Recherche

15 avril 2013

Le complot du Nouvel Ordre Mondial - Les banquiers déclarent l'Amérique et l’Europe conquis !

La crise économique et les guerres sont les instruments pour envoyer des pays au tapis pour la reconnaissance de la gouvernance mondiale…

Une récente interview sur la chaîne CNBC où des analystes financiers admettent ouvertement devant leur audience que l'Amérique est sous le contrôle d’un groupe de banquiers centraux qui construisent un gouvernement mondial est un constat navrant de l’intérieur sur la façon dont l’establishment s’est maintenant dispensé de toute prétention à même essayer de cacher leur agenda alors qu’il est en phase de finalisation.

Durant cet entretien, l’hôte de l’émission demande à ses invités: 
"Travaillons-nous tous pour les banques centrales, est-ce enfin la gouvernance mondiale, est-ce un monde unique, avec les banquiers centraux en charge, ne sommes-nous pas en train de vivre et de mourir juste pour ce que font les banques centrales ?…"
"Pour répondre à votre question : Nous sommes absolument les esclaves des banques centrales", répondent les invités, ensemble.

"Nous sommes tenus par ce que les banquiers centraux et les faiseurs de politique font plutôt que par les fondamentaux de l’économie", ajoute un autre.

Ceci n’est juste qu’un exemple parmi tant d’autres où il nous est maintenant jeté à la figure l’idée que l’élite banquière construit un gouvernement mondial aux dépends du peuple américain.

Après avoir traité l’affaire pendant des décennies comme étant une théorie du complot, l’establishment déchire maintenant le voile dans un effort de forcer les Américains à docilement accepter ce qui a été planifié depuis bien longtemps.

Un gouvernement mondial est maintenant mis en avant de manière forcée comme étant la solution à tous les problèmes, mais spécifiquement en relation avec la crise financière et économique. On nous gave de propagande et on nous manipule pour nous faire accepter le fait que le pouvoir central entre les main d’une petite élite est le seul moyen pour en sortir et qu’une monnaie unique mondiale est inévitable.

Au sommet de la dernière crise économique, le membre du groupe Bilderberg et journaliste au Financial Times, Gideon Rachman, argumentait que tout est en place pour l’avènement d’un gouvernement mondial dictatorial qui sera imposé par une élite technocrate.

L’appel de Rachman en 2008 pour que des technocrates autoritaires soient mis en charge de l’économie en préparation de la naissance officielle du gouvernement mondial est maintenant bien avancé, alors que les économies de la France, de l’Irlande, de l’Allemagne, de la Belgique, de l’Italie, de la Grèce, en même temps que le FMI et la BCE, sont tous sous le régime d’occupation banquière de la firme Goldman Sachs.

Ces technocrates n’ont pas été du tout timides pour annoncer ouvertement ce qu’ils sont en train de faire.

Dès sa sélection pour être nommé président de l’UE en 2009, Herman Van Rompuy a annoncé que la crise financière et les efforts pour combattre le réchauffement climatique étaient faits pour précéder la gestion globale de notre planète. Il déclarait également que 2009 était la première année de la gouvernance mondiale.

La même année, Van Rompuy a été rejoint par le pape qui appelait lui aussi pour une autorité politique mondiale afin de gérer l’économie mondiale.

Le président de la Banque Mondiale et élitiste du Bilderberg Robert Zoellick a également ouvertement admis le plan pour une élimination de la souveraineté nationale et d’imposer un gouvernement mondial, ce durant un discours à la fin du sommet du G20.

Les appels pour une monnaie unique mondiale sont également un composant clef et consistant pour une gouvernance mondiale.

Dans un discours prononcé en 2000, un membre du comité directeur de la BCE, Sirkka Hämäläinen avait dit : "En conclusion, je désirerais revenir sur la prophétie de Paul Volcker. Il a sans doute raison et nous pourrions avoir un jour une monnaie unique mondiale. Peut-être une intégration européenne, de la même manière que toute autre intégration régionale, pourrait être vue comme une avancée vers la situation idéale d’une monde totalement intégré."

Dans un discours en 2010 au CFR, l’ancien président de la BCE, Jean-Claude Trichet, avait dit clairement que le Global Econonomy Meeting (GEM), qui se rencontre à la Banque des règlements internationaux (BRI) de Bâle en Suisse qui deviendrait le groupe principal pour la gouvernance mondiale au sein des banques centrales.

Trichet ajoutait que les réunions de la BRI assuraient que le système bouge de manière décisive vers une véritable gouvernance mondiale. Puis il définit comment cette gouvernance mondiale opérerait.
"Il y a plusieurs définitions possibles de gouvernance mondiale. Dans la sphère de la finance et de l’économie, je proposerais que la gouvernance mondiale réunisse non seulement une constellation d’institutions supra-nationales, incluant les institutions financières internationales, mais aussi le regroupement informel des groupes qui ont progressivement émergés au niveau global. Ces forums informels tels le G7, G10, G20 etc… sont très importants pour améliorer la coordination mondiale dans tous les domaines où les processus de décision demeurent nationaux, soit en aidant à faire émerger des standards et codes de gestion ou pour faciliter lorsqu’appropriée, la coordination des macro-politiques économiques."
Beaucoup d’autres membres de l’establishment politique ont ouvertement exprimé l’agenda de créer un gouvernement mondial et ce pas seulement en réponse à la crise financière mais aussi comme solution au réchauffement climatique anthropique.

En 2009, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon a admis que la taxe carbone qui sera prélevée au nom de la résolution du réchauffement climatique devra être collectée par un corps mondial.

"Nous établirons une structure de gouvernance mondiale pour surveiller et gérer la réalisation de ceci", avait-il déclaré.

Dans un éditorial du New York Times intitulé : "Nous pouvons le faire", Ki-Moon écrivait également que les efforts pour imposer des restrictions sur les émissions de CO2, "doivent inclure une structure de gouvernance mondiale juste et équitable."

Un autre mondialiste et environnementaliste David De Mayer Rothschild avait aussi révélé l’agenda pour une gouvernance mondiale dans une interview avec la chaîne Bloomberg News.

"Ceci est au delà du discours. Nous savons historiquement que ce type d’agenda de gouvernance mondiale et sujets affiliés est très difficile à… avec toutes les meilleurs intentions, c’est en fait très difficile à activer", avait noté Rothschild.

De la même manière, Al Gore avait dit dans un discours en 2009, que les tentatives de régulation des émissions de CO2, seraient menées au travers de la gouvernance mondiale et d’accords globaux.

Un modèle des Nations-Unies en 2010 pour remettre l’organisation à la pointe de la gouvernance mondiale avait révélé de manière alarmante l’agenda de renommer le réchauffement climatique en surpopulation comme moyen de démanteler les classes moyennes en utilisant une redistribution de la richesse globale et une augmentation de l’immigration pour revigorer l’agenda de la poursuite de la gouvernance mondiale.

Des bureaucrates lors du sommet sur le Climat de Durban en 2011 ont souligné les plans pour le traité sur le changement climatique le plus draconien et débridé jamais produit, sous lequel l’occident serait mandaté à respecter les droits de la mère nature en payant une dette climatique qui agirait comme un fond de financement pour un gouvernement mondial tout-puissant.

Plus tôt, cette année, un article du magazine US Scientific : "Un gouvernement mondial sera nécessaire pour conjurer la catastrophe climatique" a argumenté que la gestion globale de la planète était le seul moyen pour combattre le réchauffement climatique.

Bien que l’agenda pour un gouvernement mondial est maintenant ouvert et toute voile dehors avec peu d’attention pour la subtilité ou le secret, les citations qui suivent, remontant sur plusieurs décennies, prouvent que ce plan ne date pas d’hier:

"Aujourd’hui, l'Amérique serait outragé si des troupes de Nations-Unies entraient à Los Angelès pour restaurer l’ordre. Demain ils seront reconnaissants. Lorsque se présentera ce scénario, les droits de l’individu seront volontairement abandonnes pour la garantie de leur bien-être que leur apportera le gouvernement mondial." - Henry Kissinger

"Nous remercions le Washington Post, le New York Times, le Time magazine et leurs directeurs qui ont participés à nos réunions de Bilderberg et ont respecté leurs promesses de discrétion pendant près de quarante ans. Il nous aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux feux de la rampe durant toutes ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à marcher vers le gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est sûrement préférable à l’auto-détermination nationale pratiquée ces derniers siècles." - David Rockefeller

"Le siècle prochain, les nations telles que nous les connaissons aujourd’hui, seront obsolètes, tous les états reconnaîtront une autorité unique mondiale et réaliseront que la souveraineté nationale n’était pas une bonne affaire finalement." - Strobe Talbot

"Nous avons besoin d’une nouvelle donne mondiale, un grand marchandage entre les pays et les continents de ce monde." - Gordon Brown

"Il nous apparaît pour beaucoup d’entre nous que si nous voulons éviter un conflit mondial éventuel qui serait catastrophique, nous devrions renforcer l’ONU comme une première étape vers un gouvernement mondial calqué sur notre propre gouvernement avec sa législature, ses pouvoirs exécutif et judiciaire, sa police pour faire respecter la loi internationale et maintenir la paix. Pour y parvenir, nous les Américains devrons bien sûr abandonner notre souveraineté. Ce sera une pilule amère. Cela demandera beaucoup de courage, une grande foi dans le Nouvel Ordre Mondial. Pat Robertson a écrit dans un livre il y a plusieurs années, qu’il y aurait un gouvernement mondial, mais seulement avec l’arrivée du nouveau Messie. Il écrivit littéralement, que toute tentative de parfaire un nouvel ordre mondial avant ce temps sera le travail du diable. Et bien, rejoignez-moi. Je suis heureux d’être assis ici, à la droite de Satan." - Walter Cronkite

"Ceci est le gouvernance mondiale en devenir. Mais nous devons être d’accord et être d’accord d’être liés par un engagement." - George Papandréou, ancien Premier ministre grec

"Pour la première fois, l’humanité institue un véritable instrument de gouvernance mondiale. Depuis les premiers temps, nous devrons faire de l’environnement notre pôle d’attention et un thème majeur d’éducation et un thème majeur de débat politique, et ce jusqu’à ce que le respect de l’environnement devienne un fondamental pour sauvegarder nos droits et nos libertés. En agissant ensemble, en construisant cet instrument sans précédent, le premier composant d’une gouvernance mondiale, nous travaillons pour le dialogue et la paix." - Jacques Chirac

"Pour plus d’un siècle des idéologues extrémistes des deux côtés du spectre politique ont utilisé et instrumentalisé des incidents tels que ma rencontre avec Castro afin d’attaquer la famille Rockefeller et son influence qu’ils clament que nous avons sur la société américaine, sa politique et ses institutions économiques. Certains croient même que nous faisons partie d’une cabale secrète et travaillons contre les intérêts américains, caractérisant ma famille et moi-même comme étant des internationalistes et de conspirer avec d’autres dans le monde afin de construire une structure globale politique et économique plus structurée, un monde unique si vous voulez. Si ce sont là les accusations, alors je suis coupable et fier de l’être." – David Rockefeller, citation tirée de ses propres mémoires 

Aucun commentaire :