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27 mars 2011

La planète Terre comme arme et cible

En commençant par l'utilisation de l'énergie nucléaire dans des buts militaires, l'humanité est entrée dans une course apparemment sans fin visant à maîtriser les forces naturelles à l’intérieur de la planète, dans l'atmosphère et dans l'espace afin de faire la guerre. La Terre est déjà gravement affectée par beaucoup de ces programmes secrets de recherches et d'essai menant à d’imprévisibles conséquences environnementales et épidémiologiques.

Le terme « systèmes d’armes exotiques » comprend des armes conçues pour endommager l'espace, les écosystèmes naturels (tels que l'ionosphère et l'atmosphère supérieure) ou le climat, temps, ainsi que les systèmes tectoniques en vue de provoquer des dégâts ou la destruction sur une population cible ou dans une région, sur Terre ou dans l'espace.

LES RACINES HISTORIQUES DU NOUVEL ORDRE MONDIAL ET SON ÉCONOMIE DE GUERRE PERMANENTE

« L'économie américaine de guerre permanente » des Etats-Unis trouve ses racines dans des organismes et « une culture de la mort » qui remontent aux guerres pour l'opium en Chine, et à travers l’actuelle guerre en Irak. Samuel Russell, l’important contrebandier américain d'opium, a acquis une vaste fortune en lançant le premier bateau clipper en 1823 (Note du traductyeur : un clipper est un ancien voilier de fort tonnage, aux formes minces et de vitesse élevée, créé aux États-Unis spécialement pour le commerce du thé et du coton). Les principales familles britanniques et américaines au pouvoir se sont faites de vastes fortunes avec ces clippers passant de l'opium en contrebande à partir de la Turquie et de l'Inde vers la Chine.

De nos jours, les bénéfices illicites du trafic de drogue étendu multiplient les guerres et influencent la politique étrangère des Etats-nations modernes. Beaucoup de chercheurs lient l'ancien Président George H. W. Bush à la CIA dès les années 50, et indiquent qu'un de ses travaux était de consolider et coordonner la plus grande industrie du monde – le commerce mondial des narcotiques. La « guerre » du Vietnam pourrait avoir été une couverture pour la consolidation américaine du « Triangle d'Or », qui se trouvait jadis sous le contrôle des Français. Ceci semble avoir été confirmé par Ross Perot lorsqu’il fut nommé par le Président Reagan pour être un investigateur présidentiel spécial recherchant les soldats faits prisonniers de guerre et les soldats portés disparus durant la « guerre » du Vietnam, et lorsqu’il se retrouva du mauvais côté par rapport au vice-président George H.W. Bush. Dans le livre fort instructif concernant l'abandon des soldats faits prisonniers de guerre et soldats portés disparus, « Kiss the Boys’ Goodbye: How the United States Betrayed Its Own POWs in Vietnam » (Dites adieu aux soldats : Comment les Etats-Unis ont trahi leurs propres soldats faits prisonniers de guerre au Vietnam), Monika Jensen-Stevenson écrit :

Les relations entre Bush et Perot s’étaient détériorées depuis que le vice-président avait demandé à Ross Perot comment allaient ses investigations sur les soldats faits prisonniers de guerre et soldats portés disparus.

« Et bien, George, je commence par rechercher des prisonniers », dit Perot, « mais je passe tout mon temps à découvrir que le gouvernement a déplacé des drogues autour du monde et est impliqué dans des trafics d’armes illégaux… je ne peux pas en vouloir aux prisonniers à cause de la corruption qui règne parmi nos propres gens. »

Ceci mit fin à l'accès officiel de Perot aux dossiers fortement classifiés en tant qu'investigateur présidentiel solitaire. « On m’a ordonné d’arrêter et de renoncer », avait-il dit aux familles des soldats disparus au début de l’année 1987. (Kiss the Boys’ Goodbye: How the United States Betrayed Its Own POWs in Vietnam, Monika Jensen-Stevenson et William Stevenson, NY Dutton, Penguin Books, 1990).

William Huntington Russell, un cousin du contrebandier d’opium Samuel Russell, arriva à Yale en 1832 après avoir étudié en Allemagne pendant deux ans de 1831 à 1832, lorsque l’Allemagne était un germoir de nouvelles idées. Il en est revenu blindé de cette philosophie hégélienne qui a fourni les racines philosophiques du fascisme et du communisme. Ayant reçu l’autorisation de commencer un chapitre (une délégation) par la société mère en Allemagne, il fondit la première société secrète des USA à Yale connue aujourd'hui sous le nom de «Skull and Bones ». L'espionnage, la contrebande de drogue et les sociétés secrètes historiquement basées à l’étranger se sont entremêlés et ont évolué tout au cours de l'histoire américaine. Skull and Bones devint l'établissement secret du pays ; il institutionalisa l'excès sociologique de la « déviance de l'élite », avec « des chaînes d’influence verticales et horizontales » fournissant une continuité pendant plus de deux siècles pour effectuer des schémas de conspiration et des guerres permanentes. Beaucoup de ministres de la guerre furent des `Bonesmen', tout comme certains présidents des USA. Les premières universités américaines furent souvent fondées sur les fortunes de l'opium. Même le projet Manhattan durant la deuxième guerre mondiale eut des liens étroits avec les Skull and Bones, et les laboratoires d'armes nucléaires ont été contrôlés depuis lors par l'université de Californie, qui fut fondée par un `Bonesman'.

Le rapport unique entre Yale et la Communauté de l’Intelligence (= services secrets) avait été établi pendant la guerre révolutionnaire (guerre des colons américains contre les Britanniques) via le Culper Ring, la première opération d'intelligence de l'Amérique commencée par George Washington. Après la deuxième guerre mondiale, la CIA fut établie comme l’agence étrangère d'espionnage et de contre-espionnage top niveau. Avec de solides liens avec Yale, et les Skull and Bones, elle a joué un puissant rôle secret dans des pays tout autour du monde. Les Bonesmen partagent une affinité pour les idées hégéliennes de la dialectique historique, qui dicte l'utilisation du conflit contrôlé (thèse contre antithèse) afin de créer une synthèse prédéterminée. La synthèse est de leur fabrication et dans ce Nouvel Ordre Mondial, l'état possède un pouvoir absolu et le citoyen peut seulement devenir libre par le culte et l’obéissance rendus à l'Etat. Dans le nouveau livre, « Fleshing Out Skull and Bones: Investigations into America’s Most Powerful Secret Society » (Etoffer Skull and Bones : enquêtes sur la plus puissante société secrète d’Amérique) par Kris Millegan, 2003, on trouve la preuve que ces sociétés secrètes « créent les conflits et jouent des deux côtés de ces conflits contrôlés afin de produire les résultats (désirés) » :

Dès 1785, on peut retracer l'origine du Nouvel Ordre Mondial depuis Adam Weishaupt, fondateur des Illuminati, et son manuscrit qui fut accidentellement découvert lorsqu’un courrier mourut en cours de route entre Frankfurt-am-Main et Paris. « Original Shift in Days of Illumination » contenait les plans à longue portée pour la société secrète qui était « le Nouvel Ordre Mondial par la révolution mondiale ». Adam Weishaupt écrivit :

Par ce plan, nous dirigerons toute l'humanité de cette manière. Et, par les moyens les plus simples, nous mettrons tout en mouvement et en flammes. L’occupation doit être répartie et arrangée de telle manière que nous puissions, en secret, influencer toutes les transactions politiques.

COMPRENDRE LE NOUVEL ORDRE MONDIAL

Nous allons voir aujourd'hui quel genre de "philosophie" se cache sous le masque du néo-conservatisme et sous le voile de "respectabilité" des néo-conservateurs (ou néo-cons) qui se trouvent en ce moment même au pouvoir aux U.S.A.

Nous allons aussi apprendre que l'industrie du sexe, des jeux de hasard ainsi que le trafic de drogue et que le trafic d'armes continuent d'enrichir les mêmes familles du Nouvel ordre mondial. Nous allons aussi parler un tout petit peu de la Commission Trilatérale, du Council on Foreign Relations et du groupe Bilderberg (qui, tous les 3, font partie intégrante du Nouvel ordre mondial diabolique).

Et nous allons voir que le but de ces grands détraqués mentaux qui dirigent le monde est de transformer ce monde en une "étoile de la mort" (référence à l'arme ultime utilisée dans les films Star Wars et qui est une planète artificielle qui n'est, en réalité, qu'une arme surpuissante), et ce via une course à l'armement impitoyable et une économie de guerre permanente.

Enfin, avant de vous larguer dans cette seconde partie, je souhaiterais vous faire part de 2 citations extraordinaires et totalement répugnantes de Zbigniew Brzezinski, fondateur de l'infecte Commission Trilatérale. Il s'agit en fait de 2 extraits de son livre "Between Two Ages" (Entre Deux Ages). Ces extraits sont édifiants et en disent long sur les intentions malveillantes de ces groupements du Nouvel ordre mondial... Vous comprendrez aussi, grâce à ces 2 odieuses citations, quel est le lien à effectuer entre le Nouvel ordre mondial et le développement que nous connaissons actuellement des technologies et lois liberticides visant le contrôle, la surveillance et la répression permanente des populations. Vous comprendrez aussi pourquoi les technologies de contrôle mental sont si importantes pour ces infâmes charognards.

Et ayez aussi le courage de vous poser aussi cette question angoissante : si les plans dont Brzezinski parlait dans les années '70 sont en train de se réaliser maintenant, QU'ONT DONC BIEN PU INVENTER DE PLUS ATROCE ENCORE CES ILLUMINÉS DU NOUVEL ORDRE MONDIAL DEPUIS PLUS DE 30 ANS, ET QUELS SONT LEURS PROJETS AUJOURD'HUI ???

Zbiegniew Brzezinski, une recrue des Rockefeller et fondateur de la Commission trilatérale, a récupéré beaucoup d'informations intéressantes à signaler dans les années '70 concernant les technologies qui sont dévoilées à présent. Il a écrit dans "Between two Ages" :

« Des attaques électroniques déclenchées avec précision et provoquées artificiellement pourraient mener à un modèle d'oscillations qui produisent des niveaux de puissance relativement élevés au-dessus de certaines régions de la Terre… on pourrait développer un système qui handicaperait sérieusement la performance cérébrale d'une population très large dans des régions choisies et sur une période prolongée. » (Zbiegniew Brzezinski, Between Two Ages, 1971).

"L'ère technotronique implique l'apparition progressive d'une société plus contrôlée. Une telle société serait dominée par une élite, non contenue par les valeurs traditionnelles. Bientôt, il sera possible d'imposer une surveillance presque continue sur de chaque citoyen et de maintenir des dossiers complets et mis à jour contenant même les informations les plus personnelles sur le citoyen. Ces dossiers seront sujets à une récupération instantanée par les autorités." (Zbigniew Brzezinski, Between Two Ages, 1971).

En 1798, le professeur John Robinson, qui avait été invité à rejoindre les Illuminati mais avait refusé, publia un livre appelé « Proofs of a Conspiracy » (Preuves d’une Conspiration) :

Une association a été formée dans le but exprès de déraciner tous les établissements religieux et de renverser tous les gouvernements existants… les chefs régneraient sur le monde avec une puissance incontrôlable, alors que tout le reste serait utilisé comme des outils de l'ambition de leurs supérieurs inconnus. (Ibid)

La même année, George Washington reconnut l’activité des Illuminati en Amérique et crut que leur but était de séparer le peuple de son gouvernement.

Il n'est pas dans mon intention de douter de que la doctrine des Illuminati et les principes du Jacobinisme ne s'étaient pas étendus aux Etats-Unis. Au contraire, personne n'est davantage satisfait de ce fait que je le suis.

Les Illuminati s’allièrent avec les Francs-Maçons, et les Skull and Bones montrent des similitudes (avec eux) dans leurs pratiques et croyances. Le nouvel ordre mondial est basé sur une philosophie politique qui mélange le Sionisme et le Fascisme – une idéologie connue généralement sous le nom de néo-conservatisme.

Les intérêts que l’on trouve derrière l'administration Bush, tels que le CFR (Council on Foreign Relations), la Commission Trilatérale - fondée par Zbigniew Brzezinski pour David Rockefeller - et le groupe Bilderberg, se sont préparés et se déplacent à présent vers la dictature mondiale ouverte dans les cinq années à venir. Ils ne luttent pas contre des terroristes. Ils luttent contre les citoyens.

(Dr. Johannes B. Koeppl, Ph. D., ancien fonctionnaire du ministère allemand de la Défense et conseiller de l’ancien sécrétaire général de l'OTAN Manfred Woerner. Le 6 novembre 2001, cité dans « The High Priests of War: The Secret History of How America’s ‘Neo-Conservatives’ Trotskyites Came to Power » (Les hauts prêtres de la guerre : L'histoire secrète de la façon dont les « Néo-Conservateurs » Trotskystes de l'Amérique sont arrivés au pouvoir) Michael Collins Piper, 2004.

Aujourd'hui, l'ombre des architectes des guerres précédentes continue sous la forme d’une économie de guerre permanente avec la prolifération d’armes toujours plus terrifiantes pour de futures guerres. Dans la période intermédiaire entre les guerres, les technologies développées pour la dernière guerre sont utilisées afin de développer de nouveaux systèmes d'armes, que l’on pourrait appeler armes exotiques, pour la prochaine guerre. Les technologies atomiques et autres qui ont été introduites pendant la deuxième guerre mondiale, ont été secrètement développées pendant la guerre froide en de nouvelles armes à énergie dirigée qui semblent au delà du royaume du possible.

C'est la fonction de la CIA de maintenir le monde instable, de faire la propagande et d’enseigner au peuple américain à haïr, de telle façon que nous laisserons l'Establishment dépenser n'importe quelle somme d'argent dans les armes.

Le legs des proliférateurs d'armes, des trafiquants de drogue, des trafiquants de sexe, et des promoteurs de jeux d'hier... continue à enrichir les mêmes familles. C'est une culture de mort et de destruction qui transforme la planète Terre en étoile de la mort.

Nous allons voir aujourd’hui comment le Nouvel ordre mondial diabolique a empoisonné notre planète et a prévu DE MANIERE PREMEDITEE LA REDUCTION ET LA MORT D’UNE GRANDE PARTIE DES POPULATIONS.

Nous allons voir également que les armes de CONTRÔLE DE L’ESPRIT, les armes PSYCHOTRONIQUES, les armes DE CONTRÔLE DE L’HUMEUR, les armes a PLASMA, les armes de CONTRÔLE DU CLIMAT ET DE LA METEO, les armes A ENERGIE DIRIGEE et les PRODUITS CHIMIQUES servent toutes à ASSERVIR, SURVEILLER, CONTRÔLER et REPRIMER les populations et à ELIMINER une grande partie des citoyens !

Oui, les Nazis d’il y a 60 ans étaient des GAMINS EN CULOTTE COURTE EN COMPARAISON AVEC LES CRIMES ATROCES QUE LE NOUVEL ORDRE MONDIAL A COMMIS DEPUIS DES DECENNIES (ET CONTINUE DE COMMETTRE) CONTRE L’HUMANITE !!!

Le pire, c’est que ce Nouvel Ordre Mondial démoniaque reste à peu près INCONNU de la plupart des gens ou que la grande majorité des personnes averties REFUSENT de croire à une conspiration si énorme ! Mais vous savez ce que l’on dit : la plus grande victoire du démon, c’est de faire croire à sa non-existence…

Cela me rappelle une citation de J. Edgar Hoover (1895-1972), Directeur du FBI de 1924 jusqu'à sa mort : "L'individu est handicapé en se retrouvant face à face avec une conspiration si monstrueuse, qu'il ne peut croire qu'elle existe."

J’ai arrêté volontairement cette troisième partie sur une phrase-choc de Gorbatchev qui dit que « la menace d’une crise environnementale sera la clef du désastre international qui déchaînera le Nouvel ordre Mondial ».

L’ESPACE EXTRA-ATMOSPHERIQUE, LES ARMEMENTS EXOTIQUES ET LE NOUVEL ORDRE MONDIAL

L'intérêt militaire pour l'espace s’est intensifié avec l'introduction de la science des fusées et de la technologie nucléaire dans l'arsenal militaire des USA pendant la deuxième guerre mondiale.

Entre 1945 et 1963, les technologies liées aux fusées et la technologie nucléaire se sont développées simultanément. Les tests d’armes nucléaires dans l'atmosphère, en souterrain et sous l'eau ont fourni de nouvelles informations concernant la composition des couches atmosphériques de la Terre et sur la façon dont elles fonctionnent, telle que la caractéristique protectrice. L'ionosphère est la plus importante couche couvrante et protectrice sur Terre, protégeant la planète des vents solaires et des particules cosmiques chargées en énergie. L'existence des ceintures d'Allen fut découverte en 1958. L'electrojet fut également découvert dans l'ionosphère : deux très grandes rivières qui sont source de courant électrique continu – une source de puissance électrique plus grande que toute autre chose sur Terre. D'autres contributions furent apportées à la connaissance scientifique à partir des essais de bombes nucléaires et concernant la lithosphère, la magnétosphère et le champ de la gravité, mais tout cela n’est pas venu sans y mettre le prix.

L’équivalent de l’atomicité (nombre égal d’atomes radioactifs) en terme de rayonnements libérés pendant les tests atmosphériques correspondait à 40.000 bombes d'Hiroshima, ce qui a mené à une épidémie mondiale de cancer – et ce n’est que le dessus de l'iceberg, et au bas de la liste des maladies à radicaux libres provoquées par une exposition interne à des radiations de bas niveau. Le Dr. Rosalie Bertell a estimé que 1.3 milliard de personnes ont été tuées, mutilées, et rendues malades par les armes nucléaires et les programmes d'énergie nucléaire. Les résultats annuels moyens aux tests d'aptitude scolaires pour tous les enfants des Etats-Unis ont diminué, à partir d’un résultat aux tests qui était de 475 avant la bombe, à 425 pour les enfants nés en 1963 durant le pic des tests sur la bombe nucléaire, et le score n’a jamais été entièrement récupéré.

L'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a rapporté en 2004 que, sur les pays examinés, les Etats-Unis possèdent le taux le plus élevé au monde de maladies mentales avec plus de 26 pour cent. Le bénéfice caché provenant de la santé d’une nation qui a été dévastée pendant des décennies par des radiations, consiste en des bénéfices énormes pour les multinationales pharmaceutiques et ceux qui les possèdent et promeuvent également les guerres : la famille Bush, le groupe Carlyle, Cheney, Donald Rumsfeld et beaucoup d'autres.

Et quel était l’impact sur l'environnement, connu sous le nom de “the Cold War Mortgage” (« l’hypothèque de la guerre froide ») ? Les USA possèdent 10.500 sites contaminés, et cinq « zones de sacrifice national » qui ne seront jamais nettoyées. La prise de poisson (pêche) dans l'Atlantique nord a diminué de 50% à partir de 1963 et a coïncidé avec des niveaux de strontium 90 mesurés en aval dans le lait norvégien. La prise de poisson s’est rapidement remise après que le Traité partiel d'interdiction des essais nucléaires ait été signé en 1963. Dans le Pacifique, la prise de poisson a diminué de 65% et n’est jamais revenue à des niveaux normaux parce que d'autres pays ont continué les essais (nucléaires) dans l’atmosphère. La Chine fut la dernière à arrêter en 1993.

Terrell E Arnold, qui a été responsable de l’entraînement de nos officiers militaires les plus importants et les plus prometteurs en tant que président du Department of International Studies (Département des Etudes Internationales) à l' US National War College (université nationale de la guerre) à Washington, signale que les morts et les blessés de la Coalition pourraient être en réalité deux fois supérieurs à ce que le gouvernement des USA admet et que, en incluant les effets de notre utilisation d'uranium appauvri et d'autres armes toxiques, « un taux de victimes à long terme de 40 à 50 % pour les forces américaines semble réaliste. »

Le Korea Times a rapporté le 23 décembre 2005 que l’armée américaine possède 2.7 millions de bombes à uranium appauvri en Corée du Sud. On comprend pourquoi la Corée du Nord veut des armes nucléaires.

La mesure de nettoyage des bombes sales du département du Homeland Security publiée le 3 janvier 2006 permettrait des niveaux de radiation qui causeront le cancer auprès de 1 personne sur 3 à 4 personnes exposées pendant 30 ans, en utilisant les estimations de risque de la National Academy of Sciences BEIR VII ou de l'EPA.

Depuis 1945, en juste 60 ans, le Dr. Strangelove (Edward Teller) et les « nuclear cowboys » ont empoisonné le monde, modifiant le génome de la planète tout entière qui s'est développée sur plus de 4.5 milliards d'années. Les nouveaux systèmes d'armes exotiques du Nouvel ordre mondial promettent d'être bien plus destructeurs par rapport à l'environnement et seront employés pour réduire les niveaux de la population mondiale et afin de concentrer de façon bien plus importante les richesses.

Deux projets de loi récents qui sont passés via le congrès des USA donnent des indices sur les technologies secrètes qui ont été développées à partir des recherches effectuées sur l'atmosphère depuis la deuxième guerre mondiale. Les systèmes d'armes exotiques sont une réalité et sont prévus pour la militarisation de l'espace. H.R. 2977 : the Space Preservation Act (la loi sur la conservation de l'espace) de 2001, présentée à la Chambre par le membre du Congrès Dennis Kucinich, définit des systèmes d'armes tels que les armes à énergie dirigée, à plasma, armes de contrôle de l'humeur, armes de contrôle de l'esprit, armes psychotroniques, et des produits chimiques qui, tous, peuvent cibler à partir de l'espace des objets, des individus, et des populations.

L'ère technotronique implique l'apparition progressive d'une société plus contrôlée. Une telle société serait dominée par une élite, non restreinte par les valeurs traditionnelles. Bientôt, il sera possible d'assurer la surveillance presque continue de chaque citoyen et de maintenir des dossiers complets et mis à jour contenant même les informations les plus personnelles concernant le citoyen. Ces dossiers seront sujets à la récupération instantanée par les autorités. (Zbigniew Brzezinski, Between Two Ages, 1971).

Proposition de loi du sénat S. 517 : le Conseil des Opérations de Recherche et de Modification de la Météorologie de 2005, présenté au Sénat des USA par le sénateur Kay Bailey Hutchison, décrit le développement de la recherche et des technologies visant à changer les formations atmosphériques de nuages dans la troposphère, un développement qui s'est déroulé pendant plus de 40 ans. Mais il y a clairement un but militaire caché.

La destruction militaire de l'environnement et de la santé publique mondiale pendant la guerre froide fera figure pâle à côté de la dévastation et de la destruction provoquées par ces armes exotiques et ces technologies de l'espace. La planète Terre toute entière, y compris l'espace extra-atmosphérique, est maintenant le champ de bataille, et ses processus naturels constituent les nouvelles armes de guerre qui seront utilisées contre les citoyens du monde.

La menace d’une crise environnementale sera la clef du désastre international qui déchaînera le Nouvel ordre Mondial. (Mikhail Gorbachev cité dans l’article « A Special Report: The Wildlands Project Unleashes Its War On Mankind » (Un rapport spécial : Le projet Wildlands déverse sa guerre sur l'humanité), par Marilyn Brannan, rédacteur associé, dans la Monetary & Economic Review – revue monétaire et économique, 1996, p.5.

Le représentant des USA Kucinich s’était fortement opposé à la militarisation de l'espace, et son projet de loi sur la préservation de l'espace fut prévu comme la réaffirmation de :

… la politique exprimée en section 102 (a) du National Aeronautics and Space Act (loi nationale sur l'aéronautique et l'espace) de 1958 (42 U.S.C. 2451 (a)), déclarant que « c’est la politique des Etats-Unis que les activités dans l'espace doivent être consacrées à des buts pacifiques au profit de toute l'humanité ».

Kucinich a dit : « Si nous n'investissons pas, nous ne pouvons pas être assurés que les Américains seront impliqués avec les entreprises commerciales et spatiales du futur ». Il a ajouté : « Nous devons être très prudents concernant tous les efforts qui militarisent l'espace, parce que la militarisation de l'espace détruira le potentiel commercial de l'espace. Nous dépensons $300 milliards par an au niveau de l’armée, or nous devrions dépenser de l’argent pour le développement de la technologie en temps de paix, c’est ce à quoi il faudrait veiller. Je pense que la NASA est la clef du futur et de la première place de l'Amérique dans chaque secteur technologique. Vous ne dépenserez jamais trop dans la recherche et le développement, parce que nous accroîtrons notre économie par la recherche et le développement », a-t-il dit.

Mais ce n'est pas ce qui s'est produit. Au lieu de cela, les USA sont allés faire la guerre en Afghanistan, ont mis 300 milliards de dollars dans la guerre en Irak (balançant de vieilles armes et testant de nouvelles armes exotiques), ont fait mourir de faim le budget de la NASA, et ont perdu une navette spatiale dans un accident tragique. Le 28 novembre 2005, on annonça que la NASA avait reçu l’autorisation du gouvernement des USA pour acheter le vaisseau spatial russe Soyuz. En raison d'un « espace vide en ce qui concerne les vaisseaux spatiaux » dans la flotte vieillissante de la NASA, le programme n'a pas la capacité, jusqu'en 2012, de maintenir la présence d’astronautes américains sur la station spatiale internationale sans ce vaisseau spatial russe.

« Si la technologie existe, nous l'emploierons… officiellement ou pas. » (David MacMichaels, ancien agent de la CIA, lors du briefing du Congrès sur le 9/11 de la membre du Congrès C. McKinney, le 22 juillet 2005).

Durant une interview à Berkeley, en Californie, le 14 septembre 2002, Kucinich m’a averti avec fougue que « si nous ne les arrêtons pas maintenant… ils possèdent ces armes spatiales et ils vont les placer là-haut dans l'espace… et ils vont les employer sans l’ombre d’un doute… ». Sur scène une heure plus tard, on lui a présenté la résolution #61744, la Berkeley Space Preservation Resolution (résolution de Berkeley sur la conservation de l'espace). Plus tôt cette année, cet auteur avait lu les « définitions » des armes de l'espace décrites dans le projet de loi de Kucinich (HR 2977 : The Space Preservation Act - loi de préservation de l'espace - de 2002) :
  • Diriger une source d'énergie (y compris énergie moléculaire ou atomique, faisceaux de particules subatomiques, rayonnement électromagnétique, plasma, ou radiation d’énergie à fréquence extrêmement basse (ELF) ou à fréquence ultra basse (ULF)) contre cet objet ; ou
  • tout autre moyen non reconnu ou peu développé jusqu'ici.
  • Infliger la mort ou des dégâts sur, ou endommager ou détruire, une personne (ou la vie biologique, la santé corporelle, la santé mentale, ou le bien-être physique et économique d'une personne) :
  • par l'utilisation de n’importe lequel des moyens décrits dans la clause (i) ou dans le sous-paragraphe ;
  • par l'utilisation de systèmes terrestres, maritimes ou basés dans l’espace en utilisant (des armes) à rayonnement, électromagnétiques, psychotroniques, soniques, le laser, ou d'autres énergies dirigées sur des personnes individuelles ou sur des populations ciblées dans des buts d'information, de guerre, de gestion de l'humeur, ou de contrôle de l'esprit de telles personnes ou populations ; ou
  • en expulsant des agents chimiques ou biologiques à proximité d'une personne.
De tels termes incluent les systèmes d'armes exotiques tels que :
  • Les armes électroniques, psychotroniques, ou d'information ;
  • Les chemtrails ;
  • Les systèmes d'armes de haute altitude et à ultra basse fréquence ;
  • Les armes à plasma, électromagnétiques, soniques, ou ultrasoniques ;
  • Les systèmes d'armes laser ;
  • Les armes stratégiques, théâtre, tactiques, ou extraterrestres ; et
  • Les armes chimiques, biologiques, environnementales, climatiques, ou tectoniques.
J'ai été alarmé par les applications et les implications liées au fait de cibler les individus et les populations depuis l'espace, garantissant de ce fait davantage de destruction de l'environnement. Je voulais établir une résolution au niveau municipal que d'autres villes pourraient faire passer et qui recueillerait du soutien au Congrès pour son projet de loi (le projet de loi de Kucinich). L’avocat international Alfred Labremont Webre, qui avait déjà contribué à un Traité International de Préservation de l'Espace via l’Institute for Cooperation in Space (l’Institut pour la coopération dans l’espace), a aidé à mettre au point cette résolution pour moi, résolution que le conseil municipal de Berkeley a fait passer à l’unanimité le 10 septembre 2002.

De façon prévisible, le projet de loi de Kucinich n'est jamais passé au Congrès. Mais après que le maire Lisa Barrett ait présenté la résolution de Berkeley au conseil municipal de l'île de Bowen, en Colombie britannique, cette résolution a glissé vers le Canada. Au printemps 2005, elle a été utilisée pour recueillir des milliers de signatures de Canadiens opposés au fait que le Canada joigne la National Missile Defence (défense nationale de missiles ou NMD). Les Canadiens, fâchés, avaient découvert que le premier ministre Paul Martin, sous pression intense des USA, avait conclu un accord secret avec le Président Bush pour joindre la NMD. Les citoyens canadiens s’introduisirent au Parlement avec des milliers des signatures et forcèrent Martin à retirer son accord secret de la NMD.

Ce fut une sage décision de la part des citoyens canadiens, mais ce fut un coup fatal pour Martin. Il était certain qu'il y aurait une tentative de le remplacer par un gouvernement plus conservateur qui adopterait la NMD. Pas un seul essai de la NMD n’avait vraiment fonctionné, et des « tireurs d’alarme » tels que le professeur Theodor Postol du Massachusetts Institute of Technology, avaient documenté la fraude scientifique étendue durant toute l'histoire du projet. Ted Postol a défié le Pentagone et a gagné. A présent, la défense de missile l'a encore piqué contre gouvernement- et son employeur et collègue, Charles P. Pierce (Boston Globe, le 23 octobre 2005). Le seul essai qui ait « réussi » a fonctionné parce qu'un dispositif de pistage avait été placé sur un missile de façon à ce que l'autre missile puisse le localiser.

Depuis que Reagan a lancé le programme, 92.5 milliards de dollars ont été dépensés sur les projets de guerre des étoiles et de défense stratégique de missiles. Le projet de guerre des étoiles fut une fraude scientifique pratiquement depuis le début. Marion Fulk, un scientifique du projet Manhattan qui travaillait dans le programme d'armes nucléaires au laboratoire de Livermore, décrivit le « Cottage Shot » qui faisait partie d'un projet d'énergie dirigée sur lequel il travaillait lorsque Edward Teller et Lowell Wood l'ont détourné et l’ont emmené avec eux à Washington DC. (Communication personnelle du 30 novembre 2005). Voyant la mauvaise application intentionnelle de tout ceci, Fulk s'est presque immédiatement retiré. Teller appela ce projet « guerre des étoiles » et le vendit au Président Reagan en une heure. En 1983, Reagan se dressa et parla d’un monde sécurisé contre le feu qui provient du ciel (missiles nucléaires), mais sa vision était plus proche de la pensée magique que de la réalité. On a proposé beaucoup de technologies exotiques : des lasers de 100 tonnes basés dans l’espace, des faisceaux neutres de particules, des mitrailleuses électromagnétiques, bref des objets scintillants présentés avec des yeux brillants (de la poudre aux yeux).

Le problème est que cela a coûté beaucoup, n’a jamais fonctionné, ne fonctionnera jamais, et les Russes qui étaient dépassés par les USA au niveau des dépenses militaires pendant la guerre froide, se sont avérés par la suite avoir été plus futés en développant stratégiquement le missile le plus mortel au monde.

Le missile de croisière russe 3M-82 Moskit antinavire, appelé le SS-N-22 Sunburn par l'OTAN, est une arme contre laquelle la marine des USA ne possède actuellement aucune défense, et il a été à présent amélioré en une version plus récente. La Russie a vendu ces missiles à la Chine et à l'Iran. Le Sunburn peut fournir un équivalent de 200 à 300 kilotonnes de TNT en charge nucléaire, ou une ogive conventionnelle de 750 livres (375 kg), à Mach 3 ou trois fois la vitesse du son, et volant aussi bas qu’à 9 pieds (environ 300cm.) du sol, le rendant invisible au radar. Et il peut éviter les défenses ennemies via des manœuvres très violentes. Il a été conçu pour défaire le système de défense radar américain Aegis.

La Chine a fait la démonstration de ce missile juste devant les forces navales multinationales exercices pendant les exercices « Summer Pulse » de Taiwan. Ces exercices provenaient des militaires des USA qui étaient dans le Pacifique en été 2004 afin de montrer aux USA la puissance militaire supérieure des Américains à la Chine. Mais au lieu de cela, c'est devenu un rapport de l'avantage militaire des Chinois lorsque la Chine, a tiré un Sunburn qui a touché en plein dans le mille une cible placée sur un bateau qui était ancré devant la flotte multinationale à Taiwan. Cet événement renforça aussi la réalité que les USA possèdent dix ans de retard sur la Russie dans le développement des missiles.

Les documents déclassés en 1995 sous Clinton et Gore révèlent qu'un accord secret entre les USA et la Russie a permis à la Russie de poursuivre ses ventes d'armes vers l'Iran, et que l'Amérique a, en fait, aidé la Russie à améliorer ses armes. Les USA ont aussi secrètement accepté d'acheter des missiles « Sunburn » à la Russie. L’amiral américain Bowes a écrit à l’amiral russe Gromov dans une lettre datée de septembre 1995 : « J'apprécie l'occasion de vous faire part de l'intérêt de la marine des Etats-Unis à acquérir toutes les variantes du missile SS-N-22 Sunburn supersonique anti-navire et tiré de navire à navire pour des essais et évaluations. »

Etonnamment, les USA ont rejeté l'offre russe de missiles Sunburn. Selon une source du Pentagone, l'administration a hésité par rapport au prix proche du « million de dollars » d’un de ces missiles Sunburn. (« How US Helped Russia Improve Deadly Missiles » - Comment les USA ont aidé la Russie à améliorer les missiles mortels », par C. Smith, Newsmax.com le 23 janvier 2001).

Les deux missiles NMD testés dans le Pacifique en décembre 2004 et février 2005, ne sont même pas parvenus à quitter leurs silos et ont coûté $85 millions pièce. Le missile Sunburn, qui est à présent à $2 millions et qui est reconnu en tant que système d'armes mortel semble être une très bonne affaire. La marine des USA a un espace vide au niveau des missiles, il ne lui reste plus de vieux missiles, et il n’y a pas de missiles neufs pour les remplacer. Les Russes continuent à produire les meilleures armes au monde - avec le gouvernement des USA qui les aide en secret. Mais ce n'est pas nouveau.

Rapportés en décembre 2005, des essais russes ont été menés avec succès avec une nouvelle classe de missiles balistiques terrestres ou sous-marins qui peuvent être manœuvrés durant le vol, et qui sont appelés « missiles quasi ou semi balistiques » et sont instoppables avec les actuels intercepteurs ABM. Ces missiles Bulava (SRBM) et Topol (SS-27) nettement améliorés ont renversé les rôles de la défense anti-missiles américaine puisque la seule défense possible contre eux implique des intercepteurs de missile anti-balistiques pré-positionnés en orbite dans l’espace. Cela semble impossible pour le budget déjà dépassé de la Missile Defence Agency des USA qui a même échoué deux fois sur trois à mettre à feu les moteurs des intercepteurs au sol.

8 mars 2011

NO COMMENT - Les images inédites du 11 Septembre

Traduction du panneau introductif de cette séquence inédite de l'attentat du 11 septembre 2001, rendue public le 11 septembre 2006.

Respectez le document !

"Il y a 5 ans, nous avons filmé l'attaque du WTC de notre fenêtre au 36e étage à 500 yards de la Tour Nord. Rendre publique cette vidéo a été une décision difficile pour nous à cause de son caractère émotionnel et personnel, ou par peur de son instrumentalisation. Malgré cela, cette perspective unique est historiquement importante et montre l'horreur de ce jour sans bande-son ou effets (comme souvent). Respectez s'il vous plaît le contenu de ce document et sachez que certaines scènes peuvent vous heurter. Partagez, s.v.p., cette vidéo sans la modifier.


Nous avons choisi Revver pour la distribution de cette vidéo à cause de sa licence en Creative commons

Bob et Bri
9/11/2006


[Trad. Tristan Mendès France]

L'originale de la vidéo "What we saw" en Creative Commons : www.revver.com/view.php?id=59686


Credit : Bor et Bri



Ce sont de nouvelles images de l'attaque du 11 septembre 2001 sur les tours du World Trade Center à New York qui viennent d'être révélées. Filmées par un hélicoptère de la police de New York (NYPD) ces vues aériennes poignantes et spectaculaires ont été révélées par le site américain gawker.com. Les images montrent les Twin Towers en flammes, l'effondrment de la première tour vue du ciel et celle de la seconde tour vue du sol. Un nouveau document pour l'histoire.



Certaines scenes de ces videos sont impressionantes et peuvent choquer

2 mars 2011

Gaz de schiste : danger pollution des fleuves et nappes phréatiques par l'eau radioactive

Le paysage américain est parsemée de centaines de milliers de nouveaux puits et de forage, alors que le pays se démènent pour puiser dans ruée vers l'or de ce siècle : pour le gaz naturel.

Le gaz a toujours été là, bien sûr, pris au piège sous terre dans d'innombrables petites bulles, comme les déversements d'eau de Seltz gelée entre de minces couches de schiste. Mais les entreprises de forage ont seulement ces dernières années au point des techniques pour débloquer les énormes réserves, la pensée d'être suffisante pour approvisionner le pays en gaz pour le chauffage des bâtiments, produire de l'électricité et faire fonctionner un véhicule jusqu'à une centaine d'années.

Ainsi, les entreprises d'énergie réclament de forer. Et qu'ils ont rarement obtenu l'appui de leurs partenaires habituels. Les écologistes affirment que l'utilisation du gaz naturel aidera à ralentir les changements climatiques parce qu'il brûle plus proprement que le charbon et le pétrole. Les législateurs saluent le gaz comme source d'emplois. Ils y voient aussi un moyen de sevrer les États-Unis de sa dépendance à l'égard d'autres pays pour le pétrole.

Mais la méthode de forage relativement nouveau - connu sous le nom de haut volume de fracturation hydraulique horizontale, ou hydrofracking - comporte des risques environnementaux. Il consiste à injecter d'énormes quantités d'eau, mélangée avec du sable et des produits chimiques, à des pressions élevées pour briser les formations rocheuses et de libérer le gaz.

Avec l'hydrofracking, un puits peut produire plus d'un million de litres d'eaux usées qui sont souvent agglomérés avec du sel très corrosifs, les substances cancérigènes comme le benzène et d'éléments radioactifs comme le radium, qui peut se produire naturellement à des milliers de mètres sous terre. D'autres matériaux cancérigènes peuvent être ajoutés à des eaux usées par les produits chimiques utilisés dans la même hydrofracking.

Bien que l'existence des déchets toxiques ont été signalés, des milliers de documents internes obtenus par le New York Times de l'Agence de protection de l'environnement (APE), de réglementation des États et des foreurs montrent que les dangers pour l'environnement et la santé sont plus importants qu'on ne le pensait.

Les documents révèlent que les eaux usées, qui sont parfois transportés à des stations d'épuration pas conçu pour le traiter, puis déversés dans les rivières que l'eau potable, contenant de la radioactivité à des niveaux plus élevés que ceux antérieurement connus, et beaucoup plus élevé que le niveau que les régulateurs fédéraux disent, c'est sûr pour ces usines de traitement à manipuler.

Les autres documents et interviews montrent que de nombreux membres de l'APE et les scientifiques sont inquiets, avertissant que les déchets de forage représente une menace pour l'eau potable en Pennsylvanie. Leur inquiétude est fondée en partie sur une étude de 2009, jamais rendu public, écrit par un APE consultant qui a conclu que certaines usines de traitement des eaux usées ont été incapables d'éliminer certains contaminants et résidus de forage ont probablement violé la loi.

Le Times a aussi constaté des études jamais signalé par l'APE et une étude confidentielle par l'industrie de forage qui ont tous conclu que la radioactivité des déchets de forage ne peut pas être dilué dans les rivières et autres cours d'eau.

Mais l'APE n'est pas intervenu. En effet, les régulateurs fédéraux et d'État permettent à la plupart des stations d'épuration qui acceptent des déchets de forage et de ne pas tester la radioactivité. Et la plupart des usines d'admission d'eau potable en aval de ces installations de traitement des eaux usées en Pennsylvanie, avec la bénédiction des autorités de réglementation, n'ont pas testé de la radioactivité depuis avant 2006, même si l'essor de forage a débuté en 2008.

En d'autres termes, il n'existe aucun moyen de garantir que l'eau potable pris en charge par toutes ces usines est sans danger.

Cela inquiète les experts.

"Nous brûlons les meubles pour chauffer la maison", a déclaré John H. Quigley, qui a quitté le mois dernier en tant que secrétaire du ministère de la Conservation de la Pennsylvanie et des ressources naturelles. "Dans le changement à l'écart du charbon et vers le gaz naturel, nous essayons pour assainir l'air, mais nous produisons des quantités massives d'eaux usées toxiques avec des sels et des matières radioactives naturelles, et ce n'est pas clair que nous avons un plan pour gérer correctement ces déchets."

Les risques sont particulièrement graves en Pennsylvanie, qui a vu une forte augmentation de forage, avec environ 71.000 puits de gaz, contre environ 36.000 en 2000. Le niveau de de la radioactivité dans les eaux usées a parfois été des centaines voire des milliers de fois la maximum autorisé par la norme fédérale pour l'eau potable. Alors que les gens n'ont manifestement pas bu des eaux usées de forage, la raison d'utiliser la norme d'eau potable pour la comparaison est qu'il n'y a pas de norme fédérale globale pour ce qui constitue des niveaux de sécurité de la radioactivité dans les eaux usées de forage.

Les foreurs transportés par camion sont à la moitié de ces déchets à une station de traitement des eaux usées en Pennsylvanie en 2008 et 2009, selon les fonctionnaires de l'Etat. Certaines d'entre elles a été envoyée pour d'autres Etats, dont New York et la Virginie occidentale.

Pourtant, les opérateurs des usines d'épuration disent qu'ils sont beaucoup moins capables d'éliminer les polluants radioactifs que la plupart des autres substances toxiques. En effet, la plupart de ces installations ne peuvent pas retirer suffisamment de matières radioactives pour répondre aux normes fédérales en matière d'eau potable avant de déverser les eaux usées dans les rivières, parfois simplement à des kilomètres en amont de usines apport d'eau potable.

En Pennsylvanie, les usines de traitement des déchets rejetés dans certains bassins de l'Etat et des principaux fleuves. De plus grandes quantités d'eaux usées est allé à la rivière Monongahela, qui fournit de l'eau potable à plus de 800.000 personnes dans la partie occidentale de l'État, y compris de Pittsburgh, et pour la rivière Susquehanna, qui alimente la baie de Chesapeake et fournit l'eau potable à plus de six millions de personnes, dont certaines à Harrisburg et Baltimore.

Les quantités inférieures ont été déversées dans la rivière Delaware, qui fournit de l'eau potable pour plus de 15 millions de personnes à Philadelphie et la Pennsylvanie orientale.

A New York, les eaux usées fut envoyés pour au moins une usine qui se déverse dans le lac Cayuga du Sud, près de Ithaca, et un autre qui se déverse dans Owasco Outlet, près de Auburn. En Virginie occidentale, une usine de traitement des eaux usées dans Wheeling à déversée le forage de gaz dans la rivière Ohio.

"Les effets de l'hydrofracking associé à des problèmes de santé ainsi que de l'air et de contamination de l'eau répandue ont été signalés dans au moins une douzaine d'Etats", a déclaré Walter Hang, président de ciblage des substances toxiques, une entreprise à Ithaca, NY, qui compile les données sur le forage de gaz.

Problèmes avec les autres régions

Bien que la Pennsylvanie est un cas extrême, les risques posés par l'hydrofracking s'étendent à travers le pays.

Il y avait plus de 493.000 puits actifs de gaz naturel aux États-Unis en 2009, soit presque le double du nombre en 1990. Environ 90 % ont utilisé l'hydrofracking pour obtenir plus d'écoulement du gaz, selon l'industrie du forage.

Du gaz s'est infiltrée dans les fournitures d'eau potable souterrains dans au moins cinq Etats, dont le Colorado, l'Ohio, la Pennsylvanie, le Texas et la Virginie occidentale, et les résidents accusés de forage de gaz naturel.

La pollution atmosphérique causée par le forage de gaz naturel représente une menace croissante, aussi. Wyoming, par exemple, pas en 2009 pour répondre aux normes fédérales de la qualité de l'air pour la première fois de son histoire en partie à cause des fumées contenant du benzène et le toluène, passant d'environ 27.000 puits, la grande majorité forés au cours des cinq dernières années.

Dans une faible densité de population du comté de Sublette dans le Wyoming, qui a quelques unes des plus fortes concentrations de puits, les vapeurs réagissant à la lumière du soleil ont contribué pour des niveaux d'ozone supérieurs à ceux enregistrés à Houston et Los Angeles.

Les responsables de l'industrie disent que des déchets dangereux provenant des puits sont traités en conformité avec les lois fédérales et d'état, ajoutant que les entreprises de forage sont de recyclage des eaux usées plus maintenant. Ils disent aussi que l'hydrofracking est bien réglementé par les États et qu'il a été utilisé en toute sécurité pendant des décennies.

Mais la technologie de l'hydrofracking est devenu plus puissant et plus largement utilisée ces dernières années, la production des eaux usées beaucoup plus. Certains des problèmes avec ce forage, y compris son incidence environnementale et le défi de l'élimination des déchets, ont été documentés par Pro Publica, à l'Associated Press et d'autres nouvelles organisations, en particulier dans l'Ouest.

Et les récents incidents soulignent les dangers. À la fin 2008, le forage et les déchets des mines de charbon a publié lors d'une sécheresse si accablé la Monongahela que les fonctionnaires locaux a conseillé à la population dans la région de Pittsburgh de boire de l'eau en bouteille. L'APE, Les fonctionnaires ont décrit l'incident dans un note interne comme "l'un des plus grands échecs de l'histoire américaine pour l'approvisionnement en eau potable au public."

Au Texas, qui compte aujourd'hui près de 93.000 puits de gaz naturel, contre environ 58.000 il ya une douzaine d'années, un système hospitalier dans six comtés avec quelques uns des plus le forage a déclaré en 2010 qu'il a trouvé un taux de 25 % l'asthme pour les jeunes enfants, plus de trois fois le taux de l'Etat environ 7 %.

"C'est nous ruiner", a déclaré Kelly Gant, dont ses enfants de 11 et 14 ans ont connu des crises d'asthme sévère, des vertiges et des maux de tête depuis une station de compression et un puits de gaz ont été mis en place il ya deux ans près de sa maison dans Bartonville. L'industrie et les régulateurs gouvernementaux ont dit qu'il n'est pas clair quel rôle l'industrie du gaz a joué dans l'apparition de tels problèmes, car la région a eu pollution de l'air élevée pendant un certain temps.

"Je ne suis pas un militant, un alarmiste, un démocrate, écologiste ou quelque chose comme ça", a déclaré Mme Gant. "Je suis simplement une personne qui n'est pas en mesure de gérer la santé de ma famille à cause de tous ces forages."

Et pourtant, pour tous ses problèmes, le gaz naturel offre des avantages évidents de l'environnement par rapport au charbon, qui sont utilisé plus que tout autre combustible pour produire de l'électricité aux États-Unis. Les centrales au charbon sans équipement mis à jour de capter les polluants sont une source majeure de pollution radioactive. Les mines de charbon produisent chaque année des millions de tonnes de déchets toxiques.

Mais la dangers associés à la production de gaz naturel et de le forage sont beaucoup moins connus que ceux qui sont associés avec d'autres combustibles fossiles, et les règlements n'ont pas suivi le rythme de l'expansion de l'industrie du gaz naturel.

Pennsylvanie, Ground Zero

La Pennsylvanie, qui se trouve au sommet d'une énorme réserve appelé les schistes de Marcellus, a été appelée en Arabie Saoudite pour du gaz naturel.

Cette formation de roche, à peu près la taille de la Grèce, se trouve plus d'un kilomètre au-dessous du paysage des Appalaches, de la Virginie à la moitié sud de New York. On croit tenir assez de gaz pour l'approvisionnement énergétique du pays pour les besoins de chaleur et d'électricité, au rythme actuel de consommation, pour plus de 15 ans.

Les entreprises de forage ont délivrés à peu près 3.300 autorisations d'extraction de gaz à Marcellus en Pennsylvanie l'an dernier, contre simplement 117 en 2007.

Cela a entraîné des milliers d'emplois, les chablis à cinq chiffres pour les résidents qui louent leurs terres pour les foreurs et les recettes pour l'Etat qui a lutté avec des déficits budgétaires. Il a aussi transformé la paysage du sud-ouest de La Pennsylvanie et a apporté de lourdes charges.

Les tours de forage dépassent largement des granges, alignant des routes rurales comme des silos d'alimentation. Les sites de forage tournent 24h/24 avec les travailleurs, certains en costumes jaunes de matières dangereuses, et de l'équipement "convoi exceptionnel à 18 roues", de l'eau et des déchets le long des routes de retour.

Les plates-formes annoncent leur présence avec l'essor occasionnel et le frémissement des explosions souterraines. Sentant comme eaux usées brutes mélangé à l'essence, des puits de forage de déchets, certains aussi gros qu'un terrain de football, siègent près des maisons.

Partout de 10 à 40 % de l'eau envoyée dans le puits pendant hydrofracking revient à la surface, transportant des produits chimiques de forage, des niveaux très élevés de sels et, parfois, des matières radioactives naturelles.

Alors que la plupart des États exigent que les foreurs de disposer de cette eau dans des puits de stockage souterrain en dessous des couches de roche imperméable, La Pennsylvanie possède peu de tels puits. Il est le seul Etat ayant permis les foreurs de s'acquitter de la plupart de leurs déchets par les usines de traitement des eaux usées dans les rivières.

Les régulateurs ont théorisé que le passage des résidus de forage à travers les usines est sans danger car la plupart des matières toxiques se déposent pendant le processus de traitement dans une boue qui peut être transporté par camion dans une décharge, et quelle que soit des restes matériels toxiques dans les eaux usées, seront dilués lorsqu'ils sont mélangés dans les rivières. Mais certaines usines prenant de telles quantités de déchets à forte teneur en sel en 2008 que les services publics en aval ont commencé à se plaindre que l'eau du fleuve a rongé leurs machines.

Les régulateurs et les entreprises de forage ont dit que ces cas, et d'autres, ont isolés.

"Les usines de traitement des eaux usées sont efficaces à ce qu'ils sont conçus de faire enlever de la matière des eaux usées lors du traitement", a déclaré Jamie Legenos, un porte-parole de le Pennsylvania Department of Environmental Protection, ajoutant que les matières radioactives et les sels ont être correctement traitées.

Accablé, non-préparé.

Pour preuve que des éléments radioactifs dans les déchets de forage ne sont pas une préoccupation, porte-parole de l'industrie et les régulateurs ont souvent le point sur les résultats des tests des eaux usées à partir d'un projet de rapport de 2009 menée par État de New York et un rapport de 1995 de la Pennsylvanie, qui a conclu que de la radioactivité des déchets de forage n'a pas été une menace. Ces deux rapports ont basées sur des échantillons d'environ 13 puits de gaz à New York et 29 en Pennsylvanie.

Mais un examen par le Times de plus de 30.000 pages des gouvernements fédéraux, provinciaux et registres de la société relatives à plus de 200 puits de gaz en Pennsylvanie, 40 en Virginie occidentale et 20 publics et privés des usines de traitement des eaux usées offre un tableau plus complet des eaux usées de tels puits produisent et la menace qu'il représente.

La plupart des informations ont été tirées des rapports de forage des trois dernières années, obtenues en visitant les bureaux régionaux à travers la Pennsylvanie, et à partir de documents ou de bases de données fournies par les régulateurs provinciaux et fédéraux en réponse de demandes de dossiers.

Parmi les conclusions du Times :

Plus de 1,3 milliards de litres d'eaux usées ont été produits par les puits la Pennsylvanie au cours des trois dernières années, beaucoup plus que ce qui a été préalablement communiqué. La plupart de cette eau pour couvrir Manhattan dans trois pouces, a été envoyé aux usines de traitement n'est pas équipé de éliminer un grand nombre de matières toxiques dans les déchets de forage.

Au moins 12 usines de traitement des eaux usées dans trois Etats ont accepté des eaux usées de l'industrie du gaz et de déchets mis en décharge qui a été partiellement traitées dans les rivières, lacs et ruisseaux.

Parmi plus de 179 puits de production des eaux usées avec des niveaux élevés de rayonnement, au moins 116 niveaux signalés de radium ou d'autres matériaux radioactifs 100 fois plus élevé que les niveaux fixés par les normes d'eau potable du gouvernement fédéral. Au moins 15 puits ont produit des eaux usées qui transportent plus de 1000 fois la quantité d'éléments radioactifs considéré comme acceptable.

Les résultats provenaient d'enquêtes de terrain menées par les régulateurs provinciaux et fédéraux, les rapports de fin d'année déposées par des entreprises de forage et de l'Etat ayant ordonné les tests des certaines usines de traitement du public. La plupart des tests ont mesuré des eaux usées de forage pour le radium ou du rayonnement "alpha global" qui provient généralement de radium, l'uranium et d'autres éléments.

Les responsables de l'industrie disent qu'ils ne sont pas concernés.

"Ces faibles niveaux de radioactivité ne posent pas de menace pour les sécurité du public ou des travailleurs et sont plus une question de perception publique d'un réel problème de santé", a déclaré James E. Grey, chef de l'exploitation des l'énergie Triana.

Lors des entrevues, des groupes de commerce de l'industrie comme les Coalition Marcellus Shale et de l'énergie en profondeur, ainsi que des représentants de compagnies d'énergie telles que Shell & Chesapeake Energy, ont dit qu'ils ont produit beaucoup moins d'eaux usées parce qu'ils ont en grande partie le recyclage plutôt que de s'en débarrasser après chaque travail.

Mais même avec le recyclage, les quantité d'eaux usées produites en Pennsylvanie devrait augmenter parce que, selon les projections de l'industrie, plus de 50.000 nouveaux puits sont susceptibles d'être forés au cours des deux prochaines décennies.

La radioactivité dans les eaux usées ne sont pas nécessairement dangereux pour les personnes qui sont à proximité. Il peut être bloqué par des obstacles fines, y compris la peau, l'exposition est généralement inoffensif.

Plutôt, L'APE et chercheurs de l'industriedisent, le plus grand danger des eaux usées radioactives est son potentiel à contaminer l'eau potable ou entrer dans la chaîne alimentaire par les poissons ou d'élevage. Une fois que le radium entre dans le corps d'une personne, par manger, boire ou respirer, il peut causer le cancer et autres problèmes de santé, de nombreuses études fédérales le montrent.

Peu de tests de radioactivité

Selon la loi fédérale, les tests de radioactivité dans l'eau potable est nécessaire uniquement dans les usines d'eau potable. Mais les régulateurs fédéraux et d'État ont donné presque toutes les installations de prise d'eau potable en Pennsylvanie et l'autorisation de tester une seule fois tous les six ou neuf ans.

Le Times a examiné les données provenant de plus de 65 usines d'admission en aval de certaines des régions les plus fréquentées de forage dans l'État. Pas un seul a testé pour la radioactivité depuis 2008, et la plupart n'ont pas testé depuis au moins 2005, avant que la plupart des déchets de forage a été produite.

Et en 2009 et 2010, les stations d'épuration publiques directement en amont de certains de ces installations de prise d'eau potable ont accepté des eaux usées qui contenaient des niveaux de radioactivité plus élevés que 2.122 fois la norme de l'eau potable. Mais la plupart des usines d'épuration ne sont pas nécessaires pour surveiller les éléments radioactifs dans l'eau qu'ils déversent. Donc il n'y a pratiquement pas de données sur les polluants tels que l'eau quitte ces usines. Les régulateurs et les producteurs de gaz ont dit et répété que les déchets ne sont pas une menace, car il est dilué dans les rivières ou les stations d'épuration. Mais l'industrie et fédérale en doute la recherche sur ces déclarations.

Une étude confidentielle de l'industrie à partir de 1990, réalisée pour l'American Petroleum Institute, a conclu que "en utilisant des hypothèses prudentes," le radium dans les eaux usées de forage sous-évaluées au large les côte de la Louisiane pose "des risques potentiellement importants" de cancer pour les personnes qui mangent régulièrement du poisson provenant de ces eaux.

L'étude de l'industrie axée sur des eaux usées de l'industrie de forage sont déversés dans le golfe du Mexique, où il serait beaucoup plus dilués que dans les rivières. Il a également utilisé des estimations de niveaux de le radium très inférieurs à ceux trouvés dans les déchets de forage de la Pennsylvanie, selon l'auteur principal de l'étude, Anne F. Meinhold, un expert des risques environnementaux maintenant à la NASA.

Autres fédéraux, d'État et des études universitaires ont également trouvé des problèmes de dilution avec les déchets radioactifs de forage.

En décembre 2009, ces risques ont mené L'APE et les scientifiques de conseiller dans une lettre à New York que les stations d'épuration n'ont pas accepté que des déchets de forage avec des niveaux le radium 12 fois ou plus aussi élevé que la norme de l'eau potable. Le Times a trouvé des eaux usées contenant des niveaux de radium qui étaient des centaines de fois supérieur à cette norme. Les scientifiques ont également dit que les usines ne doivent jamais déboucher des polluants radioactifs à des niveaux plus élevés que les norme de l'eau potable.

En 2009, L'APE scientifiques ont étudié la question et a également déterminé que certaines rivières de la Pennsylvanie étaient inefficaces pour diluer suffisamment le radium des eaux usées de forage avant d'être rejetées.

Interrogé sur le études, les régulateurs de la Pennsylvanie ont dit qu'ils n'étaient pas au courant d'entre eux.

"Inquiet ? Je suis toujours inquiet ", a déclaré Dave Allard, directeur du Bureau de radioprotection. Mais il a ajouté que la menace de ces déchets est réduite parce que "la dilution est si énorme en passant par les usines de traitement."

"Trois mois après le Times a commencé à poser des questions sur des matières toxiques radioactifs et d'autres d'être rejetées dans les rivières particuliers, la réglementation de l'État a placé des moniteurs de la radioactivité des déchets de forage près du lieu où sont rejetées. Les données ne seront pas disponibles avant le mois prochain," a déclaré le fonctionnaires de l'Etat.

Mais le moniteur dans la Monongahela est placé en amont des deux stations d'épuration publiques que l'Etat dit encore rejeter de grandes quantités de résidus de forage dans le fleuve, laissant les rejets provenant de ces usines non-vérifiée et Pittsburgh exposé.

Les exploitants d'installations dans l'obscurité

Dans les entrevues, cinq exploitants des stations d'épuration ont dit qu'ils ne croyaient pas que les eaux usées de forage présentait des risques pour le public. Plusieurs ont également dit qu'ils n'étaient pas sûrs du contenu des déchets parce que les les foreurs de fournir des informations limitées va généralement aux fonctionnaires de l'État.

"Nous comptons sur les régulateurs de l'État de s'assurer que c'est bien fait", a déclaré Paul McCurdy, spécialiste environnemental à Ridgway, station d'épuration publique, à Elk County, en Pennsylvanie, dans la partie nord-ouest de l'État.

M. Mc Curdy, dont l'usine déverse dans les rivières Clarion, qui se jette dans l'Ohio et le Mississippi, a déclaré que son usine a été prise environ 20.000 litres de déchets de forage par jour.

Comme la plupart de exploitants de la station de traitement des eaux usées sont interrogés, M. Mc Curdy a dit que son usine n'était pas équipé pour éliminer les matières radioactives et n'était pas tenu de test pour ça.

Les documents déposés par les foreurs avec l'Etat, cependant, montrent qu'en 2009, son installation a envoyé de l'eau provenant de puits dont les des eaux usées a été galonné avec du radium à 275 fois la norme de l'eau potable et à d'autres types de rayonnement à plus de 780 fois la norme.

Une partie du problème est que l'industrie a dépassé les régulateurs. "Nous ne pouvons tout simplement pas à suivre," a dit un inspecteur de la Pennsylvania Department of Environmental Protection, qui n'était pas autorisé à parler aux journalistes. "Il ya trop de déchets."

"Si nous sommes trop dur pour eux"
, a ajouté l'inspecteur, "les sociétés pourraient bien ne plus fournir leurs erreurs."

Récemment, en Pennsylvanie, a essayé d'augmenter ses activités de surveillance, de doubler le nombre des organismes de réglementation, l'amélioration des exigences bien la conception et la forte baisse la quantité de déchets de forage, de nombreuses stations d'épuration peut accepter ou le rejet. L'Etat envisage la possibilité d'exiger des usines de traitement d'entreprendre une surveillance de la radioactivité dans des eaux usées.

Même si, comme en novembre dernier, 31 inspecteurs ont gardé un œil sur plus de 125 000 puits de pétrole et de gaz. La nouvelle réglementation a également permis au moins 18 usines de continuer à accepter les quantités plus élevés fixés par leur autorisation d'origine.

En outre, les chercheurs en environnement de l'Université de Pittsburgh ont testé des eaux usées l'année dernière qui avaient été rejetées par deux usines de traitement. Ils disent que ces tests montrent, lorsque les résultats sont rendus publics en mars, que les niveaux de sel ont bien au-dessus de la limite légale.

Surveillance laxiste

La contamination de forage pénètre dans l'environnement lors de déversements en Pennsylvanie, aussi. Au cours des trois dernières années, au moins 16 puits dont les dossiers ont montré des niveaux élevés de radioactivité dans les eaux usées a également signalé des déversements, des fuites ou des échecs des fossées où le fluide hydrofracking ou les déchets sont stockés, selon les registres de l'État.

Les producteurs de gaz sont généralement laissés à eux-mêmes de la police quand il s'agit de déversements. En Pennsylvanie, les régulateurs n'ont pas effectué des inspections inopinées pour vérifier les signes de déversement. Les producteurs de gaz déclarent leurs propres déversements, rédigent leurs propres plans d'intervention en cas de déversement et de diriger leurs propres efforts de nettoyage.

Un examen des plans d'intervention pour les projets de forage sur les 4 sites de Pennsylvanie où il ya eu des accidents dans l'année écoulée a constaté que ces plans approuvés par l'Etat semblent souvent être en violation de la loi.

À un site où les déversements survenus ainsi à plusieurs en une semaine, dont un qui a coulé dans un ruisseau, l'exploitant du puits a déposé un plan de déversement révisé disant qu'il y a peu de chances que les déchets seraient déjà entrer dans un cours d'eau.

"Il ya des pressions commerciales" sur les entreprises pour "couper les coins ronds", John Hanger, qui a démissionné en tant que secrétaire de la Pennsylvania Department of Environmental Protection en Janvier, a déclaré. "C'est moins cher de déverser des eaux usées que de la traiter."

Des dossiers remontant jusqu'à cette affirmation.

D'octobre 2008 à octobre 2010, les régulateurs ont plus de deux fois plus susceptibles d'émettre un avertissement par écrit que d'imposer une amende pour violation des normes environnementales et de sécurité, selon les données d'état. Pendant cette période, 15 entreprises ont reçu des amendes pour les violations de forage liées en 2008 et 2009, et les entreprises ont payé en moyenne d'environ 44,000 dolaires chaque année, selon les données d'état.

Cette moyenne a été inférieure à la moitié de ce que certaines des sociétés acquises en profits en un jour et une infime fraction de plus de 2 millions de dollars que certains d'entre eux versés annuellement pour transporter et traiter les déchets.

Et les perspectives pour les foreurs en Pennsylvanie sont à la recherche plus brillant.

En décembre, le gouverneur républicain élu, Tom Corbett, qui, pendant sa campagne a pris plus de contributions de l'industrie du gaz que tous ses concurrents réunis, a dit qu'il rouvrirait les terres de l'Etat à de nouveaux forages, qui a infirmé une décision prise par son prédécesseur, Edward G. Rendell. Le changement ouvre la voie à plus de 10.000 puits sur les terres publiques, en hausse d'environ 25 puits en activité aujourd'hui.

En plaidant contre une taxe proposée d'extraction du gaz sur l'industrie, M. Corbett a dit la réglementation de l'industrie avait été trop agressif.

"Je vais diriger le ministère de protection de l'environnement à servir en tant que partenaire avec les entreprises de la Pennsylvanie, les communautés et les gouvernements locaux", dit M. Corbett sur son site Web. "Elle doit retourner à sa mission fondamentale la protection de l'environnement basé sur des principes scientifiques."