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26 avril 2014

Mondes intérieurs, mondes extérieurs


Il existe un champ vibratoire reliant toutes choses On l'a appelé Akasha, le son originel Om, les perles du collier d'Indra, l'harmonie des sphères et des milliers d'autres noms lui furent attribués à travers l'histoire. Les professeurs anciens enseignaient le Nada Brahma - l'univers est vibration. Le champ vibratoire est à la source de toute véritable expérience spirituelle et de toute recherche scientifique. Il s'agit du même champ ésotérique que des saints, des bouddhas, des yogis, des mystiques, des prêtres, des chamanes, des prophètes ont observé par introspection. Bon nombre d'imminents penseurs de l'histoire tels que Pythagore, Keppler, Léonard de Vinci, Tesla et Einstein approchèrent le seuil du mystère. Dans la société moderne, la majeure partie de l'humanité a perdu la sagesse ancienne. Nous nous sommes trop égarés dans le domaine de la pensée, ce que nous percevons comme le monde extérieur de la forme. Nous avons perdu notre lien vers les mondes intérieurs. Cet équilibre, appelé "la voie moyenne" par le Bouddha et "le juste milieu" par Aristote, est le droit de naissance de chaque être humain. C'est la source commune de toutes les religions et le lien entre nos mondes intérieurs et extérieurs.

8 avril 2014

AVERTISSEMENT - Risque d'insurrection générale à l'échelle mondiale !

SOMMES NOUS PROCHES D'UNE INSURRECTION GÉNÉRALE ?

« Je trouve qu'il y a une passivité des populations qui est extraordinaire ! Quand vous voyez ce qui se passe en Grèce : jusqu'où peut-on aller jusqu'à ce qu'un peuple se révolte ? », s'interroge l'analyste macro-économiste Olivier Delamarche.

« Va-t-on vers une série de révolutions violentes ? » Pour répondre à cette intéressante question, Devenons Citoyens a donc rencontré Olivier Delamarche. Ce spécialiste scrute l'économie depuis des décennies pour le compte de ses clients car il est avant tout conseiller dans la gestion d'investissements financiers et patrimoniaux.

Son point de vue n'est pas celui d'un théoricien de l'économie. Son travaille consiste, non seulement à analyser les données statistiques mais surtout à décrypter ce qui se cache derrières les chiffres ! Son leitmotiv : « Ayez toujours l'esprit critique et ne prenez pas pour argent comptant ce que l'on vous martèle à longueur de journée ! »

Au-delà des désaccords et des polémiques qui agitent les milieux économiques, il expose simplement les faits sur un ton pragmatique non sans humour... Et leurs conséquences sur le quotidien de chacun d'entre nous. Accrochez-vous car l'homme n'a pas sa langue dans sa poche !

Selon Infowars, qui confirme cet avertissement, il faudra s'attendre à des révoltes et émeutes dans les grandes villes pouvant se propager à travers le monde. Daniel Ameduri déclare : "Oui, il y aura des émeutes dans les grandes villes !"

7 avril 2014

Internet pourrait sauter, il nous faut un plan B

En janvier 2003, le réseau Internet a été pratiquement mis hors-service suite à une attaque de virus à l'échelle mondiale. En effet, le virus Sapphire s'est propagé à une vitesse foudroyante infectant des centaines de milliers de serveurs à travers le monde et ralentissant de manière significative Internet. Si Internet saute, que feriez-vous ?

Dans les années 1970 et 1980, un esprit généreux imprégnait Internet, dont les utilisateurs étaient peu nombreux et éloignés les uns des autres. Mais aujourd'hui, le Web est omniprésent, reliant des milliards de personnes, des machines et des pièces essentielles d'infrastructure - qui nous rendent vulnérables aux cyber-attaques ou à un effondrement. Pionnier de l'Internet, Danny Hillis fait valoir que l'Internet n'a pas été conçu pour ce genre d'échelle, et nous appelle à développer un plan B : un système parallèle sur lequel se replier au cas où - ou plutôt quand - Internet plantera.

3 avril 2014

Que se cache-t-il près du centre de notre Galaxie ?

Selon un récent communiqué de presse, une étoile magnétique à neutrons, autrement connue sous le nom de Magnétar, tourne à une vitesse incroyable à proximité de Sagittarius A*, résidant dans le centre de la Voie Lactée. Sagittarius A* serait un trou noir super-massif habitant le centre de la Voie Lactée, à environ 26.000 années-lumière de la Terre, dans la constellation du Sagittaire. Comme c’est le trou noir super-massif le plus proche, il est utilisé pour les hypothèses de base à leur sujet. Comme les spectres provenant des gaz et de la poussière du centre de plus de 95% de la totalité des galaxies-centre présentent des caractéristiques similaires, elles hébergeraient un ou plusieurs trous noirs super-massifs.

Sagittarius A* attirerait la matière de l'espace environnant, vers laquelle elle est accélérée à grande vitesse. Cette vitesse et la compression génèrent soi-disant des faisceaux de rayons X, de lumière ultraviolette, et des émissions d'ondes radio qui sont détectées sur Terre par des télescopes comme le Very Large Array (VLA).

De précédentes déclarations de la communauté astronomique indiquent qu'un nuage de gaz et de poussière se rapproche du trou noir super-massif de la Voie lactée, où il devrait être "spaghettifié" par l’attraction intense du champ de gravité entourant Sagittarius A*. Stefan Gillessen, spécialiste en physique extraterrestre de l'Institut Max Planck, a écrit : "Le nuage est si étiré que son arrivée très près n'est pas un événement unique, mais plutôt un processus couvrant une période d'au moins un an... Depuis la tête du nuage, le gaz s'étire sur plus de 160 milliards de kilomètres, jusqu'au point le plus proche en orbite autour du trou noir. C’est cet étirement de matière qui est communément appelé spaghettification."

Or, comme le rapporte l'équipe du VLA, les rafales radio qu'ils détectent ne sont pas dues à la mise en pièces du nuage de gaz par la gravité, mais aux effets d'une étoile à neutrons dotée d’un champ magnétique intense, qui tourne si vite que son signal radio bat toutes les 3,76 secondes.

Les magnétars sont des étoiles anormales se présentant comme des pulsars à rayons X ou des répartiteurs de rayons gamma mous. Ils seraient créés par des étoiles à neutrons dotées de champs magnétiques de plus de 1015 gauss. À titre de comparaison, le champ magnétique de la Terre fait environ un demi-gauss, de sorte que ces pulsars magnétiques sont des sources étonnamment puissantes. Il faut toutefois souligner que les preuves de ceci sont indirectes, aucune étoile à neutrons n'ayant jamais été observée.

Certains magnétars émettraient aussi des rafales de rayons gamma, attribuées à des séismes d’étoiles sur la surface ultra-dure des étoiles à neutrons. La masse par unité de volume étant très grande, tout mouvement rapide de la croûte génère une intense reconnexion magnétique, produisant ainsi des rayons gamma. Il n'est pas nécessaire de rappeler les problèmes soulevés par la reconnexion magnétique, sauf pour dire qu’il s’agit encore d'un concept de catégorie imaginaire, pondu par les astrophysiciens.

Un fait bien établi est que les champs magnétiques sont induits par la fluctuation de charge électrique. Par conséquent, un courant électrique générant les champs intenses doit exister dans tout présumé magnétar. Il est également incontestable que le courant d'alimentation doit faire partie d'un circuit, puisqu’un courant électrique persistante fait nécessairement partie d'un circuit complet.

L'hypothèse de l'Univers électrique n’a nul besoin d’étoile effondrée, ni de vitesses de rotation si grandes que la matière ordinaire ne pourrait jamais se maintenir. Les oscillations dans les magnétars (ou pulsars, en général) sont dues à des effets de résonance dans des circuits électriques. La libération soudaine de l'énergie électrique stockée dans une double couche explique l’irruption occasionnelle de rayons gamma. Le flux commence par un pic soudain d'énergie, puis diminue progressivement, comme un coup de foudre.

Dans l'espace, les rayons X et gamma ne sont pas créés dans des champs de gravité. Aucune gigantesque masse compressée dans un petit volume n’est nécessaire, et ce genre de rayonnement électromagnétique intense est facilement généré par les modèles expérimentaux appropriés. Des expériences de laboratoire créent de la lumière à ondes courtes (comme les rayons X), en accélérant des particules chargées dans un champ électrique.

Il n'existe aucune preuve expérimentale montrant que la matière peut se comprimer à une densité proche de l’infinie. À quel point proche de l'infini doit parvenir exactement la densité de l’objet ? Dans les filaments de plasma, la striction longitudinale ou Z-pinch de Bennett forme des plasmoïdes, et quand l’intensité du courant devient trop grande, les doubles couches du circuit libèrent leur énergie excédentaire de façon catastrophique, et apparaissent alors comme les jaillissements de rayons gamma ou X, ou des flamboiements de lumière ultraviolette.

Des télescopes pour infrarouges et rayons X ont confirmé l'existence d'une masse (plasmoïde) de plasma concentré dans la partie centrale de la Voie lactée. Cette formation électrique de haute énergie est le cœur du circuit galactique. Les électrons, accélérés à haute vitesse, tournent en spirale dans les champs magnétiques en émettant des rayons X. Dans tout circuit galactique, l’énergie électrique circule vers l'intérieur le long des bras spiralés, et est concentrée et stockée dans le plasmoïde central. Quand la densité électrique du plasmoïde atteint un seuil, il se décharge, en général le long de l'axe de rotation de la galaxie. Ce processus est reproductible en laboratoire, grâce à un dispositif permettant de concentrer le plasma.

Une bonne connaissance de l'électromagnétisme est plus à même d'expliquer les phénomènes observés dans l'espace, sans devoir recourir à de surnaturels trous noirs ou à des pulsars aimantés, dont l'existence théorique viole les lois de la physique.

Quel âge ont les étoiles ?

Pourquoi les étoiles sont-elles créées là où nous les trouvons ? Dans quelles conditions sont-elles formées et comment vieillissent-elles ? Ces questions sont fréquemment posées aussi bien par des astronomes que par des philosophes. Si les étoiles naissent et meurent en fonction de certains paramètres, alors nous devons pouvoir créer une sorte d'horloge qui sera capable de déterminer les événements stellaires et établir un calendrier.

Le 6 mars 2009, la NASA lançait la mission Kepler, avec à bord un équipement scientifique de recherche des planètes semblables à la Terre. Jusqu'ici, la plupart des planètes détectées en orbite autour d'autres étoiles sont des géantes gazeuses, semblables à Jupiter et Saturne. Toutefois, quelques-unes des tout dernières découvertes semblent montrer des planètes faisant environ sept fois la masse de la Terre. On pense banales les planètes dont la masse est inférieure à ce seuil, mais elles ont échappé jusqu’ici à la détection. C’est pourquoi, Kepler examinera les étoiles dans une sphère de 1950 années-lumière, à la recherche de planètes aussi petites que la Terre.

Les astronomes utiliseront aussi Kepler pour mesurer la luminosité de diverses étoiles, ce qui permettra d’analyser les oscillations stellaires. Ils élaboreront en outre un catalogue des variations de luminosité, qui suggèrent des changements dans les réactions de fusion au sein de l'étoile. Connue sous le nom d’astérosismologie, ce procédé est censé permettre aux chercheurs de voir l'intérieur des étoiles éloignées. Ce nom est dérivé d’héliosismologie, ou étude de la propagation des ondes de choc dans le Soleil.

Actuellement, selon les scientifiques, nous sommes capables de définir l'âge précis de notre Soleil, mais pas des autres étoiles, parce que les matériaux du Système solaire peuvent être ramenés sur Terre et analysés. Comme l’indique le point de vue consensuel, cela rend possible d’utiliser le Soleil comme moyen d’étalonnage des relevés provenant des autres étoiles. Depuis que des scientifiques étudient le Soleil, ils observent des ondes qu’ils ont baptisées vagues héliosismiques, qui traversent ses entrailles comme de gigantesques impulsions sismiques, similaires à celles observées sur Terre lors d’un tremblement de terre.

On pense que les événements héliosismiques sur le Soleil révèlent une activité profondément enfouie. Les variations de fréquence et d'amplitude manifestées par les ondes, sont censées indiquer les variations de l'intensité de la fusion ou des changements d’éléments participant aux processus de fusion à l’intérieur du Soleil. Les éléments contribuant à la fusion thermonucléaire sont différents à chaque phase de la vie stellaire. En comparant ces oscillations avec les relevés de luminosité de milliers d'autres étoiles, les astronomes en sont à espérer que Kepler fournira des indications sur l'âge des étoiles de la Voie Lactée et des autres galaxies.

Comme le font remarquer les partisans de la théorie de l'Univers électrique, les astronomes reprennent les données terrestres et extrapolent leurs conclusions sur des objets spatiaux. Établir des modèles solaires comptant sur des ondes acoustiques et des profondeurs si denses que ces ondes les traversent comme s’il s’agissait d’un corps solide, ne servira qu’à obscurcir le problème. Les chercheurs de la NASA et de l'ESO sont en train de construire une impasse en entassant un tombereau de données. Il sera impossible de prendre en compte les nouvelles données dans le cadre d’une théorie basée sur les ondes sonores et les tremblements de terre.

Selon l’Hypothèse de l’électricité cosmique, "il n'y a aucune raison de prêter plus de jeunesse à un type spectral plutôt qu’à un autre. Nous concluons que la position d'une étoile sur le diagramme HR ne dépend que de sa taille et de la densité du courant électrique qui l’alimente à ce moment... son âge reste indéterminé, quels que soient sa masse et son type spectral. Ceci est troublant dans le sens où nous affrontons à présent la notion selon laquelle l'avenir du Soleil n'est pas aussi déterminé que prédit par le courant dominant de l'astronomie. Il nous est impossible de savoir si l’électricité du courant de Birkeland qui active actuellement le Soleil va s’intensifier ou s’affaiblir, ni à quel moment elle va le faire, si elle doit le faire."

Article traduit sur Thunderbolts