution française de l'An 1 - 24 juin 1793)
Source : Syti.net
Qui veut vraiment faire la révolution ?
Les candidats à la présidentielle savent-ils que depuis 1789, la révolution désigne le renversement illégal et généralement violent d'un ordre établi pour en promouvoir un neuf, reposant sur des principes profondément renouvelés ? Alors, sont-ils vraiment prêts à faire la révolution ?
Quand est-ce que ça va péter ?
12 décembre 2016
FLASH - Pourquoi les bouchons explosent en région parisienne ?
Régulièrement, Sytadin affiche au compteur 400 kms de bouchons cumulés en moyenne matin et soir pouvant monter au-delà des 500 kms voire 600 ! Avec l'arrivée de la vignette, les voitures vont contourner la capitale via le périphérique ou les autoroutes pour éviter la prune mais les bouchons vont encore monter et les banlieues vont tousser avec la pollution. La mairie de Paris persiste et signe malgré la colère et la polémique
FLASH du 29 octobre 2020 - Plus de 700 kms de bouchons enregistrés en région parisienne la veille du confinement selon BFM - soit la distance "Paris - Nîmes" par la route - et avec les travaux du Grand Paris et les JO de 2024, les bouchons vont exploser et la barre des 600 kms pourrait être franchie (A1, A86 et périph : à éviter car risque fort de saturation totale aux heures de pointe surtout le secteur du Stade de France).
Quelques exemples de routes où sa sature rapidement ou constamment saturé : Périph, Francilienne, A86, A1, A3, A4, A13, A6, N118, A10, N2, D212, D34, D934,....
Bien évidemment, ce sont les quais hauts qui subissent la hausse de trafic la plus importante. Ils constituent en effet les voies de remplacement les plus immédiates depuis la fermeture des voies sur berges. Le quai Henri IV est le plus impacté, avec une hausse mesurée de 91% de la circulation, juste devant le quai de l'Hôtel de Ville, qui voit son trafic augmenter de 84%. Suivent le quai du Louvre et le quai de la Mégisserie, avec 48 %. La situation a également empiré sur les itinéraires de contournement, notamment le Boulevard St-Germain (+ 20 %) et le boulevard Poissonière (+ 19 %).
Pour autant, la Mairie de Paris maintient sa position. "Oui, il y a une densification du trafic mais cela reste supportable et il n'y a pas de congestion", maintient Bruno Julliard, Premier adjoint à la Mairie de Paris. L'équipe municipale espère dégoûter les automobilistes avec cette mesure. "Il faudra entre trois et six mois pour que les Parisiens, comme les visiteurs, changent leurs habitudes."
Quid de la banlieue ?
Même constat un cran plus loin, sur "l'autre" périphérique qu'est la rocade A86 : + 24 % sur le secteur de Bobigny et + 28 % sur le secteur de Créteil, par exemple. Il faut 12 minutes de plus (+ 15 %) pour rallier la Porte de Bercy depuis la Francilienne (N104). A l'Ouest de Paris, le rapport note que la situation s'est "dégradée" sur l'autoroute A13 et certains axes départementaux.
Si la Mairie de Paris qualifie les rapports commandés par Valérie Pécresse de "campagne de désinformation", de nombreuses voix s'élèvent contre cette mesure. Quatre élus d'Ile de France viennent ainsi de lancer un "manifeste francilien pour une circulation fluide et équitable", réclamant la suspension immédiate de la fermeture des voies sur berges. Par ailleurs, l'association 40 millions d'automobilistes estime que "Anne Hidalgo se moque du monde : tous les comités, toutes les études démontrent l'échec cuisant de sa mesure, mais elle n'écoute que les marges écologistes."
Pour autant, la Mairie de Paris compte persister dans sa politique, et prévoit d'autres mesures destinées à limiter la circulation automobile. Les pistes cyclables seront doublées, et le stationnement sera supprimé sur certains grands axes comme le Boulevard Saint-Germain. Par ailleurs, la place dédiée aux voitures sera réduite sur de grands ronds-points comme la place de la Nation ou la place de la Bastille. En compensation, la Mairie de Paris compte développer les transports.
Source : Challenges (AFP)
4 décembre 2016
L'obsolescence programmée et ses conséquences inquiétantes - Produire pour jeter et flinguer la planète !
Cela vous est certainement déjà arrivé plus d’une fois : un appareil qui tombe en panne sans raison, juste après le délai de garantie. Dans ces cas-là, on ne peut s’empêcher de pester contre le fabricant. Un mouvement de mauvaise humeur qui peut se transformer en grosse colère si l’appareil en question est impossible à réparer, faute de pouvoir l’ouvrir ou parce qu’il n’y a pas de pièces de rechange !
L'obsolescence programmée et ses conséquences inquiétantes
Lave-linges, ordinateurs, téléviseurs, smartphones... combien de fois ces appareils nous ont-ils lâchés juste après leur date d’expiration de garantie. Et très souvent tout est fait pour que la réparation soit impossible. Du coup, on change presque d’appareils comme de chemise. On appelle cela l'obsolescence induite ou programmée. Un terme qui désigne une stratégie industrielle nous poussant à consommer toujours plus et toujours plus vite en rendant les objets obsolètes par la mode ou la technologie.
Pour tenter d'endiguer cette surconsommation provoquée, certains politiques helvétiques, à l’image d’Adèle Thorens Goumaz, co-présidente Les Verts suisses, demandent des mesures concrètes.
Le cas des appareils numériques
Réservé à une élite, le téléphone portable est devenu un objet de consommation de masse. Aujourd'hui, en Suisse, on en compte plus de 10 millions en fonction pour 8 millions d'habitants. Soit près d'un portable et demi par habitant, bébé compris... En moyenne, on en change tous les 18 mois. Un délai qui risque bien de se raccourcir.
Nouveaux modèles sortant à un rythme effréné, changement de connectique et démultiplication des fonctionnalités ne sont pas les seules armes pour inciter au remplacement d'un appareil. Car lorsque ce dernier s’abîme, la réparation est volontairement rendue difficile. Rares sont les smartphones, baladeurs numériques et autres tablettes tactiles qui s'ouvrent sans un outillage spécial.
Par ailleurs, les conséquences environnemental et social de cette surconsommation sont inquiétantes: l’extraction des métaux nécessaires à nos appareils se fait dans des conditions déplorables; les cadences imposées aux ouvriers qui les fabriquent sont infernales. En Suisse, qui est pourtant le pays champion en matière de recyclage notamment en raison de l’existence d’une taxe anticipée de recyclage (TAR), 20 % des produits électroniques finissent tout de même par des voies détournées dans l’océan des déchets électroniques.
Le bon sens et les nouvelles technologies contre la surconsommation
La surconsommation à laquelle nous poussent le marketing et les stratagèmes conduit à l'épuisement des ressources telles que le lithium, qui compose nos batteries de portables ou d'ordinateur. Sa demande est en train d'exploser. Selon certains spécialistes, au vu des réserves actuellement connues, il en resterait pour un peu plus de dix ans. C'est dire l'urgence à allonger la durée de vie de nos objets pour économiser nos ressources. C'est là que le bon sens et les nouvelles technologies pourraient nous être d'un grand secours: exemples d’une cordonnerie qui bannit la notion d’obsolescence, et d’une imprimante 3D qui permet de re-modeliser un objet cassé.
2 décembre 2016
AVERTISSEMENT - Risque de destruction de richesses à 90%
Croissance des prix des actions = croissance de la dette
Les marchés actions ont bénéficié massivement de la plus grande expansion monétaire que le monde n’ait jamais connue. Si nous regardons le Dow Jones depuis le début du dernier cycle majeur au début des années 1980, nous constatons une hausse des plus remarquables. Au début de 1980, le Dow était à 850 et, aujourd’hui, il est à 19 000. Il s’agit d’une hausse de plus de 18 000 points en 36 ans. Ce qui veut dire que le Dow Jones a grimpé de 9% par an en moyenne depuis 1981. Une augmentation annuelle de 9% fait que l’indice double tous les huit ans. Quel investissement ! Vous achetez des actions en 1980 pour 10 000 dollars et aujourd’hui, en 2016, elles valent 220 000 dollars, sans que vous n’ayez à lever le petit doigt. En plus, les dividendes ont rapporté environ 2% en moyenne. Mais cette croissance du marché action n’est pas due au marché lui-même – les actions ne grimpent pas annuellement de 9%, pendant 36 ans, sans du carburant pour fusée. L’explication est simple : c’est la dette qui a servi de carburant, parce que la dette américaine a aussi grimpé de 9% par an depuis 1981. Alors, la recette pour devenir un président couronné de succès et aimé est simplement d’imprimer et d’emprunter. La corrélation est absolue entre l’augmentation de la dette américaine et la croissance des marchés actions.
Reagan connaissait le secret : durant son mandat, il a triplé la dette, de 900 milliards de dollars à 2,6 trillions de dollars, ce qui fit doubler le Dow Jones, de 960 à 2 200 points. Clinton n’a pas eu à faire tourner la planche à billets au maximum pour pousser le marché à la hausse, contrairement à Bush Jr. qui a dû quasiment doubler la dette pour tenter de le faire, mais le marché finit au plus bas que lorsqu’il prit la présidence huit ans plus tôt. Obama, lui, a doublé et la dette et le Dow, en ligne avec la tendance à long terme. Le problème, pour Trump, est que nous sommes au point de rendement décroissant – cela avait déjà débuté sous George W. Bush. Lorsque Bush Jr. prit le pouvoir, le Dow était à 10 800, et il est maintenant à 18 800, soit une augmentation de 74%. Mais pour obtenir cette hausse de 74% du Dow Jones, il a fallu que la dette grimpe de 250%. Cela signifie que Trump devra imprimer une sacrée quantité de monnaie pour continuer à stimuler les marchés. En plus, le Dow est à un niveau record, avec un ratio cours/bénéfices supérieur à 20, et les profits des sociétés sont en chute... cela sera pratiquement impossible à réaliser. Les chances de Trump de se faire réélire au bout de quatre ans sont très minces, à cause du niveau actuellement élevé du marché boursier et du niveau record de la dette publique américaine. Mieux vaut devenir président avec une économie faible et un marché boursier faible, comme Reagan.
En 1929, le Dow Jones a atteint un pic de 400 et avant de s’effondrer à 40 en 1932 soit une division par 10 ! Cette chute de 90% est survenue à un moment où les conditions économiques aux États-Unis et à travers le monde étaient bien meilleures qu’aujourd’hui. Depuis 1981, le Dow Jones a vu sa valeur multipliée par 22. Alors que le monde connaît une bulle historique d’actifs et du crédit d’une ampleur sans précédent, une implosion de la dette pourrait facilement faire chuter le Dow de 90%, comme en 1929-1932, ou probablement même de 95%, pour retomber à 850, là où ce marché haussier a débuté. Cela signifierait une chute de 95% en termes réels. Je dis "termes réels" parce que nous assisterons probablement au plus grand programme d’impression monétaire de l’histoire. Les banques centrales mondiales imprimeront des milliers de milliards, même des quadrillions, de dollars dans une tentative désespérée de sauver le système financier et l’économie mondiale. Cette impression monétaire massive pourrait faire grimper le Dow bien plus haut, en termes nominaux ou hyper-inflationnistes.
Le Dow Jones chutera de 90% en termes réels
La meilleure façon de mesurer le Dow Jones en termes réels est de le comparer à l’or. L’or est la seule monnaie qui a survécu lors des 5 000 dernières années, et il représente un pouvoir d’achat stable donc on appelle cela : une valeur refyge. L’or ne prend pas de valeur avec le temps – c’est plutôt la monnaie papier ou fiduciaire qui ne cesse de se déprécier jusqu’à atteindre zéro.
Le ratio Dow/or a atteint un pic en 1999, et il est maintenant dans une tendance baissière. Une fois la correction actuelle terminée, le ratio continuera à tomber vers 1:1, comme en 1980, alors que le Dow Jones était à 850 points et que l’or était à 850 dollars l’once. La seule question est de savoir à quel niveau le Dow Jones et l’or seront lorsqu’ils atteindront ce ratio de 1:1. Est-ce que le Dow sera à 10 000 et l’or à 10 000 dollars ? Ou verrons-nous des niveaux hyper-inflationnistes, avec le Dow Jones à 100 000 points et l'or à 100 000 dollars ? Le niveau absolu n’a pas d’importance, parce qu’à n’importe quel niveau, cela impliquera une perte catastrophique de capital pour n’importe quel investisseur sur les marchés actions.
Lorsque le ratio atteindra 1:1, cela signifiera une perte de plus de 90%, en termes réels, pour les investisseurs en Bourse (1 million de dollars en actions vaudra moins que 100 000 dollars en cash d’aujourd’hui). N’oubliez pas que la dernière fois que l’indice Dow Jones s’est effondré de 90%, en 1929-1932, il a fallu 25 ans pour revenir au pic précédent.
Le marché de l’immobilier perdra plus de 75%
Le marché de l’immobilier a également été alimenté par l’explosion du crédit. Je rencontre plusieurs riches investisseurs qui croient que l’immobilier constitue la meilleure forme de préservation de richesse. Il est vrai, bien sûr, que l’immobilier a été un formidable investissement, ces cent dernières années. Pendant des centaines d’années avant 1913, l’inflation est demeurée stable à 1-2% par an. C’était la même chose avec l’immobilier. La valeur d’une maison, au début des années 1700, ne s’est pas beaucoup appréciée pendant 200 ans, jusqu’au début des années 1900. Mais la création de la Fed a conduit à la croissance du crédit et à l’impression monétaire, qui ont pris des proportions exponentielles dans presque tout le monde occidental. C’est pourquoi les prix de l’immobilier ont grimpé de manière foudroyante sur un bon siècle. Mais il peut être dangereux de croire que l’immobilier représente une valeur réelle après avoir connu la plus grande hausse de l’histoire. Ces dernières années, cette bulle a, en plus, été gonflée par du cash presque gratos et des taux d’intérêt à zéro ou négatifs.
En termes d’or, la valeur de l’immobilier a atteint un pic au début des années 1970. Depuis, la valeur moyenne d’une maison américaine a chuté de 87% par rapport à l’or. On pourrait croire que l’immobilier, aux États-Unis, ne chutera pas beaucoup à partir de ces niveaux. Mais lorsque l’on regarde le niveau élevé des prêts du secteur immobilier, combiné aux taux d’intérêt bas, il est fort probable que l’immobilier, dans le monde occidental, chutera encore. Une cible minimale serait le niveau de 1980, ce qui impliquerait une chute de 50% en termes réels, par rapport à l’or. Mais compte tenu de la bulle immobilière, il est plus probable que nous assistions à une chute de 75%-90% depuis le niveau actuel, ce qui voudrait dire qu’il descendrait au moins à 10 sur l'indice Case-Shiller.
La chute du prix des actifs et la hausse importante de la valeur de l'or pourraient se produire dans les cinq prochaines années. Si tel était le cas, les investisseurs dans les actions et l'immobilier perdront 75 à 90% de leurs actifs en termes réels. Cela ne devrait pas être considéré comme une chute démesurée, mais plutôt comme une correction salutaire, après avoir connu les plus grosses bulles d'actifs et de crédit de l'histoire. Oui, cela engendrera de la misère et nécessitera des ajustements majeurs pour la plupart des gens. Mais cette adaptation est nécessaire afin que le monde puisse à nouveau connaître la croissance, mais sans dette excessive. Parce qu'avec des dettes de l'ordre de 250 000 milliards $ et des millions de milliards de produits dérivés, l'économie mondiale ne peut tout simplement pas avancer. Toute cette dette devra imploser, entraînant avec elle les actifs qu'elle a soutenus.
La meilleure protection : l’or est une valeur refuge
Clairement, l’or peut offrir une protection contre la destruction de richesse à venir. Mais il doit s’agir d’or physique, détenu hors du système bancaire ou financier, en-dehors du pays de résidence de l’investisseur. L’or doit aussi être conservé dans un pays politiquement stable.
La correction actuelle du prix de l’or devrait être ignorée. Elle est due à la manipulation et à un dollar qui est temporairement fort. Il est essentiel de se couvrir contre les risques que j’ai évoqués plus haut, et l’or constitue la meilleure protection que quiconque puisse posséder. Les gens qui ne possèdent pas d’or s’exposent à des risques financiers et humains monumentaux.
Article traduit sur Gold Switzerland
27 novembre 2016
Hors-la-loi - Entrer en prison
Cette trilogie documentaire suit le parcours complet de six protagonistes mis en cause par la justice, depuis leur interpellation jusqu’à la fin de leur peine.
À leurs côtés tout au long des procédures judiciaires, dans les lieux de police, de justice et de détention, le film propose une expérience singulière qui confronte le spectateur aux réalités concrètes de la mécanique judiciaire.
Ils ont été incarcérés après avoir commis un grave délit, tentative d’homicide, cambriolage ou agression sexuelle. Pour ces six prisonniers se pose alors la question du temps de peine, entre une détention indéfiniment provisoire et les passages par les juridictions d’appel. Le souvenir des faits commis devient de plus en plus lointain et chacun tente désormais de s’adapter à un environnement dans lequel il pourrait bien rester des années.
22 novembre 2016
La non-assistance à personne en danger
Qu'est-ce qui pousse un individu à venir au secours d'une personne en péril. Face à une agression, le témoin qui demeure passif est traversé par maintes interrogations.
La journaliste Aurélia Bloch a elle aussi été témoin d'un viol et n'a pas agi. Est-elle coupable de non-assistance à personne en danger ? Pour la première fois, elle relate cette histoire qui la hante depuis des années
15 novembre 2016
En conscience
Nous avons également interrogé des psychiatres, des psychologues en milieu hospitalier, et d'autres spécialistes pour tenter de percer la réalité de ces phénomènes. Que disent ces expériences sur notre conscience et sur la structure de la réalité ? Comment prendre conscience de la véritable nature de notre être ?
14 novembre 2016
Le saut quantique
13 novembre 2016
Quand la France vacille !
Au-delà des images qui ont profondément marqué tous les Français, ce document raconte, après des mois d'enquête, comment l'Etat a fait face à cette série d'attaques d'une ampleur inédite. Malgré les pressions, des policiers, des membres du RAID et des agents du renseignement ont pris le risque de s'exprimer, sans y être autorisés, devant la caméra.
11 novembre 2016
Au coeur d'une unité d'élite - GIGN et RAID, une vie hors du commun
L'une de ses forces premières : le flagrant délit. Interpeller les criminels au moment des faits, notamment lors de spectaculaires braquages à main armée, a valu à la BRI de nombreux succès. En situation de crise, ou en état d'urgence, les hommes de la BRI sont aussi appelés à intervenir, notamment en cas d'attaques terroristes. Lors de la prise d'otages de l'Hypercacher, c'est le blindé d'assaut de la BRI qui était en première ligne. Et dans le cadre de l'Euro (10 juin-10 juillet 2016), les hommes de la BRI sont d'ores et déjà mobilisés pour cet évènement sous haute tension.
Composée de 360 policiers, répartis dans une quinzaine de brigades en France, la BRI a exceptionnellement ouvert ses portes à Enquête Exclusive. Qui sont ces policiers d'élite ? Comment sont-ils recrutés, sachant que seuls 30 policiers sont sélectionnés par concours chaque année pour rejoindre la brigade ?
Pour la première fois, 3 BRI, celle de Nanterre, Versailles et Strasbourg, nous ont permis de suivre leur travail au quotidien, du début des enquêtes jusqu'aux interpellations en flagrant délit.
Avec la BRI Versailles, c'est une affaire de vols avec violence en bande organisée qui va mobiliser l'unité. Avec eux, nous découvrirons que les criminels sont prêts à tout pour échapper aux forces de l'ordre.
À Strasbourg, et avec le soutien des hommes de la BRI nationale, ce sont les vols par ruse qui occupent les enquêteurs. Leur objectif : démanteler un gang de braqueurs qui se faisait passer pour une unité de faux policiers.
Enfin, nous découvrirons l'autre facette de leur mission, la lutte anti-terroriste. Car aujourd'hui, grâce à l'expérience de ses hommes, la BRI est avec le RAID et le GIGN l'une des trois forces d'interventions prêtes à faire face à tout attentat.
6 novembre 2016
Aux frontieres de l'Univers
19 octobre 2016
EXPLOSIF - Quand les marchés publics dérapent !
Ce document vous propose de découvrir les coulisses des marchés publics qui permettent à l’Etat de faire appel à des entreprises privées afin de réaliser ses projets. Qu’il s’agisse de constructions ou d’équipement, l’Etat a recours à de nombreux sous-traitants et certains dossiers suscitent des interrogations. Dans le viseur, le grand Stade de Nice dont la construction a été confiée à Vinci va faire l’objet d’une investigation dont les révélations qui pourraient être explosifs.
Un partenariat public / privé
Ce document se penche également sur un contrat record entre le Ministère de la défense et le géant de l’informatique Microsoft qui équipe désormais 200 000 ordinateurs de l’armée française. Un choix coûteux pour les finances publiques et… très périlleux pour la sécurité nationale ainsi que sur l’agence Pôle Emploi qui n’hésite pas à recourir à des sociétés privées payées grassement afin de se décharger de ses fonctions.
Frôlant parfois le conflit d’intérêts et utilisant les finances de l’Etat, les marchés publics sont une association entre le public et le privé qui méritent plus de transparence et certains de ces mariages coûteux pour le contribuable ont de quoi inquiéter les citoyens quant à la répartition des finances publiques destinées à des entreprises privées.
Notre armée ferait mieux de dégager Windows - qui est truffé de logiciels espions et failles de sécurité avec en prime : l'obligation d'utiliser un compte Microsoft - pour passer à Linux tel que Ubuntu avant que la NSA fouille dans nos affaires !
18 octobre 2016
FLASH - Les hôpitaux redoutent un big bang sur le temps de travail et le personnel soignant payé au lance-pierres
Comment résoudre cet insoluble casse-tête, faire tourner les hôpitaux publics à plein régime avec 22 000 personnes en moins d’ici à 2017 ? La question hante les directeurs hospitaliers et affole le personnel soignant. Illustration à Tours, où le passage aux 12 heures oppose équipes de jour et équipes de nuit. En attendant, notre santé vient de prendre un coup dans la gueule !
La journée de douze heures de travail, même à l’hôpital, est dérogatoire et doit être justifiée par les « nécessités du service ». Pourtant, ce régime des douze heures concernent aujourd’hui 11 % du personnel soignant (selon l’ATIH). Les chiffres sont en « constante augmentation », selon un rapport sur le temps de travail dans la fonction publique, coordonné par Philippe Laurent et publié en mai 2016. Les 12 heures quotidiennes posent de manière accrue la question de la pénibilité et de la sécurité des soins à l’hôpital. L’an dernier, le tribunal administratif de Paris a ainsi jugé illégal le passage à la journée de 12 heures au sein du service de réanimation chirurgicale de l’hôpital Tenon, à Paris. Plusieurs études pointent également sa nocivité.
Au CHU de Tours, les syndicats Sud Santé et CGT sont persuadés que le projet est pourtant bel et bien sur les rails pour les services de réanimation, malgré les dénégations de la direction. « Ce sujet n’est pas d’actualité au CHU de Tours, nous n’avons donc pas lieu de communiquer spécifiquement sur ce point », assure le service communication de l’hôpital. Cependant, des groupes de travail existent depuis plusieurs années sur la question de la réorganisation du temps de travail au sein de l'établissement (notamment sous l’impulsion du chef du service de réanimation, favorable à l’idée des 12 heures), dont la réflexion se serait même précisée depuis le printemps et pourrait se concrétiser l’an prochain.
« La direction peut vous dire droit dans les yeux qu’elle n’envisage pas le passage aux 12 heures, parce qu’elle fonctionne toujours de la même manière, reproche Claire Delore, secrétaire du syndicat CGT du CHU. Elle fait en sorte, par ces groupes de travail, et en laissant prospérer les non-remplacements et la désorganisation du travail, que ce soit à la demande des agents. » À Toulouse, la CGT avait déjà dénoncé une forme de participation pipée sur les cadences, inspirée selon elle des techniques du lean-management. « Une forme de piège se ferme sur les agents qui se laissent convaincre : ils ont une autonomie, mais dans un cadre tellement contraint qu’ils rognent eux-mêmes sur la sécurité, leur repos, la qualité et le prendre soin dans le cas de l’hôpital pour tenir les cadences. »
De quoi s’agit-il concrètement ? Actuellement, au CHU de Tours, trois services sont passés aux 12 heures et ce depuis fort longtemps, au nom de cette fameuse continuité de service : la maternité, la sécurité incendie ainsi que le SAMU. Les autres agents continuent de faire des journées de 7 heures 30 ou de 10 heures, selon les services. Selon la réflexion engagée, il s’agirait de faire passer la réanimation médicale, puis l’ensemble des services de réanimation (au total une centaine de personnes) aux 12 heures de travail continu.
Ce système a des adeptes, rappelle le rapport de Philippe Laurent sur le temps de travail dans la fonction publique évoqué plus haut : « Cet horaire ne génère pas de jours de RTT mais permet aux agents de remplir leurs obligations hebdomadaires en travaillant trois jours par semaine en moyenne ; il est plébiscité par les agents car il permet de réduire les temps de trajet, d’avoir de vrais temps de repos et des journées de travail moins compactes. Pour les établissements, il permettrait des gains en personnel. »
Les médecins y sont également souvent favorables, car les 12 heures en continu collent bien mieux avec leurs propres pratiques professionnelles. À titre d’exemple, la saisissante mobilisation à l'hôpital de Dreux, cette année: en 2005, une vingtaine de services étaient passés, au forceps, aux 12 heures. Lorsque, cette année, la direction a souhaité revenir à 7 heures quotidiennes, elle a dû affronter la fronde du personnel, attachée à son nouveau rythme.
À Tours, les équipes de jour sont elles aussi plutôt partantes pour les journées de 12 heures, pour les raisons invoquées plus haut. En ce qui concerne les équipes de nuit, c’est une autre histoire. La grande majorité des agents sont vent debout, assurent Sud Santé et la CGT. « Lorsque, la nuit, on exerce, pendant dix heures, un métier technique comme la réanimation, on est très fatigué, raconte un infirmier, non syndiqué. Avec deux heures de plus, il y a déjà un risque d’accident. Et si je fais 12 heures la nuit, et que je dors 6 heures en rentrant chez moi, qu’est-ce qu’il me reste pour ma famille et ma vie sociale ? » « Les agents les plus motivés sont souvent les jeunes, qui n’ont pas d’enfants, souligne Damien Seguin, responsable Sud Santé à Tours. Mais cette opposition crée une vraie tension dans le service, c’est un sujet tabou. »
Face à ces différences d’analyse, l’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents (INRS) a lancé une mission sur le sujet et tenté de synthétiser l’ensemble des travaux français et anglo-saxons sur les douze heures. Ses conclusions sont sans appel : la journée de 12 heures ne devrait être adoptée que dans les cas « d’absolue nécessité ».
L’INRS liste les troubles qui y seraient associés. « Les effets secondaires les plus documentés de ces postes longs comparés aux postes de 8 heures sont la prise de poids, l’augmentation des erreurs, d’accidents du travail et de trajet, des conduites addictives, des troubles musculos-quelettiques (TMS) et des pathologies du dos. » L’institut sabre également l’argument de la conciliation vie privée-vie professionnelle, en particulier pour les travailleurs de nuit. « Les salariés exposés
à ces horaires atypiques doivent réaliser un arbitrage entre leur santé et leur disponibilité familiale, et ceci fréquemment au détriment de leur santé. »
Cette étude, tout comme la décision du tribunal administratif de Paris qui a jugé le passage aux 12 heures illégal pour le service de réanimation chirurgicale de l’hôpital Tenon, est à lire également comme une analyse plus générale de l’organisation du travail au mois et à l’année, avec le dépassement prévisible du plafond hebdomadaire autorisé (48 heures par semaine).
Au CHU de Rennes, les services de réanimation adulte puis enfant sont passés aux 12 heures en 2011. Il y a deux ans, ce sont les agents des urgences qui ont à leur tour augmenté la cadence quotidienne. Pour un résultat « très mitigé », explique Marie-Claude Rouaux, secrétaire du syndicat CGT du CHU. « On avait fait miroiter aux agents, en plus des commodités personnelles, un dimanche travaillé en moins. Mais récemment, la direction a demandé une refonte des plannings pour ne pas dépasser les 48 heures par semaine. Or, c’était à ce prix qu’ils avaient gagné un dimanche de repos. »
Pour la militante CGT, le débat sur les journées de douze heures est l’arbre qui masque la forêt. « Nous travaillons en total sous-effectif, lié au fait qu’on remplace de moins en moins les absences à l’hôpital. À la place, la DRH[Direction des ressources humaines] fait revenir les gens. Mais si on peut le faire avec du personnel en 7 heures 30, c’est impossible en 12 heures. Ou alors, on serait totalement en dehors des clous réglementaires. »
« Renoncer à 22 000 postes supplémentaires »
À Tours, c’est également la perspective d'un projet plus global qui inquiète les syndicats. Une contribution, préparée en janvier 2016 par la commission nationale des directeurs des ressources humaines (DRH) et coordonnateurs généraux des soins (CGS) de CHU, a été remise lors de la rédaction du rapport sur le temps de travail dans la fonction publique, commandé par le premier ministre à Philippe Laurent. La présidente de cette commission est bien connue des soignants tourangeaux, puisqu’il s’agit de Marie-Noëlle Gérain-Breuzard, directrice générale du CHU de Tours.
Dans cette contribution, que Mediapart a pu consulter, les recettes pour mettre fin au flou juridique qui entoure notamment les 12 heures et améliorer la performance des hôpitaux sont assez drastiques. Sur le travail journalier, « les évolutions structurelles des établissements de santé justifient désormais régulièrement la mise en place de modèles en 12 heures et en 10 heures ». Et pour ne plus avoir affaire au veto du tribunal administratif, la commission propose donc de passer à 12 heures en tant que durée quotidienne de référence de travail, après un simple « avis » des instances représentatives du personnel. Le temps de repos minimal obligatoire entre deux périodes de travail (actuellement de 11 heures) pourrait descendre à 9 heures, toujours pour assurer « la continuité du service public ».
Plus loin, la commission souhaite également en finir avec les « cycles de travail et les règles de planification actuels, pour ne pas limiter l’imagination organisationnelle dans la construction des plannings ». Actuellement, un grand nombre de soignants travaille en cycle (qui peut s’étaler sur plusieurs semaines, sans être fondé sur un rythme semaine/week-end classique). Ce cycle ne peut pas se poursuivre au-delà de 12 semaines, mais la commission veut faire sauter purement et simplement « cette borne ». Dans le même genre, l’agent ne peut pas aller aujourd'hui au-delà de 44 heures par semaine, il pourrait passer à 46 heures.
Forcément, un tel plan d’attaque, qui va jusqu’à sortir le temps d’habillage et de déshabillage du temps de travail et ouvrir plus largement le recours aux astreintes, a fait grincer des dents. Même s'il s'agit pour le moment d'une simple « contribution ». Damien Seguin, chez Sud, s'alarme d'un projet de « loi El Khomri appliquée à la fonction publique hospitalière, ni plus ni moins ». Lors du mouvement contre la loi sur le travail portée par la ministre au printemps, un certain nombre de soignants, interrogés dans les cortèges, faisaient effectivement leur cette inquiétude. « Il faut replacer le contexte, insiste Claire Delore, de la CGT. La fonction publique hospitalière doit renoncer à 22 000 postes supplémentaires. À Nantes, début octobre, les DRH de la fonction publique hospitalière se sont réunis et ils ont admis qu’une refonte était en train d’être réfléchie. »
À cette occasion, les DRH de la fonction publique hospitalière ont déclaré, selon le baromètre de la fonction publique hospitalière, que « la maîtrise de la masse salariale était le premier sujet de mobilisation pour 80 % d'entre eux, un taux bien supérieur au secteur privé », précise l’étude. Derrière, vient « l’organisation du temps de travail », pour 48 % des sondés.
Le passage des hôpitaux publics en groupement hospitalier de territoires (GHT), en juillet dernier, a déjà sonné comme une alarme pour les syndicats. « Marisol Touraine nous avait prévenus que rien ne serait comme avant avec sa loi Santé, et sa conseillère avait aussi admis que les GHT constituaient un levier pour une fonte de la masse salariale, rappelle Claire Delore. Mais les hôpitaux sont déjà au bout du rouleau ! Quand j’entends qu’on organise en parallèle des colloques et des tables rondes sur la souffrance et le stress au travail, ça me met hors de moi. »
Sa collègue cégétiste à Rennes est du même avis : « Chaque semaine, chez nous, le directeur du personnel du CHU fait le point avec le directeur des soins et les cadres de santé sur les absences. Ils ne remplacent les agents que quand “le seuil de tolérance est atteint”. Ce sont leurs termes. Ça devient vraiment insupportable pour le personnel, on vit des situations dramatiques. »
Source : Mediapart
Ça suffit !!! pic.twitter.com/7qr1btpDnw— L'État de fumier ✊ (@libertaire10) 26 octobre 2016
15 octobre 2016
L'Univers et ses mystères - Entre science et fiction
11 octobre 2016
CARTON ROUGE - Smartphones explosifs, à qui la faute ?
Carton rouge bien mérité pour Samsung pour mise en danger de la vie d'autrui avec ses bombes vendues. C'est beau la high-tech explosive, n'est-ce pas ?
Selon des sources, des propriétaires de véhicules on vu leurs bagnoles flamber et certains ont failli mettre le feu à leurs baraques pendant le rechargement de la batterie. Les smartphones peuvent vous péter à la gueule et ceci vient d'arriver : un enfant a vu son smartphone partir en fumée avant d'exploser dans ses mains.
Mais Samsung n'est pas le seul constructeur dont les produits explosent parfois. C'est arrivé à Sony sur des ordinateurs VAIO en 2014, à Dell qui en a rappelé 4 millions en 2006, à des vélos électriques, et même aux Boeing 787 Dreamliner. Cet été, ce sont 500 000 hoverboards de toutes marques qui ont été rappelés à cause de leur batterie lithium-ion. Apple aussi, a des iPhone explosifs.Sur la vidéo, qui est virale, la serveuse tente de dégager le smartphone en feu du restaurant malgré ses gants anti-brûlures
Motorola, Apple, Samsung… La longue histoire des explosions de téléphones https://t.co/cL8zN1tcEd pic.twitter.com/NH1weBTYVg— Slate.fr (@Slatefr) 11 octobre 2016
Putain, c'est de la bombe ce smartphone !
Des incidents signalés au niveau de la batterie du nouveau smartphone de Samsung ont flingué les espoirs de la firme coréenne et l'action en bourse a dévissé suite aux témoignages et vidéos qui ont fait le tour du monde. En effet, les smartphones en question s'auto-détruisent !
Le feu aux fesses ! Une fois de plus, son smartphone s'auto-détruit dans la poche de son froc...
La fin de l'été 2016 est marqué par plusieurs explosions du Samsung Galaxy Note 7, mais comment un smartphone peut exploser ? Quel téléphone peut exploser ? Au mieux, vous savez probablement déjà que la partie la plus dangereuse d'un téléphone est la batterie, mais nous allons voir en détail comment ces cas pourraient survenir et aussi ce que les mesures de sécurité doivent être prises.
- Comment la batterie d'un smartphone peut-il exploser ?
Les batteries que nos smartphones utilisent actuellement (et la majorité des appareils aussi) et contiennent des composants inflammables. Ils sont des batteries au lithium, à la fois Li-ion et Li-Po. Toutes les batteries ont une cathode et une anode (positive et négative), une substance qui réduit et donne des électrons et un autre qui oxydent et les recueille. Ce transfert est utilisé pour fournir de l'énergie au smartphone.
Dans toutes les batteries, la cathode et l'anode sont séparées par une membrane. Si la cathode et l'anode se touchent alors qu'ils réagissent chimiquement et, dans le cas de batteries au lithium qui est une réaction très rapide. Il ne constitue pas une explosion, mais plutôt une combustion très rapide. Heureusement, la batterie n'a pas suffisamment de carburant pour exploser violemment mais il causera des dommages à quoi que ce soit dans un rayon proche de 1 mètre.
Les batteries ont trois couches (cathode et anode) de membrane enroulée plusieurs fois sur eux-mêmes d'une manière telle que la cathode et l'anode ne se touchent jamais. Le problème se pose lorsque la membrane qui les sépare ou se dégrade ce qui est bien pire, quand il devient défectueux à la sortie d'usine comme dans le cas du Galaxy Note 7.
Si la membrane qui sépare la cathode et l'anode de la batterie se détériore, deux d'entre eux entreront en contact et la batterie va brûler voire exploserToutes les batteries au lithium ont un circuit de contrôle de température. Si la température de la batterie dépasse un certain seuil, le circuit bloque la charge. Les températures élevées nuisent à la membrane et, dès que cela permet à la cathode et l'anode de se toucher et de commencer la combustion.
- Quel smartphone peut s'enflammer ?
Nos smartphones semblent être des objets inoffensifs, mais il y a danger latent à l'intérieur. En général, les cas de combustion du smartphone ne sont qu'une poignée, comptés par dizaines, alors que 1.400 millions d'appareils sont vendus chaque année. Donc, la probabilité qu'un smartphone en flammes est extrêmement faible, presque le même que d'être frappé par la foudre.
Alors, sommes-nous en danger ? Il est clair que non. Mais il est vrai que cela peut arriver, cependant, en général, des contrôles de qualité assurent que les batteries sont en sécurité.
Si un fabricant détecte qu'une série de leurs batteries a quelque défaut de production, il va retirer immédiatement les appareils. Tout comme Samsung a cessé la distribution et retiré les Galaxy Note 7 défectueux.
Quoi qu'il en soit, il est toujours bon de garder un oeil sur nos batteries. Nous devons veiller à ce qu'ils ne dépassent jamais 60 degrés. Si elle commence à gonfler ou se déformer doit être changé immédiatement. Et ce qui ne doit jamais être fait est de les percer avec un objet pointu, comme indiqué dans la vidéo ci-dessus.
Dans des cas comme le Galaxy Note 7 dans lequel le fabricant reconnaît l'erreur et ordonne à tout les utilisateurs de rapporter leurs appareils, de cesser immédiatement d'utiliser l'appareil, ne pas le charger à nouveau et suivre le protocole que le fabricant dispose.
Flash du 7 novembre 2016 : Selon le Figaro, un smartphone Samsung J5 fume noir et explose dans les mains d'un enfant et la famille porte plainte pour mise en danger de la vie d'autrui. Cependant, Samsung rappelle les lave-linges en raison de risques d'explosions et l'environnement risque de prendre un sacrée coup dans la gueule !
Article traduit sur AP
14 septembre 2016
Industrie agro-alimentaire : business contre santé - Faut-il devenir végétarien ?
De la Bretagne au Danemark en passant par la Californie et le Wisconsin, pendant un an, Sandrine Rigaud a avalé les kilomètres, en avion, en voiture et même en Caddie pour dévoiler comment ces mastodontes de l’assiette ralentissent ou orientent les décisions de santé publique. Le secteur de l'industrie agroalimentaire pèse 170 milliards d’euros de chiffre d’affaires par an. Rien qu'en France ! C’est dire si cette industrie a du poids, des réseaux et de l’influence…
Des révélations sur les guerres secrètes de l'industrie agroalimentaire
Pour lutter contre le fléau de l’obésité, le gouvernement français veut par exemple simplifier et rendre plus lisibles les étiquettes des produits alimentaires. Ce document met au jour les méthodes des industriels pour torpiller ce projet. Cette guerre, où tous les coups sont permis, se livre partout dans le monde. Dans le viseur de l’industrie : les politiques mais aussi les chercheurs. Les géants de l’agroalimentaire n’hésitent pas à payer des scientifiques pour défendre leurs intérêts.
Et quand l’argent ne suffit pas, les méthodes sont plus brutales. Manipulés ou décrédibilisés, des chercheurs français ou américains en ont été les victimes. Leur tort : avoir réalisé des études qui pointaient les dangers d’un produit pour la santé des consommateurs. Si vous aimez les enquêtes de "Cash Investigation" dans le monde merveilleux des affaires, vous allez adorer celle-ci, avec ses révélations sur les guerres secrètes de l'industrie agroalimentaire…
7 septembre 2016
Système solaire, l'incroyable histoire
6 septembre 2016
L'Univers et ses mystères - Quand l'espace façonne l'histoire du monde
Plusieurs scientifiques vont tenter de nous démontrer l'influence de l'univers pour l'évolution de notre planète et notre histoire. Pour ces experts, notre passé est étroitement lié à ce qui se passe dans l'espace.
Tout le monde connaît l'histoire du déluge biblique, on relate qu'il a plu pendant 40 jours et 40 nuits créant une catastrophe planétaire qui aurait décimé une grande partie des espèces vivantes sur terre à cette époque. Jusque là, on pensait plus à une légende religieuse, mais pour certains, cela s'est véritablement produit. En effet, pour des scientifiques, il est possible que cette tragédie ait été le résultat d'une chute d'une comète gigantesque.
Pour savoir si cette hypothèse est possible, un archéologue travaille pour un petit groupe d'experts tous partisans de cette dernière. Ceux-ci pensent que les impacts cosmiques ont été beaucoup plus fréquents que l'on pense et qu'ils auraient façonnés le monde tel que nous le connaissons aujourd'hui. Ces experts partent d'une légende ou d'un fait historique et enquêtent sur le terrain pour apprendre la vérité sur les causes.
FLASH - Les 6 étapes jusqu’à la guerre civile totale en France
L’attentat de Nice ne nous a selon moi pas encore fait passer à un nouveau stade de la guerre civile. Depuis le 11 septembre 2001 il y a eu deux étapes de franchies, et j’essaie dans cet article de me projeter dans celles qui nous attendent, afin de permettre à chacun d’anticiper.
Sommes-nous en guerre civile ? Oui, mais de basse intensité. Ses manifestations les plus communes sont le racisme, l’intolérance religieuse, le communautarisme et exceptionnellement l’attentat. Plus l’islamisation de la France s’accentuera et plus les attentats se multiplieront, et plus l’intensité de la guerre civile augmentera, pour parvenir à son maximum, comme en Algérie dans les années 90.
- L’étape n°1
- L’étape n°2
On sent ces jours-ci sur les réseaux sociaux que l’attentat de Nice a beaucoup remué les Français, y compris certains qui, même après le Bataclan, continuaient de dire partout « pas d’amalgame » et « sus à l’islamophobie ». Mais on reste dans un état d’esprit rationnel, constructif, relativement contrôlé et mesuré.
Tant que nous restons dans l’étape n°2, donc d’une guerre civile de basse intensité, la vie suit malgré tout son cours pour la plupart des Français, mis à part évidemment ceux qui ont été directement touchés par les attentats, mais qui restent une poignée comparée à la population dans son ensemble. Quelques milliers de personnes tout au plus. C’est dramatique et cela coûte cher à la communauté nationale, mais cela reste gérable.
- L’étape n°3
Elle est franchie quand l’accumulation d’attentats, ou un attentat particulièrement violent ou sanglant a lieu et constitue une goutte d’eau qui fait déborder le vase. Je pense par exemple à des attentats qui toucheraient des écoles, des crèches, ou des colonies de vacances, bref, majoritairement des enfants. Pas besoin de milliers de morts, un nombre similaire au Bataclan ou à Nice suffirait à plonger le pays tout entier, et une bonne partie de l’Occident, dans l’étape n°3.
Cette étape voit la rationalité habituelle disparaître pour laisser la place à un sentiment de panique, qui permet encore de vivre mais plus comme avant. Il y a un avant et un après. S’il s’est agi d’enfants, vous ne pouvez vous empêcher de penser aux vôtres, et de vous inquiéter quand ils sont à l’école, ou en colonie, etc. La sécurité devient la priorité absolue du pays, bien avant l’économie ou le social. Nous passons en guerre civile d’intensité moyenne.
Les comptes qui sont demandés aux politiques sont également différents de ceux de l’étape n°2 que nous connaissons actuellement. Des manifestations monstres appelant à la démission du gouvernement s’organisent spontanément, des heurts s’y font connaître, une violence encore inconnue émerge, y compris de la part d’individus qui ne se doutaient pas eux-mêmes qu’ils en étaient capables. Mais la pression et le stress aidant, il révèle une énergie et une force inattendue, la fameuse furia francese, qui se révèle quand les Français sont dos au mur.
En réaction, le politique est obligé de prendre des mesures plus courageuses, moins politiquement correctes, et visant à réellement lutter contre la menace qui commence à peser sérieusement sur tout le peuple. Et s’il ne le fait pas, des fusibles sautent, car la pression populaire devient trop forte.
- L’étape n°4
Au niveau 4 de la guerre civile, les pouvoirs publics ne maîtrisent quasiment plus les règlements de comptes entre communautés, qui ont lieu de plus en plus fréquemment, comme entre gangs ou entre mafias. Chaque camp veut venger ses morts, et l’escalade est alors inévitable. D’autres pays commencent à s’en mêler, d’un côté comme de l’autre, et financent des armes, des milices privées, ou d’autres moyens requis dans une guerre conventionnelle.
Personne n’est sûr de revenir sain et sauf quand il part travailler le matin, les bombes explosent un peu partout sur le territoire, tout le monde est dépassé par les événements, les morts et les traumatismes se multiplient. Le pays se ferme progressivement aux touristes, aux investissements étrangers, et les habitants sont de plus en plus nombreux à vouloir le quitter pour rejoindre des terres plus vivables. L’économie tourne au ralenti, la crise économique est profonde et durable, le chômage endémique. L’Etat ne peut plus payer une partie des allocations, subventions, et retraites, ce qui met encore plus d’huile sur le feu.
Les gens se font justice eux-mêmes, des milices privées se montent, le trafic des armes ne concerne plus que les caïds de cité mais également des pères de famille cherchant à protéger leur progéniture. La pression est mise sur le gouvernement pour qu’il vote une loi autorisant la liberté de s’armer. S’il refuse, des élus sont ciblés jusqu’à ce que le gouvernement change ou passe la loi qui devient impérative.
Les camps sont désormais bien clairs : le gouvernement et ses bras armés (police, justice, armée) ; les musulmans et leurs idiots utiles ; l’extrême-gauche qui tente de profiter de l’anarchie ; et les patriotes (y compris des membres de l’armée, de la police et de la gendarmerie qui les ont rejoints). La guerre civile devient une guerre raciale et religieuse, tout le monde devient une cible et un bourreau potentiel.
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L’étape n°5 - Quand le gouvernement français sera échec et mat !
Ce ne sont plus des milliers de gens qui sont directement touchés par les attentats, mais des centaines de milliers, voire des millions. Une centrale nucléaire qui pète, ou une nappe phréatique empoisonnée, ou du gaz sarin dans le métro comme à Tokyo il y a quelques dizaines d’années, etc. Il existe hélas des centaines de possibilités, peut-être plus, ce qui rend le travail de nos services de défense et de renseignement quasiment impossible.
A cette étape n°5, le gouvernement saute, un coup d’Etat militaire a lieu et un régime autoritaire prend les choses en main, afin de tenter de rétablir le calme et la sécurité. Il prend des mesures drastiques, impliquant des déportations de masse, les fichés S, voire les musulmans ayant un casier judiciaire, etc. L’islam est déclaré interdit de pratique sur le territoire, et les musulmans « modérés » invités à quitter le territoire pour rejoindre un pays musulman. Beaucoup ont déjà quitté le territoire de toute façon, fuyant la guerre civile.
Les frontières du pays sont totalement fermées pour éviter les hémorragies de population vers l’étranger. Impossible de partir en avion ou en bateau, tout est sous le contrôle de l’armée. L’économie tourne quasiment à vide, les gens restent souvent cloîtrés chez eux de peur d’être pris pour des cibles. On se barricade, on fait confiance à l’armée, dans laquelle on s’engage comme réserviste quand on peut.
Du côté musulman la guerre est totale, on se sert des représailles du régime militaire contre l’islam pour recruter massivement des musulmans dans les rangs de l’organisation la plus extrémiste, et on vise les objectifs stratégiques pour faire plier le pays tout entier. Les agents encore dormants se réveillent pour mener le début de l’assaut final.
Il est possible qu’à cette étape-là, l’Etat islamique ait pu négocier avec le gouvernement (avant que celui-ci ne soit renversé par les militaires) une ou plusieurs enclaves islamiques, en Seine-St-Denis, à Venissieux et/ou dans les quartiers nord de Marseille, voire à Tourcoing ou à Nice justement. A partir de ces mini-états, où ne résident plus que des musulmans acquis à leur cause, ils peuvent tenter de construire la riposte aux attaques de l’armée.
Le pays est naturellement invivable, tous les biens immobiliers ont vu leur valeur s’effondrer en quelques années, et l’économie avec. La France n’est plus que le Liban des années 80, ou la Syrie actuelle. On survit tant bien que mal, on souffre en attendant que ça passe, et on se débrouille avec les moyens du bord. On réalise, mais un peu tard, que des mesures préventives pour éviter l’islam de grandir dans le pays, auraient coûté beaucoup moins cher, financièrement et en litres de sang versés.
Une coalition internationale est créée pour venir en aide à la France et tenter de la libérer du joug musulman. Mais il est probable que la situation soit assez similaire dans les autres pays de la coalition occidentale. Donc la priorité de chaque pays consiste à gérer d’abord sa propre guerre civile, avant de penser à pouvoir venir sauver le voisin ou la France.
- L’étape n°6
Les déportations et départs plus ou moins volontaires se chiffrent par millions de personnes, comme le million de pieds-noirs qui ont quitté l’Algérie, ou les millions de Pakistanais qui ont dû quitter l’Inde après la guerre qui a vu la création du Pakistan puis du Bangladesh.
Après d’immenses souffrances des deux côtés, et des séquelles irréversibles, notamment des monuments historiques entièrement détruits, des villes entières rasées ou irradiées, le monde est divisé entre monde musulman et monde non-musulman, un nouveau mur est construit entre les deux mondes, et chacun tente de vivre dans ce nouveau monde séparé en deux.
Source : E&D (2016)